Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Brazil
par Sylvain Blanchard
Captivant de bout en bout, le film est tour à tour un pamphlet politique, une histoire d'amour déjantée et un film d'horreur (...) Indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
A la fois reconstitution historique, histoire d'amour, comédie, drame et film d'horreur, le dernier-né d'Alex de la Iglesia est un spectacle incroyable qui se vit presque comme un tour de montagnes russes nous ballotant sans cesse d'une émotion à une autre pour finalement nous laisser K.O.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Mad Movies
par Stéphane Moïssakis
De par son jusqu'au-boutisme à la fois thématique et cinématographique, "Balada triste" représente une énorme prise de risque (...). En résulte une narration proprement inhabituelle, (...) et le résultat aurait très bien pu larguer le spectateur plus d'une fois si Alex de la Iglesia, animé par une rage assez inouïe et particulièrement viscérale, ne portait pas la symbolique de son oeuvre sur ses seules épaules.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Paris Match
par Alain Spira
Aussi sombre qu'une BD de Carlos Gimenez, aussi gothique et flamboyant que du Tim Burton, speed et violent comme du Tarantino, et aussi surréalistement déjanté que du Jodorowsky, Iglesia pioche dans l'histoire récente de son pays comme on creuse une tombe, avec un humour plus noir que la langue d'un pendu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
[POUR] Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
par Caroline Vié
Allant toujours plus loin dans la poésie macabre, le cinéaste flirte avec l'horreur autour d'hommes dont la passion tourne à la déraison. (...) Les sentiments exacerbés de ses personnages déteignent sur sa mise en scène flamboyante jusqu'à donner le vertige entre terreurs enfantines et peurs adultes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Vincent Avenel
Cinéaste du baroque et du monstrueux, Álex de la Iglesia montre avec "Balada Triste" qu'atteindre à la maturité ne rime pas avec s'assagir, ni avec composer avec la respectabilité. Enthousiasmant avatar de son ode à la différence et au grotesque, son film se double d'un retour en force d'un cinéma de genre revendicatif et sans peur. Et ça fait du bien.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
par Aurélie Vautrin
Un film profond et profondément original, dans lequel le cinéaste démontre à la fois son génie de réalisateur et de metteur en scène, et son mépris total des conventions et de la bonne morale. Un film complètement fou. Mais que c'est bon, parfois, un peu de folie dans ce monde de brutes.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpèche
Un récit foisonnant, des personnages complétement barrés, de l'humour noir, une musique grandiloquente, des giclées d'hémoglobine. L'oeuvre de la maturité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Imaginez que les démons qui hantaient Goya se jettent sur Sam Raimi et vous aurez une idée de la grandeur grotesque et kitsch de "Balada triste". Le finale doit un peu à Hitchcock et pas mal à Gaston Leroux. Les dernières strophes du film sont empreintes d'une profonde tristesse qui lui donne une gravité impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Le sublime côtoie souvent le n'importe quoi absolu, mais le charme du projet réside justement dans ce détraquement en règle. Ou comment passer en un plan de John Waters à Ernst Lubitsch.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"Balada Triste" glisse du roulement de tambour réjouissant (la première partie est formidable et tenue) à un feu d'artifice bordélique qui, à force de se déployer dans toutes les directions imaginables, finit par n'en atteindre aucune.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
L'élan destructeur du film n'a sur le fond, rien de programmatique. Et bien qu'il entrave sa fluidité, ce plaisir de la désagrégation et de la salissure produit une énergie de sale gosse plutôt payante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Excessif
par Romain Le Vern
Le résultat est régulièrement enthousiasmant, même si, en dépit d'une générosité sans égale, l'envie vorace de faire un cinéma-somme n'échappe pas à l'ornière habituelle du réalisateur : une tendance à l'exagération et à l'excès qui peut épuiser.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Julien Welter
Alex de la Iglesia s'appuie sur une mise en scène baroque et sur la folie de ses personnages pour signer une grande tragédie grotesque. Un peu fatigant tout de même, malgré de beaux moments d'humour noir.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Thomas Agnelli
On peut trouver ça épuisant, excessif ou de mauvais gout. Mais les films qui témoignent et hurlent leur soif de cinéma à chaque plans ne sont pas si fréquents.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Anne Dessuant
Ce conte sauvage, qui convie Buñuel et Hitchcock, est drôle et écoeurant. Grotesque et outrancier. Comme le sourire du clown.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Idée originale, gâchée par l'image verdâtre et une mise en scène pachydermique. D'où le climax au sommet du hideux monument du franquisme, le Valle de los Caídos, une croix géante qui figure parfaitement le calvaire enduré par le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Jean-Loup Bourget
Ce que "L'Esprit de la ruche" d'Erice suggérait avec subtilité est ici traduit en Grand-Guignol tarantinien.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ne restent alors, pour stimuler le récit, que d'attendus débordements gores, de prévisibles ricanements d'humour noir et une ribambelle de rebondissements répétitivement hystérisés donnant alternativement l'impression d'un film soit mutilé, soit délayé.
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette, Emmanuèle Frois
Sinistre, vulgaire, grand-guignolesque et néanmoins récompensé à la Mostra par un lion d'argent sous la présidence de Quentin Tarantino.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Alex de la Iglesia pousse la surenchère et le grotesque dans le rouge.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La Rédaction
Hormis quelques scènes frappantes qui retombent sur leurs pattes, le film est une interminable surenchère de mutilations aussi diverses que ridicules, le tout sans arracher un sourire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
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Brazil
Captivant de bout en bout, le film est tour à tour un pamphlet politique, une histoire d'amour déjantée et un film d'horreur (...) Indispensable.
L'Ecran Fantastique
A la fois reconstitution historique, histoire d'amour, comédie, drame et film d'horreur, le dernier-né d'Alex de la Iglesia est un spectacle incroyable qui se vit presque comme un tour de montagnes russes nous ballotant sans cesse d'une émotion à une autre pour finalement nous laisser K.O.
Mad Movies
De par son jusqu'au-boutisme à la fois thématique et cinématographique, "Balada triste" représente une énorme prise de risque (...). En résulte une narration proprement inhabituelle, (...) et le résultat aurait très bien pu larguer le spectateur plus d'une fois si Alex de la Iglesia, animé par une rage assez inouïe et particulièrement viscérale, ne portait pas la symbolique de son oeuvre sur ses seules épaules.
Paris Match
Aussi sombre qu'une BD de Carlos Gimenez, aussi gothique et flamboyant que du Tim Burton, speed et violent comme du Tarantino, et aussi surréalistement déjanté que du Jodorowsky, Iglesia pioche dans l'histoire récente de son pays comme on creuse une tombe, avec un humour plus noir que la langue d'un pendu.
Studio Ciné Live
[POUR] Voir le site de Studio Ciné Live
20 Minutes
Allant toujours plus loin dans la poésie macabre, le cinéaste flirte avec l'horreur autour d'hommes dont la passion tourne à la déraison. (...) Les sentiments exacerbés de ses personnages déteignent sur sa mise en scène flamboyante jusqu'à donner le vertige entre terreurs enfantines et peurs adultes.
Critikat.com
Cinéaste du baroque et du monstrueux, Álex de la Iglesia montre avec "Balada Triste" qu'atteindre à la maturité ne rime pas avec s'assagir, ni avec composer avec la respectabilité. Enthousiasmant avatar de son ode à la différence et au grotesque, son film se double d'un retour en force d'un cinéma de genre revendicatif et sans peur. Et ça fait du bien.
Filmsactu
Un film profond et profondément original, dans lequel le cinéaste démontre à la fois son génie de réalisateur et de metteur en scène, et son mépris total des conventions et de la bonne morale. Un film complètement fou. Mais que c'est bon, parfois, un peu de folie dans ce monde de brutes.
Le Journal du Dimanche
Un récit foisonnant, des personnages complétement barrés, de l'humour noir, une musique grandiloquente, des giclées d'hémoglobine. L'oeuvre de la maturité.
Le Monde
Imaginez que les démons qui hantaient Goya se jettent sur Sam Raimi et vous aurez une idée de la grandeur grotesque et kitsch de "Balada triste". Le finale doit un peu à Hitchcock et pas mal à Gaston Leroux. Les dernières strophes du film sont empreintes d'une profonde tristesse qui lui donne une gravité impressionnante.
TéléCinéObs
Le sublime côtoie souvent le n'importe quoi absolu, mais le charme du projet réside justement dans ce détraquement en règle. Ou comment passer en un plan de John Waters à Ernst Lubitsch.
Charlie Hebdo
"Balada Triste" glisse du roulement de tambour réjouissant (la première partie est formidable et tenue) à un feu d'artifice bordélique qui, à force de se déployer dans toutes les directions imaginables, finit par n'en atteindre aucune.
Chronic'art.com
L'élan destructeur du film n'a sur le fond, rien de programmatique. Et bien qu'il entrave sa fluidité, ce plaisir de la désagrégation et de la salissure produit une énergie de sale gosse plutôt payante.
Excessif
Le résultat est régulièrement enthousiasmant, même si, en dépit d'une générosité sans égale, l'envie vorace de faire un cinéma-somme n'échappe pas à l'ornière habituelle du réalisateur : une tendance à l'exagération et à l'excès qui peut épuiser.
L'Express
Alex de la Iglesia s'appuie sur une mise en scène baroque et sur la folie de ses personnages pour signer une grande tragédie grotesque. Un peu fatigant tout de même, malgré de beaux moments d'humour noir.
Première
On peut trouver ça épuisant, excessif ou de mauvais gout. Mais les films qui témoignent et hurlent leur soif de cinéma à chaque plans ne sont pas si fréquents.
Télérama
Ce conte sauvage, qui convie Buñuel et Hitchcock, est drôle et écoeurant. Grotesque et outrancier. Comme le sourire du clown.
L'Humanité
Idée originale, gâchée par l'image verdâtre et une mise en scène pachydermique. D'où le climax au sommet du hideux monument du franquisme, le Valle de los Caídos, une croix géante qui figure parfaitement le calvaire enduré par le spectateur.
Positif
Ce que "L'Esprit de la ruche" d'Erice suggérait avec subtilité est ici traduit en Grand-Guignol tarantinien.
Cahiers du Cinéma
Ne restent alors, pour stimuler le récit, que d'attendus débordements gores, de prévisibles ricanements d'humour noir et une ribambelle de rebondissements répétitivement hystérisés donnant alternativement l'impression d'un film soit mutilé, soit délayé.
Le Figaroscope
Sinistre, vulgaire, grand-guignolesque et néanmoins récompensé à la Mostra par un lion d'argent sous la présidence de Quentin Tarantino.
Les Inrockuptibles
Alex de la Iglesia pousse la surenchère et le grotesque dans le rouge.
Libération
Hormis quelques scènes frappantes qui retombent sur leurs pattes, le film est une interminable surenchère de mutilations aussi diverses que ridicules, le tout sans arracher un sourire.
Studio Ciné Live
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