Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un dernier acte d'une grande beauté et d'une justesse rare.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
Une oeuvre sensible et délicate sur un père qui tente de renouer avec sa petite fille de 6 ans. Paul Dano, dans le rôle de ce père, plein de failles et de fêlures, est d'une grande justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Première
par Isabelle Danel
(...) ce portrait d'un père velléitaire (Paul Dano, fragile, indécis, bouleversant) dit bien les rêves et les impossibilités de toute une génération.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Perrine Quennesson
Petit film indé, "For Ellen" convainc par sa mise en scène sobre et l'admiration que la réalisatrice a pour son acteur principal donnant à l'ensemble une véritable authenticité et sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Sandrine Marques
Paul Dano, dans le rôle du musicien en perdition, s'enlise dans une interprétation caricaturale. La faute à un film formaté, avec une résolution en demi-teinte, mais que sauve la rencontre avec la fillette. Ce moment d'émotion pudique et habité ravive une fiction assez peu inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Adrien Gombeaud
Auteur du joli "Treeless Mountain", So Yong Kim livre un film touchant, mais qui s'inscrit trop scolairement dans les standards habituels du cinéma indépendant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Samuel Douhaire
"For Ellen" est le prototype, pour ne pas dire la caricature, du film "indé" américain. Heureusement, il y a Paul Dano.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
La douleur dégagée par le dénouement nous fait regretter que le film ait passé une bonne moitié de sa durée à régler son bon niveau d'empathie.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
À contre-emploi, Paul Dano convainc dans ce rôle de jeune star égoïste qui découvre la paternité. Mais le film perd trop de temps dans des bars enfumés et des paysages étouffés par la neige avant d'entrer de plain-pied dans son beau sujet.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Malgré la prestation d'un Paul Dano méconnaissable, So Yong Kim ("Treeless Mountain") passe à côté de son (joli) sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Metro
par Marilyne Letertre et Mehdi Omaïs
Ce face-à-face aurait sans doute été émouvant sans son minimalisme anesthésiant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Le film ressemble à une gueule de bois sans fin. (...) [So Young Kim] signe un film erratique et atmosphérique contaminé par le mal de vivre qui manque paradoxalement d'émotion, desservi par le jeu irritant de Paul Dano.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Il ne se passe pas grand-chose dans "For Ellen".
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Sur une trame scénaristique archibalisée, la cinéaste coréenne signe un paradigme de film indépendant américain avec crise familiale appuyée et personnages à la dérive archétypaux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
CinemaTeaser
Un dernier acte d'une grande beauté et d'une justesse rare.
Le Figaroscope
Une oeuvre sensible et délicate sur un père qui tente de renouer avec sa petite fille de 6 ans. Paul Dano, dans le rôle de ce père, plein de failles et de fêlures, est d'une grande justesse.
Première
(...) ce portrait d'un père velléitaire (Paul Dano, fragile, indécis, bouleversant) dit bien les rêves et les impossibilités de toute une génération.
Ecran Large
Petit film indé, "For Ellen" convainc par sa mise en scène sobre et l'admiration que la réalisatrice a pour son acteur principal donnant à l'ensemble une véritable authenticité et sensibilité.
Le Monde
Paul Dano, dans le rôle du musicien en perdition, s'enlise dans une interprétation caricaturale. La faute à un film formaté, avec une résolution en demi-teinte, mais que sauve la rencontre avec la fillette. Ce moment d'émotion pudique et habité ravive une fiction assez peu inspirée.
Positif
Auteur du joli "Treeless Mountain", So Yong Kim livre un film touchant, mais qui s'inscrit trop scolairement dans les standards habituels du cinéma indépendant.
Télérama
"For Ellen" est le prototype, pour ne pas dire la caricature, du film "indé" américain. Heureusement, il y a Paul Dano.
Cahiers du Cinéma
La douleur dégagée par le dénouement nous fait regretter que le film ait passé une bonne moitié de sa durée à régler son bon niveau d'empathie.
La Croix
À contre-emploi, Paul Dano convainc dans ce rôle de jeune star égoïste qui découvre la paternité. Mais le film perd trop de temps dans des bars enfumés et des paysages étouffés par la neige avant d'entrer de plain-pied dans son beau sujet.
Les Fiches du Cinéma
Malgré la prestation d'un Paul Dano méconnaissable, So Yong Kim ("Treeless Mountain") passe à côté de son (joli) sujet.
Metro
Ce face-à-face aurait sans doute été émouvant sans son minimalisme anesthésiant.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Le film ressemble à une gueule de bois sans fin. (...) [So Young Kim] signe un film erratique et atmosphérique contaminé par le mal de vivre qui manque paradoxalement d'émotion, desservi par le jeu irritant de Paul Dano.
Les Inrockuptibles
Il ne se passe pas grand-chose dans "For Ellen".
TéléCinéObs
Sur une trame scénaristique archibalisée, la cinéaste coréenne signe un paradigme de film indépendant américain avec crise familiale appuyée et personnages à la dérive archétypaux.