Avis : Il n'est jamais trop tard - Page 5

Franchement à éviter tellement ce film est ennuyeux . Même pas romantique ....le comble pour une comédie romantique . Aucune émotion ..Bon ! Julia Roberts est toujours aussi belle ...là c'est indéniable et c'est là que réside le seul attrait du film ..un peu mince quand même ....

Un film sage à la mise en scène classique. L'écriture est mielleuse, on a vu 150 fois cette histoire, on y croit plus, et le terme comédie peut être revu tant peu de passage semble écrit dans le but de faire rire! Alors évidemment la question c'est comment Tom Hanks crédible parmi les crédibles a t il pu écrire, produire, réaliser et jouer dans ce prénanar? Certes, un quart du film peut se vanter d'être plus ou mois réussit (celui des salles de classe) mais le reste (le gang des scooters, les brocantes, la vie sexuelle de julia roberts...) ne peut pas suivre et rend Tom Hanks presque ridicule! C'est dommage car Bryan Cranston est comme toujours excellent mais il apparait trop peu, Tom Hanks montre la totalité de sa palette, du rire au larme, d'acteur et Julia Roberts n'a pas été aussi séduisante et aussi forte depuis longtemps. Le vrai problème de ce film c'est que le couple star ne fonctionne jamais. Un vrai faux pas pour Tom Hanks.

Ce n'est pas le chef d'oeuvre de l'année, mais il se dégage de ce film un tel optimisme qu'on a envie de dire : "Allez donc le voir !" (en VO si possible). Les acteurs sont très bons et on s'amuse bien.

Cousue de fil blanc, cette bluette sentimentale ne manque pas de charme et doit son capital sympathie à son casting. Tom Hanks toujours à l'aise dans les rôles de gentil naïf, et Julia Roberts pétillante à souhait. On sait déjà comment tout va finir mais ce n'est pas pour ça qu'on va voir ce type de film, c'est le développement qui compte. En plus il y a beaucoup d'humour donc on passe un agréable moment. Bref un film léger et sympathique pour se changer de la morosité du quotidien...

Gentillet, nostalgique des années de gloire de Julia Roberts et de Tom Hanks, et plutôt chargé d'espoir. Mais un peu creux à part ça... Ça fait plaisir à voir, mais on s'en passe facilement :'). Il y a de bons personnages et c'est parfois drôle, mais sinon, rien de spécial.

Il est assez navrant de constater que Julia Roberts choisit très mal ses maris. Il y a déjà plus de vingt ans, elle avait déjà beaucoup souffert sous le joug de son époux dans l'inquiétant "Les nuits avec mon ennemi". A croire que la leçon ne lui a pas suffi, elle se trimballe ici un autre mec qui s'il est pour le coup plus stupide que méchant lui cause encore beaucoup de soucis. Si la cause dans ce domaine de la tante de la délicieuse Emma semble malheureusement désespérée, en revanche il apparaît clairement que "Il n'est jamais trop tard" pour Tom Hanks qui nous livre avec cette pétillante histoire un film fort agréable. Si son point de départ n'est pas très réjouissant mais s'inscrit malgré tout dans son époque avec la crise née de 2008 et son corollaire du nauffrage du crédit hypothécaire américain, son évocation nous donne au final le moral et la super pêche. On y trouve en effet beaucoup de fraîcheur, notamment grâce au personnage incarné par la souriante Gugu Mbatha-Raw, et d'humour. Ce n'est pas entièrement convaincant, car un peu décousu et certainement trop sirupeux, mais on s'attache très rapidement aux différents protagonistes qui nous montrent qu'il faut prendre la vie du bon côté et se battre pour y arriver. Après "The company men" (qui traitait du même sujet mais en plus sérieux) voilà donc des personnages de bonne compagnie.

14/20: Le voici le deuxième film de Tom Hanks! Et il ne fait nul doute que ce dernier a voulu se faire plaisir en réalisant un film pas prétentieux pour un sou et dans un genre qu'il connait bien: la comédie de moeurs... Et quoi de plus normal que de prendre une bonnne vieille copine comme partenaire de jeu, qui de plus s'y connait bien aussi dans le domaine comique. Cela donne au final une oeuvre qui brille plus par l'interprétation de ces comédiens que par l'originalité d'un scénario vu et revu 1 000 fois! Rien de bien neuf mais il est très agréable de constater que Julia Roberts et Tom Hanks s'épanouissent encore totalement dans ce genre de film...

Je suis étonnée que Tom Hanks aie pondu un pareil navet. Tout est convenu, attendu, irréaliste et tristement puéril. Un ou deux mots drôles (à peine) et le talent de Julia Roberts et de Tom Hanks complétement gâchés. Rien à sauver dans cette histoire creuse et mal traitée.

Un film comme celui ci à l'obligation d'être assez drôle ou assez émouvant , ou juste donner des sentiments au public. Ce n'est pas le cas, on se sépare vite du film . Le film en fait , se repose entre les différents acteurs , avec un Tom Hanks assez amusant . On s'encombre à attendre une histoire d'amour alors que finalement il faut attendre la fin pour enfin la trouver. C'est dommage , parce que les 2 acteurs de renom étaient attendu au tournant. Film morose , loin d'être réussi .

Maintenant c'est certain, il n'est jamais trop tard pour faire un film complètement con. On ne sait pas tellement par où commencer pour énumérer l'ensemble des inepties qui constituent "Il n'est jamais trop tard"... Contentons-nous des personnages : un ancien cuistot de la Navy cinquantenaire qui profite de son licenciement pour aller à la fac pour la première fois de sa vie, un voisin brocanteur ayant gagné au loto, un bloggueur pornophile, et un gang de motards en scooter un peu hippies mené par une jolie étudiante experte en feng shui et adepte du pseudonyme. La simple énumération a quelque chose de surréaliste, alors imaginez tout ce petit monde se mettre à interagir dans une mélasse dégoulinante de bons sentiments absurdes gravitant autour de l'idée très "American Way of Life" qu'on a tous droit à une deuxième chance. Devant cette fable navrante, on ne peut pas s'empêcher de glousser. Comment est-il encore possible de faire ce genre de truc au premier degré ? Seule Julia Roberts, en prof cynique et pochtronne, éclaire parfois d'un mauvais esprit rafraichissant ce nanar mineur et has been.

Le changement de vie est intéressant à voir mais ça s'arrête là. Le personnage de Larry Crowne est niais, celui de Mme Tainot odieux, bref un film plein de niaiserie et à la limité du ridicule, notamment avec le gang des scooters. Tom Hanks aurait pu s'abstenir d'écrire et de diriger ce film plus que passable.

J'ai trouvé ce film réalisé par Tom Hanks et en acteur principale aussi assez sympa, c'est pas un grand film mais c'est une comédie sympa et sans trop devoir réfléchir, il donne la réplique a Julia Roberts, les deux a l'écran vont évidemment hyper bien. J'ai mis la note de 3,5 sur 5 et c'est bien mérité :)

J'aime bien ! A la base je l'ai regardé uniquement pour les deux acteurs principaux : Tom Hanks et Julia Roberts (deux monstres sacrés du cinéma américain que j'adore), et j'avais peur de pas aimé car l'histoire ne me tenté pas plus que ça, mais finalement c'est plutôt une réussite. La morale du film est pertinente, les acteurs sont très bons, et il y a certains gags plutôt réussis... par contre, c'est trop répétitif, le film a du mal à avancer et à aller vers quelque chose de concret. C'est dommage, car à part ça, c'est vraiment bien je trouve. A voir pour Julia Roberts et Tom Hanks, et pour la joie que transmet les personnages.

Le moins que l’on puisse dire c’est que Larry Crowne, Tom Hanks, n’a pas de chance dans ce film, il cumule perte d’emploi, divorce, dettes, perte de maison, voisin gagnant au loto…

Larry Crowne décide alors de s’inscrire à l’université depuis qu’il s’est fait licencier faute de diplome. Il s’achète un scooter et se mèle aux étudiants. Très vite, une jeune étudiante s’intéresse à lui. Elle l’intègre dans la bande, elle s’occupe de décorer la maison, de le coiffer et de le relooker. Le nouvel étudiant s’inscrit à quelques cours dont celui de Mercédes Tainot. Jeune femme mariée, très belle, malheureuse en amour, et en fait très seule, décue par le niveau de ses étudiants et du peu d’attention qu’ils donnent au cours.

Bien entendu, les deux personnes se rapprochent.

Aucune surprise dans l’histoire, le scénario est deviné dès le début. Les dialogues sont fades. La transformation de Tom Hanks de « benêt » à un homme relooké, débrouillard, … ne tient pas debout. Ni même l’histoire d’amour de ces deux personnages très différents.

Une comédie naïve, trop,

à l’eau de rose, trop,

fade, trop,

désuette,trop,

et ….dépourvu de charme

gentillet et … ennuyeux ! malgré la présence de Tom Hanks et de Julia Roberts

Tom Hanks fait lever le rideau et le sourcil quand il réalise un film ; ce n’est arrivé que deux fois. Il faut dire que la pétulance débordant de ses Forrest Gump, Robert Langdon et autres Chuck Noland pourrait difficilement ne pas constituer, en lui, toute l’équipe d’acteur, de réalisateur et de producteur qu’il a été pour Larry Crowne.

On ne peut qu’imaginer la tâche que cela a signifié pour lui de pondre un rôle qui se résume finalement à un attachant couillon, un benêt qui ne l’est pas tant sous le regard professoral d’une Julia Roberts vaguement revenue à la vie. Sa réalisation est fraîche, abusivement ensoleillée sans doute, mais fraîche.

Hélas, l’université qui est le décor de Crowne consiste en deux cours, deux professeurs et dix élèves. À croire qu’il a oublié les figurants, l’arrière-plan, bref : la vie. Cette ambiance en carton et ce fond désastreusement minimaliste donne un piètre terrain de jeu aux allers-retours entre les facettes de son propre personnage ; il est central et c’est normal, mais les orbites autour de lui manquent cruellement de recul.

Le résultat n’est pas pour autant médiocre, il est mignon – c’est aussi un euphémisme pour naïf, voire niais. Il y a très peu de catharsis. On dirait vraiment que Hanks avait l’habitude que plein de choses se fassent sans lui – sans qu’il soit dans l’incapacité de les faire, au demeurant. Sautant sur son scooter et saisissant la vie à pleines mains comme un Yes Man, il allonge une fin qui arrive pourtant vite, dans l’espoir que la musique continue engendre une sorte de conclusion.

Le verdict se rend avec une moue navrée : c’est un petit film, attachant mais mesquin, une expérience menée avec conviction mais sans boussole sur les terrains réconciliateurs de la sagesse et de la jeunesse (bien mieux réussie sous un même soleil par Jon Favreau dans #Chef – 2014).

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