Le Pouvoir de la province de Kangwon : Critique presse
Le Pouvoir de la province de Kangwon
Note moyenne
3,6
9 titres de presse
Aden
Ciné Live
Le Monde
MCinéma.com
TéléCinéObs
Télérama
Cahiers du Cinéma
Novaplanet.com
Obejctif-Cinema.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Dans son second film, tout aussi fort, Le Pouvoir..., deux histoires parallèles finissent par se rejoindre pour n'en faire qu'une.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Portes fermées et attentes sans résultat scandent ainsi la mélodie triste de la solitude urbaine et de l'amour non partagé. Rarement aussi bien que dans Le Pouvoir de la province de Kangwon fut perçu cet état vaporeux, somnambulique, convalescent et maladif, tranquillement désespéré, qui saisit les êtres vivant les heures, les jours, les mois consécutifs à une rupture amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Proche des premiers Antonioni, c'est une oeuvre aride, sombre mais dense, grâce à l'ambition de la mise en scène et à l'implication des acteurs. Un régal pour le cinéphile.
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
(...) le deuxième film du cinéaste coréen semble épouser dans sa forme même les flottements du désir humain. Et l'amertume de son inachèvement.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
En trois films, charnels, familiers, précis, le Coréen Hong Sang-soo saisit le tourbillon de la vie. Une révélation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
L'hystérie, souvent déclenchée par l'alcool, coule à flots chez Hong Sang-Soo. Elle irrigue Le Pouvoir de la province de Kangwon.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Les initiés à Hal Hartley ou Edward Yang risquent de se retrouver dans ces remarquables études de moeurs, les autres de s'ennuyer ferme devant tant de minimalisme apprêté.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Obejctif-Cinema.com
par Romain Le Vern
Voyage singulier mais horriblement prosaïque, ce second film de la trilogie de Hong Sang-Soo provoque au final plus d'ennui que de fascination, voire la migraine. L'acide acétylsalicylique est fortement recommandé.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Aden
Dans son second film, tout aussi fort, Le Pouvoir..., deux histoires parallèles finissent par se rejoindre pour n'en faire qu'une.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Portes fermées et attentes sans résultat scandent ainsi la mélodie triste de la solitude urbaine et de l'amour non partagé. Rarement aussi bien que dans Le Pouvoir de la province de Kangwon fut perçu cet état vaporeux, somnambulique, convalescent et maladif, tranquillement désespéré, qui saisit les êtres vivant les heures, les jours, les mois consécutifs à une rupture amoureuse.
MCinéma.com
Proche des premiers Antonioni, c'est une oeuvre aride, sombre mais dense, grâce à l'ambition de la mise en scène et à l'implication des acteurs. Un régal pour le cinéphile.
TéléCinéObs
(...) le deuxième film du cinéaste coréen semble épouser dans sa forme même les flottements du désir humain. Et l'amertume de son inachèvement.
Télérama
En trois films, charnels, familiers, précis, le Coréen Hong Sang-soo saisit le tourbillon de la vie. Une révélation.
Cahiers du Cinéma
L'hystérie, souvent déclenchée par l'alcool, coule à flots chez Hong Sang-Soo. Elle irrigue Le Pouvoir de la province de Kangwon.
Novaplanet.com
Les initiés à Hal Hartley ou Edward Yang risquent de se retrouver dans ces remarquables études de moeurs, les autres de s'ennuyer ferme devant tant de minimalisme apprêté.
Obejctif-Cinema.com
Voyage singulier mais horriblement prosaïque, ce second film de la trilogie de Hong Sang-Soo provoque au final plus d'ennui que de fascination, voire la migraine. L'acide acétylsalicylique est fortement recommandé.