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Philippe g.
20 abonnés
101 critiques
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0,5
Publiée le 3 décembre 2020
Attention, OVNI ! Probablement un des films les plus creux de ces dernières années. Aucun scénario, des personnages en roue libre, pas d'intrigue, aucun enjeux, rien. Le réalisateur Tom Hanks doit être immolé en place de Grève.
4 782 abonnés
18 103 critiques
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4,5
Publiée le 23 novembre 2020
Je ne suis pas un critique de cinéma. Mais en tant que spectateur j'apprécie vraiment l'histoire de Il n'est jamais trop tard. Après 2008 de nombreux Américains ont perdu leur emploi leur maison et beaucoup luttent pour maintenir leurs enfants à l'école et mettre de la nourriture sur la table. Vous avez entendu parler du terme citée tente où des familles de classe moyenne montent des tentes dans des parcs pour que les enfants et la famille puissent dormir. C'était une époque sombre. Ce film a pris une tournure différente et utilise Larry Crowne une personne admirable et honorable avec une attitude positive pour continuer et de bonnes choses ont commencé à se produire. Il ne s'est pas retrouvé avec une vie meilleure d'un point de vue financier mais avec une personne vraiment plus heureuse. Il montre que la vie peut être joyeuse et merveilleuse même lorsque l'on vient de faire une rencontre (Julia Roberts). C'est peut-être frustrant mais cela donne à chacun des espoirs et des encouragements qui nous permettent d'aller de l'avant et d'avoir une attitude positive face à la vie. C'est le message que j'aime dans ce film et la douceur des personnages que j'ai appréciés...
Tout est dans le titre. Ce film montre comment un homme divorcé, licencié, endetté, repart de zéro, d'abord en choisissant de suivre une formation, ensuite en acceptant l'influence de deux femmes, l'une se chargeant de renouveler sa garde-robe, l'autre l'aidant à révéler son plein potentiel dans l'art oratoire. Le discours de l'examen final est magnifique, se concluant en apothéose par une citation de George Bernard Shaw : "le cerveau de l'imbécile a tendance à réduire la philosophie à une fadaise, la science à une superstition et l'art à la pédanterie. D'où la nécessité d'une éducation universelle". Tom Hanks et Julia Roberts sont superbes, sensibles, touchants. Une belle romance à découvrir, en se laissant porter par le changement.
Déjà, il y a Tom Hanks et Julia Roberts. Ajoutez a ça un Al (Bryan Cranson) toujours aussi drôle, et des personnages très attachants, une histoire peu banale. La réalisation et les décors semblent sortis des années 90, mais ça colle bien à Tom Hanks.
Une petite comédie sympa, simple et qui n'a rien d'extraordinaire comme beaucoup, mais qui reste agréable à regarder. De plus, le personnage principal est attachant, c'est le genre de rôle va bien à Tom Hanks.
Il y a du forrest gump dans ce film mais pas si évident à voir c'est pourquoi beaucoup ne l'on pas vu ne le recherchant pas non plus. C'est un fait Hanks n'est pas un réalisateur trop expérimenté et l'on a parfois une impression de longueur et de manque d'intérêt mais c'est que c'est gentil et subtil et cela parle de vie intérieure. Le film n'est pas assez clair pour le dégager mais il y a une vraie dimension de communication et d'amitié qui est là en plus de critiques de la société américaine de différente façon. Le tout sans pratiquement aucune violence ce qui doit manquer à certain tant les films le plus souvent en montrent.
J'avais mis 3 à mon premier visionnage et quelques années après je met 2 avec mon second visionnage. Donc 2.5 moyen. Finalement il ne se passe grand chose dans ce film, c'est assez convenu comme bluette. Julia Roberts est assez inexpressive avec son masque de chirurgie esthétique. Quelques bons moments, une sorte de feel-good movie, la jeune actrice second rôle est pétillante.
Malgré une conclusion bien trop hâtive, un côté téléfilm un peu cheap, un scénario on ne peut plus basique et des personnages très clichés, "Larry Crowne" est desservi par un casting cinq étoiles et nous rappelle une fois encore que Tom Hanks, si il n'est pas un excellent réalisateur, est bel et bien l'un des meilleurs acteurs de sa génération.
Tom Hanks et Julia Robert, après un film politique, revoici notre duo fétiche dans une comédie romantique et sociale mêlant la reconversion de l'un, et la lassitude professionnelle de l'autre. spoiler: Perdre son emploi d'un coup à cause du fait qu'il n'est pas aller à l'université, du coup privé de poursuite professionnelle. Juste dégueulasse puisse qu'il "freinera" la réussite de l'entreprise. De l'autre une prof qui, si elle n'à pas les 10 élèves minimum dans sa classe, ne la fera tout bonnement pas. Un jeu de la part d'Hanks toujours parfait avec cette voix française si géniale, un rôle dément d'autant plus qu'il est aussi derrière la caméra après avoir déjà tourner quelques épisodes de série dont "La crypte". Des rôles secondaires très bon avec cette jeune femme trépidante qui ne veut que son bien et lui relancer la joie de vivre. spoiler: Le quotidien dans l'université est très bien montrer, avec son lot de prof surprenant comme celui de science-économique. Ce dernier, un chinois ou japonais d'origine, dont la façon de parler est très spéciale et surtout, très politique. Hyper drôle de constater que Hanks se met très rapidement dans la peau de l'étudiant spoiler: peu ou plus du tout habituer à très fortement obéir aux règles, comme celles de ne ni utiliser son portable en cours, ou de bavarder avec sa camarade. Une comédie romantique qui met spoiler: très longtemps à venir sur ce duo Hanks / Robert. Une relation visible qu'à la toute fin du film, j'ai très clairement eu l'impression que cette relation allait se jouée entre Hanks et sa copine d'école, cette dernière étant constamment surveillée par son copain, aux aguets lorsque celle-ci joue les très copine avec Hanks. Très globalement, très bon film, très bon jeu, et bon final, quoiqu'un peu kitche tellement il fut inespérée.
Tom Hanks fait lever le rideau et le sourcil quand il réalise un film ; ce n’est arrivé que deux fois. Il faut dire que la pétulance débordant de ses Forrest Gump, Robert Langdon et autres Chuck Noland pourrait difficilement ne pas constituer, en lui, toute l’équipe d’acteur, de réalisateur et de producteur qu’il a été pour Larry Crowne.
On ne peut qu’imaginer la tâche que cela a signifié pour lui de pondre un rôle qui se résume finalement à un attachant couillon, un benêt qui ne l’est pas tant sous le regard professoral d’une Julia Roberts vaguement revenue à la vie. Sa réalisation est fraîche, abusivement ensoleillée sans doute, mais fraîche.
Hélas, l’université qui est le décor de Crowne consiste en deux cours, deux professeurs et dix élèves. À croire qu’il a oublié les figurants, l’arrière-plan, bref : la vie. Cette ambiance en carton et ce fond désastreusement minimaliste donne un piètre terrain de jeu aux allers-retours entre les facettes de son propre personnage ; il est central et c’est normal, mais les orbites autour de lui manquent cruellement de recul.
Le résultat n’est pas pour autant médiocre, il est mignon – c’est aussi un euphémisme pour naïf, voire niais. Il y a très peu de catharsis. On dirait vraiment que Hanks avait l’habitude que plein de choses se fassent sans lui – sans qu’il soit dans l’incapacité de les faire, au demeurant. Sautant sur son scooter et saisissant la vie à pleines mains comme un Yes Man, il allonge une fin qui arrive pourtant vite, dans l’espoir que la musique continue engendre une sorte de conclusion.
Le verdict se rend avec une moue navrée : c’est un petit film, attachant mais mesquin, une expérience menée avec conviction mais sans boussole sur les terrains réconciliateurs de la sagesse et de la jeunesse (bien mieux réussie sous un même soleil par Jon Favreau dans #Chef – 2014).
Certes, on peut trouver ce divertissement familial un peu léger voire d'une indécrottable niaiserie, je le reconnais aisément. Pourtant, on peut également se laisser séduire par le ton volontairement insouciant et par l'ambiance sucrée de cette petite comédie signée Tom Hanks. Si le scénario ne fera sans doute pas l'unanimité, il est par contre indiscutable que l'ensemble est solidement porté par deux acteurs d'exception, Tom Hanks et Julia Roberts, qui rivalisent de charisme et de talent pour donner corps à leurs personnages. Ceci dit, il serait injuste de ne pas mentionner également la jolie troupe de seconds rôles qui « papillonnent » autour d'eux avec une indéniable fraîcheur et un beau sens de l’autodérision. Au final, « Il n'est jamais trop tard » m'a beaucoup amusé et m'a même donné envie de m'inscrire à la FAC...ce qui est une réelle performance, vu ma légendaire aversion pour le système scolaire. Ce film à l'apparence un peu « cruche » ne manque donc pas d’intérêt et peu même rendre heureux... à condition d'adhérer à son charme primaire et un peu désuet.
C'est un très bon film et je pense que les gens aigri (y en a énormément sur internet) ne pourront jamais comprendre ce genre de film. C'est le genre de film qui vous fait du bien et pour cela encore faut-il encore avoir un minimum de sensibilité , avoir une petite ouverture d'esprit ....ect.
Et puis un film avec Tom Hanks c'est jamais mauvais ,il a quelque chose que peu d'acteurs ont , on arrive pas le dissocié de son personnage.
C'est mignon, mais un peu plat ... le film oscille entre ado attitude (plutôt cucul ...) et dialogues d'adultes en pleine crise existentielle (parties les plus réussies : Tom Hanks et Julia Roberts jouent très bien leur rôle). Ce n'est pas brillant, c'est paisible ... ça occupe.