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    L'Etrangère
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    4,1
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    132 critiques spectateurs

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    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 132 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 août 2012
    Bon film. Certes un peu lent mais moins austère que ce qu'on aurait pu craindre, bien réalisé et avec un très bon casting y compris l'enfant.
    !!!Mais pourquoi on passe n'importe quand-y compris dans une même phrase- de la VO à de la VF [diffusion Canal+?]!!!
    Rik13
    Rik13

    22 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juillet 2012
    Un très bon film pour ce drame familial réalisé par Feo Aladag. La mise en scène est sans fioritures et permet au récit de coller au plus près des personnages et de les rendre ainsi très attachants. Il y est question d'honneur et de respect de traditions séculaires dans une famille d'origine turque installée en Allemagne. Juste pourra-t-on regretter un excès de dramatisation dans la deuxième partie. Les interprètes sont excellents. Un film à recommander.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 juillet 2012
    Bravo à tous ceux qui, au vu de leurs commentaires, confondent le turc et l'arabe.
    Myene
    Myene

    19 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2013
    Pourquoi certains critiques dont ceux de France Inter ont proné l'abstention "au nom de la défense ...du peuple turc !!! " On est en plein délire bobo , ou la diabolisation d'une expression contre certaines conduites phallocrates ;
    On peut aimer à la fois ce film et reconnaitre comme chef d'oeuvre "il était une fois en Anatolie" Certes le theme de la volonté d'émancipation des femmes face à la tradition est porteur d'engagement mais à chaque réalisateur de le traiter à sa manière, l'oeuvre de Fahradi en est imprégnée aussi ce film ne démérite pas plus que celui d'autres pays comme "amnistie","la source des femmes", " et maintenant on va ou",le bus des femmes ..
    Minority_report
    Minority_report

    6 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2012
    Même si le scénario a comme un air de déjà vu, la réalisation et les acteurs font de ce film une réussite. Au delà du sujet en lui même qui peut paraitre très cliché sur une famille turque ultraditionnelle,
    on retiendra l'amour magnifique d'une mère pour son fils.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juillet 2012
    Bouleversant... Ce film dégage une telle empathie pour chaque personnage, les bons comme les "méchants". Si vous avez une petite fille ou un petit garçon, attention si vous êtes sensibles !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 632 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 juillet 2012
    Umay, allemande d’origine turque, vit à Istambul avec son mari, leur fils et sa belle famille. Fuyant un mari violent, elle rentre chez ses parents en Allemagne avec son fils de 5 ans. Prisonnière du regard de la communauté, Umay se voie à nouveau contrainte de fuir à nouveau afin de se préserver de cette famille désirant rendre son fils et sa femme à leur gendre.
    Umay souhaiterait tellement que les siens la comprenne et la soutienne ; elle qui a fui la Turquie pour protéger son fils et leur offrir un avenir plus heureux. Elle s’acharne à vouloir imposer aux siens sa présence et son point de vue ; cet acharnement ne nous inspire rien de bon. Gagner sa liberté lorsque le poids des traditions est aussi pesant est une gageure, mais vouloir l’appui des siens n’est-ce pas trop demander à sa communauté ?
    Son père désarçonné par une fille « irresponsable » et meurtri par la mise au ban de la communauté de sa famille. Il retourne en Turquie pour obtenir les lumières d’un Ancien. Ces lumières seront celles de l’obscurantisme. Le poids des traditions est-il plus fort que l’amour filiale ? Teo Aladag, femme autrichienne d’origine turque, pour son premier film, s’est beaucoup inspirée de faits divers autour des crimes d’honneur. Lent mais efficace comme un bon thriller, ce film montre comment cette idée peut germer dans des têtes aux idées exigües. La première scène annonce déjà le drame final dont on ne peut pas mesurer l’ampleur. En fait, Umay doit être punie aux yeux de sa famille ; mais comment la famille pourra-t-elle être punie à son tour ? La réponse se trouve dans une fin terriblement déchirante à vous arracher le cœur : une tragédie sans nom dont je ne suis toujours pas remis après 48 heures. Ayez les reins solides avant de vous mettre devant cette œuvre forte mais déstabilisante.
    Plus qu’un film coup de poing contre un islamiste radicale, il s’agit plutôt d’un film coup de poing contre le poids des traditions. Porté par une actrice d’origine turque elle-même répudiée ; Sibel Kekilli impose une présence d’une rare intensité, mélange de détresse, d’incompréhension, de fierté et de ténacité. Toujours accompagnée de son petit garçon de 5 ans spectateur de toute cette violence et jamais préservé de la bêtise des adultes jusqu’à un final terrible. La réalisatrice nous impose ici une fin sans concession ; là ou d’autres auraient conclu par un fin ouverte, positive ou plus attendue.
    A voir impérativement…
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2012
    Feo Aladag aimerait que l’on comprenne ou que l’on ait de l’empathie pour tous les protagonistes. De ce point de vue-là, son film n’est pas réussi ! Comment peut-on avoir de l’empathie envers des personnes intolérantes, gouvernées par le poids des traditions ?! Désolé, je n’ai eu que dégoût pour les frères d’Umay et colère pour ses parents. J’ai bien décelé qu’il ne s’agissait pas de religion, et il est vrai, que toutes les religions conjuguées au poids des traditions se valent. Ici, c’est avant tout les traditions séculaires qui pèsent, qui écrasent les communautés. Et ça n’arrange rien avec la religion. Il m’est cependant difficile de dissocier les deux et je me demande jusqu’à quel point la religion n’est pas responsable des traditions. Peu importe, Umay fuit un mari violent et la Turquie pour rejoindre sa famille qui réside en Allemagne. Elle est rejetée parce qu’elle appartient à son mari, à sa belle-famille, à la Turquie et à la tradition. Elle déshonore sa famille en fuyant son mari et sa belle-famille et surtout en vivant seule avec son petit garçon, lequel selon la tradition ou la religion appartient au père ! Peu importe qu’il soit violent ! Umay veut s’émanciper et prendre le contre-pied et de l’éducation donnée par ses parents et des traditions communautaires. On n’accepte pas son indépendance. Elle est l’échec du père, le déshonneur de la famille et la honte sur la communauté. Ce qui me désespère, c’est l’acharnement d’Umay d’être aimée de sa famille. Il y a comme quelque chose de masochiste dans son comportement. Peut-on lui en vouloir ?! Il y a malgré le rejet de sa famille le besoin de laisser un doigt dans la tradition et évidemment le besoin d’être acceptée telle qu’elle est dans sa famille et par-delà sa famille. Mais malheureusement, la famille est elle-même prisonnière des traditions voire de la religion à laquelle elle est rattachée. Pourtant, « Dieu n’a rien à voir là-dedans » comme dirait la patronne d’Umay. Mais quand on est borné, têtu, inféodé aux traditions et à la religion, et surtout quand on veut faire dire ce qu’on veut à Dieu, les oreilles, les yeux et le cœur ne veulent plus répondre devant l’évidence. On peut reprocher au film sa lenteur, je n’ai pas trouvé qu’il soit lent. Le film prend son temps, il suit la tristesse d’Umay, son désespoir, sa solitude ; elle est l’étrangère en Turquie parce qu’elle est allemande, elle est étrangère en Allemagne parce qu’elle est d’origine Turque, étrangère dans sa belle-famille, dans sa famille. On peut reprocher le côté un peu schématique des frères ; seulement, regardons et lisons autour de nous, dans les faits divers ou comme moi dans les cités, le frère se sent investi de l’autorité du père, il en est le relais ; et là peut-on vraiment parler de tradition sans y associer la religion ? Certes, tout peut paraître cliché encore une fois et encore une fois, je répondrai : qui ne vit pas de manière cliché aux yeux de son entourage ? On est toujours le con de quelqu’un. Il ne faut pas se faire d’illusion, nous sommes tous plus ou moins clichés. Ce film est poignant, l’interprétation de Sibel Kekilli est tout simplement saisissante de vérité. Son speech au mariage de sa sœur est déchirant d’émotion. Ce qui me fait enrager dans tout ça c’est qu’il y a des femmes qui continuent à se laisser manipuler par la tradition. Mais quand tout va bien, quand on accepte, personne ne perçoit la manipulation. Et que dire du mariage récupérée de sa sœur, mariage monnayé par les deux familles ! J’ai eu la naïveté de croire que le père en retournant en Turquie, pour rencontrer « un Ancien », allait revenir avec de meilleures intentions. Que l’Ancien lui aurait apporté sagesse, compréhension et compassion. Comme Umay, je me suis raccroché à un espoir. La séquence qui suit dans le salon où le père et les deux frères sont réunis dans un silence qui en dit plus long que des dialogues est éloquente d’horreur. J’ai compris que j’avais oublié la première séquence du film. Les traditions et la religion, quelles qu’elles soient, veulent nous faire croire qu’il y a de l’amour dans leur démarche. En vérité, c’est une peinture satinée qui camoufle une horrible hypocrisie. On aime une image que l’on doit donner aux autres pour être valorisé, respecté, et non pour ce qu’on est tout simplement. Il n’y a pas de place à des sentiments personnels, on doit renvoyer une image surfaite pour satisfaire un entourage, une famille. C’est quoi cet amour téléguidé ? A deux balles !? Désolé, Aladag, je ne peux pas aimer ceux qui veulent du mal à Umay. Même pas les comprendre ! Car j’ai dû mal à accepter qu’au XXIè siècle il y ait encore des hommes qui n’acceptent pas l’émancipation de la femme et n'acceptent pas quelque individu, homme ou femme pour ce qu'il est ou désire être au nom des traditions et de la religion.
    yayo
    yayo

    65 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2012
    Bon film qui vaut beaucoup pour ses excellents acteurs. Un petit point négatif c'est que le film est un peu trop à sens unique. D'accord on suit un personnage c'est normal qu'on se concentre sur lui. Mais j'aurais aimé un point de vue plus équilibré. Ici certains spectateurs pourront crier au manichéisme alors qu'au fond on sait très bien que des situations du genre existent (d'ailleurs quelque soit la religion).
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 juin 2012
    mdr ce film est une propagande anti islam il ya des millions de femmes musulmanes sur terre qui vivent tres bien sont heureuses et epanouies que sa soit en couple ou dans leur vie professionellle.ce film montre deja tres bien le role de l actrice je suis triste en compagnie de ma famille islamique tout l temps en colere contre moi mdrrr.deja l islam est tres mal vu et tres mal interpreté en occident et de deux concernant un athé prier chaque jour un createur s abstenir du peché et de quelques passions c claire qu est que c dure serieux!!!!! moi je dis un grand LOL pour ce film que j ai zapper au bout de vingts minutes des que je vu les roles respectifs
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 juin 2012
    Un film dramatique poignant sur le destin d'une mère de famille prête à tout pour protéger son enfant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 mars 2012
    Émouvant, actrice principale très bonne. Le film est plutôt réaliste et j'espère utile.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 février 2012
    Un avis mitigé, un déception conséquente..
    Je m'attendait à un film poignant et grandiose, je me suis confrontée à un film ennuyeux, au rythme beaucoup trop lent... Comment être touchée par un drame si dés les premières minutes les personnages vous exaspèrent ?
    La maman supposée être battue et détruite est étonnamment souriante et épanouie, le petit est inexpressif et vide, on dirait qu'il vit très bien l'absence de son père.
    La famille d'Umay et ses principes sonnent faux, et ce n'est pas une volonté du réalisateur !
    Mais la critique et la description du milieu Turc est malgré tout réussi ...
    C'est tellement dommage de ne pas avoir poussé l'horreur et l'incompréhension de la jeune femme plus loin encore..Et d'avoir décidé de garder la langue arabe durant les trois quarts du film, au lieu d'accentuer l'aspect vrai du film, il lui donne un aspect superficiel et brouillon.
    Par bonheur, la fin sauve le tout, et ne laisse pas le spectateur indifférent. L'intensité des acteurs pendant les 15 minutes de la fin, c'est tout ce qui manquait au film pour qu'il soit réussi.
    Et seulement le premier quart d'heure et le dernier sont réellement importants.
    En fait, l’Étrangère est un excellent court métrage de 30 minutes.
    Caine78
    Caine78

    6 801 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 février 2012
    Le problème, une fois de plus, avec ce genre de films, c'est qu'il a ses moments forts, des choses à dire, si bien qu'il est difficile de le critiquer violemment. Reste qu'hormis une actrice très convaincante, je me suis pas mal ennuyé devant cette « Etrangère » qui n'hésite pas à sortir l'artillerie lourde. Et que les hommes turcs sont tous d'indescriptibles salauds tandis que les femmes sont de pauvres victimes, et qu'en quittant sa famille l'héroïne apporte le déshonneur à ses parents, mais qu'elle veut protéger son fils, mais en même temps elle aime sa famille même si ce sont des pourris et qu'elle ne veut pas leur faire de tort, et que son mari arrive de Turquie pour récupérer le fiston, et que... STOOOOOOOOOOOOOOOOPPPPPP! Je ne suis pas contre un peu de misérabilisme et de mélo, mais trop, c'est trop. J'en ai marre de ces films qui sous prétexte d'évoquer des sujets importants, se permettent un peu tout et n'importe quoi. Surtout que cela a déjà été fait, et en mieux! Mais c'est la mode, alors on essaye, quasiment sûr d'être adoubé par des critiques qui semblent à chaque fois se délecter de voir pour la 200ème fois la question revenir sur le tapis. Reste que moi, j'en ai plein le cul (désolé d'être vulgaire, mais c'est vrai). Attention, je ne voudrais pas non plus passer pour un facho et vous dire que ce cinéma me révulse : il n'en est rien! Mais n'y a t-il pas d'autres thèmes à aborder aujourd'hui? N'y a t-il pas moyen de poser des questions autrement qu'en nous offrant un festival de caricatures crispantes au plus haut point afin que le spectateur un peu abruti puisse bien comprendre qui sont les méchants et les gentils? Je ne doute toutefois pas que l'entreprise était sincère, et je le répète, Sibel Kekilli est remarquable dans le rôle principal, mais il serait toutefois plus que temps que le cinéma engagé arrête de se regarder le nombril et de s'apitoyer sur lui-même : c'est le plus beau cadeau qu'il pourrait faire au septième art.
    fritzlang1971
    fritzlang1971

    26 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2012
    Drame familial réussi et particulièrement bien interprété (notamment par Sibel Kekilli). De retour à Berlin dans sa famille d'origine turque pour fuir un mari violent envers son fils, Umay s'aperçoit que sa venue n'est pas particulièrement appréciée et décide de prendre la fuite à nouveau... Un très beau film, un beau portrait de femme que je suis content d'avoir découvert. A noter une fin déchirante et larmoyante.
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