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Un visiteur
4,0
Publiée le 24 juin 2012
Autant je n'ai pas aimé la première partie du film, autant j'ai ADORÉ la seconde ! Cette histoire (vraie) est vraiment bouleversante et à la fin du film on voit les choses autrement (...) ! Un très beau role pour Gérard Butler...
J'ai bien aimé ce film, avec beaucoup de scènes touchantes et qui relève bien l’aspect des horreurs qui se passent dans certains pays africains. Les ONG et autres missionnaires ou prêcheurs qui essaient par leurs moyens souvent dépassés de changer les choses, c'est vrai qu'ils réussissent parfois à sauver certaines situations, mais eux ne seront pas toujours là, en plus dans ces pays de violence, les gouvernements se retranchent derrière leur position, car qui sait pour eux de quoi sera fait demain, et c'est sûrement pour cela que dans ces pays où la violence et les ethnies dominent souvent les choses. Enfin le peut de bien que peuvent faire ces volontaires étrangers, c'est déjà ça de sauver. Gerard Butler joue là, un excellent rôle. C'est un film à découvrir pour s'imaginer les choses qui se passent dans ces pays et la souffrance qu'endurent ces pauvres être humains sans défense face à des fous fanatiques qui enrôlent même de force des enfants pour en faire des soldats tueurs sans état d'âme, car c'est ça ou être zigouillé, alors ils tuent pour survivre, voilà le gros problème dans certains pays d'Afrique. Très bon biopic, mais il y a une chose qui me dérange dans le film, c'est qu'il néglige complètement sa famille, pour sa mission, peut-être qu'avec le temps cela s'arrangera, mais de ce que l'on voit, c'est dur, dur pour sa femme et sa fille restées aux USA. Sinon le reste est tout bon, et je note 4,5 étoiles sur 5.
Quasi un pur chef d oeuvre passez au delà des bondieuseries puritaines americaines et vous aurez un excellent moment de cinéma ainsi qu'un Butler au sommet de son art, il dévoile tout son talent loin du bourrin comique ! des scène dures, un cadre historique nous mettant face aux tristesses et abomination de notre Monde de dingue. A voir absolument
bon film, pour un public averti car violent et très dur a supporter à certains moments. Cette histoire revient sur des moments difficile au soudan au travers du destin d'un homme perdu avec ses travers et sa fraternité. Trés bon jeu d'acteur de Gerard Buttler.
Un sujet certes conventionnel et attendu (dans un genre plus ou moins similaire The Constant Gardener était un cran au-dessus) mais qui reste un très bon divertissement grâce à une mise en scène dynamique et une brochette d'acteurs magnétique.
Une très belle bio sur fond de violence, d'empathie et de révolte. Butler y excelle avec un caractère bien trempé, à l'image du film. Le combat d'une vie après les combats envers soi-même, une "révélation" à prendre à multiples degrés, il y en a pour tous les goûts. On oscille entre drame et action, d'une très bonne efficacité, le message passe, les images restent ... tenaces. Les propos, du générique de fin, résume à eux-seuls cette main tendue, aussi bien sur une gâchette que d'entraide. Non conventionnel dans le statut mais tellement noble dans la démarche. 4/5 ! A voir !!
Très bon film inspiré de l'histoire vraie de Sam Childers qui décide d'aller au Soudan pour prêcher et protéger les enfants en danger. Entre drame et action avec Gerard Butler en grande forme!! Un peu mollasson par moment mais très bien et émouvant. Bien!
Dernièrement, Marc Forster nous aura laissé un goût d’amertume après le décevant Quantum of Solace (2008), alors qu’il nous avait bluffé avec Les cerfs-volants de Kaboul (2007). Cette fois-ci, il revient avec Machine Gun Preacher (2011), un film méconnu du grand public, mal exploité car mal reçu par le grand public et la critique. Le film raconte l’histoire vraie de Sam Childers un ancien motard de la bande des Hell's Angels, ex-dealer de drogues, qui après un passage par la case prison sera touché par la grâce de Dieu. Ni une, ni deux, le voilà qui se décide sur un coup de tête d'aller au Soudan prêcher la bonne parole et protéger les enfants orphelins où la guerre civile y fait rage. Dis comme ça, on croirait avoir affaire à un scénario Hollywoodien et on peine à imaginer qu’il puisse s’agir d’une histoire vraie et pourtant, à l’heure qu’il est, Sam Childers est toujours au Soudan où il a depuis longtemps fondé la "The Angels of East Africa" où il est venu en aide à des centaines d’enfants. Si Marc Forster nous séduit dans un premier temps, on finit aussi par se lasser de toutes ces bondieuseries, d’autant plus que le film ne nous éclaire à aucun moment concernant les enjeux de ces conflits armés où Sam Childers, mitraillette à la main, tue au nom du Christ et ce, sans le moindre remord, c’est tout de même douteux, même si les motivations sont honorables. Reste au final un sympathique biopic porté par un Gerard Butler impliqué, une Michelle Monaghan trop en retrait et un Michael Shannon sous-exploité.
Comment dénoncer le milieu des gangs et de la drogue, en même temps qu'un génocide à l'autre bout du monde, tout en décrivant la figure d'un homme dont le combat mérite le respect le plus total ? Hé bien en faisant appel à un réalisateur qui a du style, qui sait faire ressortir la profondeur des personnages, et qui connait son sujet. Même si le physique des acteurs respecte très mal les vrais personnes, leur jeu nous le fait oublier. La brutalité des scènes et la mise en scène simple nous permet de découvrir avec objectivité la réalité de ce conflit. Le réalisateur a su alterner scènes d'actions, scènes dramatiques, et scènes de bonheur. Un film fort en émotion avec des aspects de reportage et de biographie.
L’actualité internet se conjugue un peu plus avec le cinéma. Il y a à peine une semaine une vidéo virale inondait le net et tous les réseaux sociaux. Un court-métrage (documentaire) réalisé par l’association « Invisible Children ». Cette vidéo était censée sensibiliser le monde quant aux agissements monstrueux de Joseph Kony chef des rebelles, qui tente avec l’aide de son armée (la LRA) d’installer un régime (système) théocratique en Ouganda et au Soudan (sud Soudan). Le propos ici n’est pas de débattre sur cette vidéo (comme c’était le cas la semaine dernière) mais de parler du film, Machine Gun Preacher. Film sans aucune sortie prévue France pour le moment, qu’on a pu voir outre-manche, également sortie aux Etats-Unis en fin d’année 2011. Machine Gun Preacher narre « L'histoire vraie de Sam Childers, un ancien motard dealer de drogues, touché par la grâce qui décide d'aller au Soudan prêcher la bonne parole et protéger les enfants. » A la réalisation, Marc Forster. Pur faiseur d’Hollywood qui nous a offert du très bon, A l’ombre de la haine, Nerverland, au moins abouti, Les cerfs-volants de Kaboul et Quantum of Solace. Pur faiseur donc par l’éclectisme et le contenu de sa filmographie. Si le film piétine dans sa forme lors des allers et retours répétitifs de Childers au Soudan, il n’en demeure pas moins qu’une certaine efficacité ressort de la mise en scène dans son premier tiers. Il ose ensuite montrer les horreurs que les civils subissent depuis des années. Evitant une certaine décharge démagogique le film tombe tout de même dans une facilité dramatique. Hélas, comme criblée de clichés plus poussifs les uns que les autres la véritable histoire s’efface au fur et à mesure. L’arche principale s’effondre alors dans une dramaturgie malvenue. L’afflux de scènes dramatiques tires-larmes oscillent avec des scènes d’action, la narration s’inspirant de faits réels en est ainsi amoindrie. Machine Gun Preacher tend alors à toucher les esprits et fait naître quelques émotions mêlées de réflexions. Étrangement plus par le reflet que Gerard Butler tend à donner du vrai Sam Childers que par sa prestation en elle-même. Ni plus ni moins qu’une composition conventionnelle, Butler donne tout de même assez d’empreint à son personnage afin de nous projeter dans la vraie vie de son personnage. Là est la seule force salvatrice du film, nous faire croire en demi-teinte en l’incroyable vie de Sam Childers, ayant tout donné aux enfants soudanais. On se surprend alors à rehausser le niveau dramatique du film quant au générique de fin le discours très extrême du vrai Childers nous pousse à avoir une réflexion plus mitigée. Etranges montagnes russes donc, du début à la fin du métrage, qui finissent par ranger Machine Gun Preacher sur les étagères des films sans saveur qu’on aurait pourtant voulu aimer. Malgré cet échec de mise en scène de fond comme de forme reste l’étrange écho d’un film qui se veut utile jusqu’à un certain degré. Plus contemplatif que réflexif. Machine Gun Preacher n’est pas le film attendu afin de donner écho à son sujet principal. Sujet délicat et humain s’il en est, ce que Forster ne fait qu’en demi-teinte. http://requiemovies.over-blog.com/
Ah, ben non. L'histoire en soi est assez intéressante, mais le côté "j'étais méchant, j'ai eu une révélation, j'ai trouvé Dieu, je vais aider les enfants Africains", en fait, non, ça passe pas x'D. Puis bon, Gerard Butler, c'est le Hugh Jackman du pauvre. Je suis persuadée que c'est un bon acteur même si je ne l'aime pas. Puis Michael Shannon, qu'est-ce qu'il faisait là :'O ? Il a perdu son temps... Bref, rien pour sauver l'histoire x').
le synopsis raconte l'histoire et s'auto suffit. Il ne se passe pas grand chose dans le film et finalement, on a du mal à suivre tellement c'est peu captivant.