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Par leur performance, les deux acteurs font littéralement tenir le film debout ; pas assez, quand même, pour empêcher que les insuffisances du scénario et de la mise en scène (...) deviennent de véritables obstacles à l'adhésion du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Aden
(...) une oeuvre singulière et à contre-courant (...). Tout cela est plastiquement très beau, mais si lisse... John Hurt et Christian Bale sont excellents.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) film, qui passe du mauvais théâtre naturaliste (...) au conte de fées contemporain (...). L'ensemble du film baigne par ailleurs dans un panthéisme écologiste niais et antipathique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Avec cette trame simpliste (l'idiot rêveur et du vieil ours au bon cœur, menacés par le vilain riche) comme fragile postulat, le producteur Jeremy Thomas (Furyo, Le Dernier Empereur) s'est complètement perdu pour sa première réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Aden
Par leur performance, les deux acteurs font littéralement tenir le film debout ; pas assez, quand même, pour empêcher que les insuffisances du scénario et de la mise en scène (...) deviennent de véritables obstacles à l'adhésion du spectateur.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) une oeuvre singulière et à contre-courant (...). Tout cela est plastiquement très beau, mais si lisse... John Hurt et Christian Bale sont excellents.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
(...) film, qui passe du mauvais théâtre naturaliste (...) au conte de fées contemporain (...). L'ensemble du film baigne par ailleurs dans un panthéisme écologiste niais et antipathique.
Libération
(...) All the Little Animals est un film totalement superflu.
Première
Ambiance "nature et découvertes" pour ce premier film du grand producteur de Bertolucci, dont le bon métier n'est, d'évidence, pas la mise en scène.
Repérages
Avec cette trame simpliste (l'idiot rêveur et du vieil ours au bon cœur, menacés par le vilain riche) comme fragile postulat, le producteur Jeremy Thomas (Furyo, Le Dernier Empereur) s'est complètement perdu pour sa première réalisation.
Télérama
(...) naïf et impersonnel.