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Votre avis sur Balada Triste ?
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Apres 10minutes et une supère bande annonce, ça partait pourtant tellement bien... Malheureusement, Alex de la Iglesia se perd dans une succession de scènes sanguinolentes sans véritables liens entre elles.
On attend alors avec impatience la fin de cette galerie d'horreur faisant oublier pourtant les nombreuses bonnes idées qui regorgent dans ce film et qui aurait put être exploitées par le cinéaste.
Dommage...
On attend alors avec impatience la fin de cette galerie d'horreur faisant oublier pourtant les nombreuses bonnes idées qui regorgent dans ce film et qui aurait put être exploitées par le cinéaste.
Dommage...
Très bon film, étrange, surprenant quand on y va sans trop en savoir sur l'histoire, le genre... Mais j'ai plutôt apprécié, loin, très loin, des films de genre Français !
grosse claque ! un pure bijou voué à devenir culte. le bouche à oreille dois tourner pour que cette perle ne sois pas emporté dans le flot de films peu intéressant qui sortent en ce moment.
Un OVNI cinéma... Dans l'ambiance des années franquistes et touché par la grâce par moments, le film patauge ensuite dans un délire kitsch, dans des effets spéciaux volontairement affreux pour finir dans un horrible marasme collant et dégueulasse sans intérêt.
Vendu comme un truc génial et inspiré,balada triste n'a ni l'un ni l'autre,ou peut être pour ceux qui découvrions Álex de la Iglesia.Si le film démarre bien il atteins très rapidement une zone déserté du moindre scenario,c'est le néant le plus total.Iglesia sert la même soupe de film en film avec les mêmes ficelles,un scénar faussement inspiré remplis de bastons interminables.
Emouvant, rempli d'action, ... Film à avoir vu! Un des films du semestre.
Requiemovies
Alex de la Iglesia n’a jamais été autant survolté, dynamique, véritable feu d’artifice visuel, Balada Triste oscille entre le vulgaire et le poétique désuet. Conte moderne viscéral, bestiaire humain sous speed dans une esthétique des plus belles. Entre Grimm et Gillian et la folie douce hispanique dont Iglesia nous a abreuvé. Cette fête visuelle (l’introduction sublime donnant le ton) n’a aucun checkpoint ni réel arrivée. C’est hélas le défaut et la qualité du film. Tout ce délire visuel casse littéralement le rythme et donne un arrière goût nauséeux de scènes mises bout à bout sans réel suivi de progression des personnages, troublant donc concernant l’histoire en elle même et sa linéarité. Reste donc uniquement un festival visuel ébouriffant ne laissant que peu de temps à chaque respiration seul le ton et la beauté de la photo et des cadres donnent à respirer de plaisir. Film étrange de contrastes et de paradoxes mais attachant dans ce contexte, perturbant.
Ce vers quoi le cinéma de nos jours doit tendre. Une toile d'hommages à des monuments du cinéma et de la littérature qui les tort dans tous les sens pour en faire ressortir le jus. Un film qui marque une étape dans l'histoire du cinéma (il tient peut-être justement son imperfection de sa fonctionnalité), que l'on étudiera bientôt dans les classes. On ne doit pas être dérouté en voyant ce film qui marque, au contraire, la route à suivre.
Filme truqueur et complaisant, racoleur aussi. Mauvaise surprise. A éviter.
Santu2b
Une idée géniale transformée en purge infâme. En 2011, Alex de la Iglesia, auteur du déjanté "Crime Farpait", revenait avec "Balada Triste" distillant en effet avec lui un sujet prometteur : la rivalité de deux clowns en Espagne durant les années 1970 pour la conquête d'une belle. Tous les deux forment forcément le duo manichéen par excellence ; le viril et le clown triste, contraste où le bât blesse déjà. Car d'emblée, l'histoire n'est pas crédible, et le spectateur a bien du mal à se figurer la romance ridicule entre Sergio et Natalia. Sûrement conscient de ce handicap et de l'inconsistance incroyable de son scénario, le cinéaste préfère donc miser continuellement sur la surenchère. À commencer par cette esthétique criarde, chargée d'une lumière envahissante et de situations tape à l'oeil. Voulant bien plus souvent gonfler ses muscles, Iglesia en oublie le potentiel poétique d'un tel sujet, noyé dans un flot d'images gores, exécutées avec une mentalité infantile. On a même droit à du Francis Cabrel en espagnol ! Non non, cette ballade est décidément trop lourde.
Oui mais qui n'engendre pas la mélancolie pour autant. Monstrueuse tragédie complement jetée. Une histoire basique, une rivalité amoureuse de 2 hommes pour une belle, vu par De LA Iglesia fallait s'attendre à quelque chose d'inattendu. C'est la cas ici, et le réalisateur montre ce qu'il a envie et va jusqu'au bout de son délire poetico trash maitrisé et d'une liberté de ton de plus en plus rare. Au moins le film n'est pas formaté pop corn tv, et ici le Grotesque, le vrai, redevient un art à part entier. Osé, incorrect, et j'en suis ressorti un peu sonné mais ravi.
Film déroutant...en deux parties très inégales : la première, l'attaque de la caserne par les clowns, qui dure seulement un quart d'heure est extraordinaire, géniale...C'est un mélange de Fellini, d'Arrabal, de Monty Pithon et de John Ford en même temps : époustouflant !
La deuxième partie, le reste, c'est soap, gore, trash en même temps :
une heure et demi de cinéma à la limite du supportable : balada triste !
La deuxième partie, le reste, c'est soap, gore, trash en même temps :
une heure et demi de cinéma à la limite du supportable : balada triste !
film très particulier qui en laissera quelques uns en route. L'esthétique est très travaillée mais n'est pas mise au service du "Beau", au contraire. Enfin film d'une rare violence, comme les propos qu'il dénonce.
peut-on se foutre du spectateur, filmer n'importe quoi n'importe comment ? faire passer ça pour du style et recevoir un prix ?
OUI, surtout si le president du jury en question est ce bluffeur de tarantino.
La preuve avec ce film espagnol très mauvais qui a bien reçu le prix de la mise en scène et du scenario à Berlin!!! l'an dernier
une aberration! La première heure ça tient encore grâce surtout à l'excellent acteur qui joue le role principal (le clown triste) qui nous fait rire a sa moindre apparition. mais l'heure passée le film se prend trop au sérieux et le scenario est d'un ridicule! à faire passer les skecthes des nuls dans "la cité de la peur" pour du kubrick!
On en peut que rire de tant d'enormités et de "n'importe quoi" ou bien etre en colère de nous prendre pour des crétins.
a eviter!
OUI, surtout si le president du jury en question est ce bluffeur de tarantino.
La preuve avec ce film espagnol très mauvais qui a bien reçu le prix de la mise en scène et du scenario à Berlin!!! l'an dernier
une aberration! La première heure ça tient encore grâce surtout à l'excellent acteur qui joue le role principal (le clown triste) qui nous fait rire a sa moindre apparition. mais l'heure passée le film se prend trop au sérieux et le scenario est d'un ridicule! à faire passer les skecthes des nuls dans "la cité de la peur" pour du kubrick!
On en peut que rire de tant d'enormités et de "n'importe quoi" ou bien etre en colère de nous prendre pour des crétins.
a eviter!
Christoblog
Voilà sans conteste un film qui ne plaira pas à tout le monde.
Du grand guignol (relativement) maîtrisé, de l'esbroufe assumée, de la bouffonnerie ampoulée : il y a de tout ça dans le nouvel opus d'Alex de la Iglesia.
On n'aime pas du tout, ou on se laisse emporter par le découpage ultra-speed, les changements de ton incessants et les audaces formelles (le plus souvent d'un affreux mauvais goût).
L'histoire est tellement grotesque qu'on a peine à la raconter sans rire : un clown perd son père en 1937 dans des circonstances abracadabrantes, on le retrouve en 1973 essayant piteusement de devenir clown comme son géniteur. Il tombe amoureux de la belle artiste blonde qui est avec le patron du cirque (visiblement, et bien qu'il la frappe, ce sont les choses du sexe qui la fixe à lui). S'ensuit une compétition à mort entre les deux hommes qui comprendra (dans le désordre) : un duel dans le site bien connu de la Valle de los Caidos, diverses défigurations, dont une au fer à repasser brûlant, des mitraillages divers, la main de Franco mordue, l'absorption de viande de cerf crue, le suicide d'un homme volant à moto...
C'est n'importe quoi et j'ai bien aimé, mais je ne garantis absolument pas que vous éprouverez le même plaisir que moi ! Si vous avez du goût, ce sera même probablement le contraire.
D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
Du grand guignol (relativement) maîtrisé, de l'esbroufe assumée, de la bouffonnerie ampoulée : il y a de tout ça dans le nouvel opus d'Alex de la Iglesia.
On n'aime pas du tout, ou on se laisse emporter par le découpage ultra-speed, les changements de ton incessants et les audaces formelles (le plus souvent d'un affreux mauvais goût).
L'histoire est tellement grotesque qu'on a peine à la raconter sans rire : un clown perd son père en 1937 dans des circonstances abracadabrantes, on le retrouve en 1973 essayant piteusement de devenir clown comme son géniteur. Il tombe amoureux de la belle artiste blonde qui est avec le patron du cirque (visiblement, et bien qu'il la frappe, ce sont les choses du sexe qui la fixe à lui). S'ensuit une compétition à mort entre les deux hommes qui comprendra (dans le désordre) : un duel dans le site bien connu de la Valle de los Caidos, diverses défigurations, dont une au fer à repasser brûlant, des mitraillages divers, la main de Franco mordue, l'absorption de viande de cerf crue, le suicide d'un homme volant à moto...
C'est n'importe quoi et j'ai bien aimé, mais je ne garantis absolument pas que vous éprouverez le même plaisir que moi ! Si vous avez du goût, ce sera même probablement le contraire.
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