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    Répulsion
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    3,8
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    131 critiques spectateurs

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    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 654 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2021
    Polanski disait de "repulsion" que c etait son film le moins abouti. En tant que spectateur, on aimerait voir régulièrement parmi les nouveautés, des films aussi inaboutis que celui ci. Deux sœurs françaises vivent ensemble à Londres. L'une d'elle qui travaille dans un institut de beauté a un comportement étrange. Elle se retrouve seule pour quelques jours dans son appartement, sa sœur étant partie pour quelques jours en voyage en Italie. La solitude la fait entrer dans le délire. Film d'horreur, réalisé de main de maître, ce film ravira même ceux qui sont peu sensibles à ce genre cinématographique ( ce qui est mon cas). Excellent film d'un grand réalisateur. Catherine Deneuve a rarement été aussi jolie. A voir.
    Dx M.
    Dx M.

    63 abonnés 774 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2021
    pas mal... Thriller psychologique en N&B... on assiste à la descente vers la folie de Carole - recluse dans son appartement - qui manifestement a une répulsion maladive pour le sexe masculin... l histoire est intéressante... la mise en scène est astucieuse pour l époque... le basculement vers la folie du protagoniste se fait lentement et insidieusement... cependant il manque un brin de folie au film... l ensemble est beaucoup trop sobre et pas assez horrifique... on s ennuis un peu par moment...
    Talie1111
    Talie1111

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2020
    L'image en noir et blanc et magnifique, Catherine Deneuve est magnifique, vraiment magnifique.La femme et l'actrice.
    Pour un film de genre, c'est parfaitement réussi : l'horreur est partout, crue, sans artifice, dans le silence, le sang, la saleté, la panique. On en sort, comme souvent chez Polanski, avec un vrai malaise qui va traîner un moment.
    Après, il ne faut pas chercher du fond sur le sujet principal. La maladie mentale et le traumatisme ne sont que prétextes à un exercice de style.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 juin 2020
    la musique est absolument parfaite pour ce film. Deneuve est splendide et incarne bien Carole. prenant.
    Estonius
    Estonius

    3 359 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2020
    Comme "le couteau dans l'eau" le film souffre du moins au début d'une absence de rythme, c'est le gros défaut du film, mais sinon, que du bon : La photo est magnifique, Deneuve est excellente et qu'on ne dise pas qu'elle à l'air absente, ça fait partie du rôle ! Quant à Yvonne Furneaux, toujours aussi sexy, elle aurait mérité une meilleure carrière. Comme dans "le couteau dans l'eau" l'exposition est assez lente, sans doute volontairement puisque la partie dramatique n'en devient que plus forte. La mise en scène est très inventive, multipliant les petites trouvailles comme les tics de Deneuve, ou faisant incursion dans l'onirisme avec les lézardes, ou mieux encore ces mains qui sortent du couloir, un plan réellement diabolique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 novembre 2019
    Le second de la trilogie de l'horreur est une obsession épouvantable sur la schizophrénie, on verra ça au prochain pour clôturer tout ce côté malade de cette réalisation.
    Les titres de ses films sont choisis, c'est très inquiétants tout ceci, regardez bien le mot dans le dictionnaire, la concrétisation de ce film de taré reflète bien plus tard d'autre forme concrète dramatique.

    Alors regardons ce film avec indifférence avant de commettre l'irrépressible, la mise en scène n'est pas étrange d'une part, pas une inconnue qu'on a en face. Cette fixation définie du scénario sur la solitude extrêmement introvertie, nous fait penser à autre chose pourtant dans ce synopsis qui met des mauvaises idées dans la tête.

    Mais pourquoi donc et n'en disant pas plus concrètement, la jeune Catherine Deneuve a quoi de neuf à nous offrir comme prestation en Caroline ?
    Sauvons la de cette idée abjecte qui s'accroche à elle, extirpant la de son abime abus subit, y'a même une sœur en quelque sorte pour l'aider, elle plonge quand même dans son mutisme de manucure belge.

    Ses peurs traumatisantes sont plongées profondément dans un délire violent, oh mon dieu honteux, il a osé ! Personne ne ressortira indemne, pas même l'ange du démon.
    Un film qui nous met les nerfs à vif, Cap Fear sur cette époque qui commence à se débloquer, prévisible et démodée année sixties, le côté de son charme, noir et blanc, coupe de cheveux et voiture de collection au musée.
    Alain D.
    Alain D.

    589 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2019
    Réalisé rn 1965 " Répulsion " est un film en N&B, coécrit, et parfaitement maitrisé par un futur virtuose du genre que sera Roman Polanski. Le scénario nous offre un Drame, cruel, envoutant, une histoire dégénérant irrémédiablement dans une ambiance cauchemardesque. La quasi absence de BO, la rareté des dialogues et le peu de séquences extérieurs renforcent l'intimité et l'intensité du film.
    Pour son seulement troisième Long-métrage, le réalisateur Polonais nous propose une superbe photographie et une Catherine Deneuve magnifiquement mise en image ; elle réalise une prodigieuse performance d'actrice dans ce premier rôle difficile.
    Les non amateurs des films d'horreur, pourront regretter les scènes gores trop attendues et les séquences psychoses ou fantastiques (comme les murs qui se fissurent). Des scènes déroutantes, uniquement destinées à alimenter le scénario de ce film par trop irrationnel.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 août 2019
    Un film sur la pulsion et la peur. Le regard perdu dans le vide, l'angoisse du silence, l’hallucination, la perte de soin du corps et de l’ambiance, l'absence du sens de la vie. La représentation parfait de la maladie, depuis son début
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    986 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mai 2019
    Pour son deuxième long-métrage, Roman Polanski tourne pour la première fois en anglais et s'installe à Londres pour un film d'horreur de commande qu'il transforme en thriller intimiste avec une jeune Catherine Deneuve qui tourne elle aussi pour la première fois dans la langue de Shakespeare. Une histoire dans l'univers de l'étrange, proche du fantastique, de la paranoïa, genre que le réalisateur continuera d'explorer avec Rosemary's Baby et Le Locataire. Esthétiquement élégant, nanti de quelques séquences visuellement épatantes et d'une Catherine Deneuve angélique, Répulsion ressemble malheureusement plus à un exercice de style hasardeux voire un projet d'étudiant qu'à un réel long-métrage prenant et inoubliable. La faute à un rythme terriblement apathique où Polanski, déjà méticuleux derrière la caméra et amoureux des plans audacieux, filme de manière lancinante des séquences interminables que l'on croirait improvisées (celle avec le proprio en est le parfait exemple). La faute également à l'interprétation de Deneuve, jolie femme parfaitement sublimée par un noir et blanc éclatant mais ici piètre actrice, qui plus est en anglais. On sera sans souci admiratif de son jeu dans la dernière partie du film, claustrophobe et désespérée, qui n'arrive cependant pas à sauver le film d'un ennui relativement tangible. Le scénario, inventif, inédit et passionnant, est hélas alourdi par cette mise en scène peu attractive et un climax malheureusement soudain. Pas un chef-d'oeuvre en dépit de qualités indéniables et d'un visionnarisme certain, mais plutôt une curiosité à voir assurément.
    Redzing
    Redzing

    1 120 abonnés 4 471 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2019
    A Londres, un esthéticienne belge s'enferme peu à peu dans la solitude, devient obsédé par les bruits et les fissures autour d'elle, et sombre dans la folie... Il est un peu difficile de rentrer dans "Repulsion", le film étant lent (surtout dans sa première partie), parfois répétitif, et sa narration principalement visuelle en déroutera certains. Néanmoins, il offre une vision intéressante d'un jeune femme oppressée par la norme sociale (les hommes courent après les jolies filles) et par la sexualité qui l'entoure. Catherine Deneuve convient très bien à ce rôle de femme-enfant perdue et anxieuse. La caméra de Polanski est maîtrisée, et le réalisateur nous livre quelques idées très originales de mises en scènes spoiler: (de petits jump scares efficaces, des meurtres sordides, les mains à travers le mur, les murs fissurant...)
    . Par ailleurs, le montage sonore accompagnant la descente aux enfers de l'héroïne est soigné. "Repulsion" aurait donc sans doute pu être un classique du réalisateur, si l'intrigue avait été plus riche.
    Max Rss
    Max Rss

    199 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mars 2019
    Incursion sur le terrain du drame psychologique pour Roman Polanski. Et l'on ne peut pas dire que ce soit une réussite. Personnellement, ce "Répulsion" m'a proprement débecté. Bien qu'audacieux car traitant d'un sujet double, la solitude et la schizophrénie, le film passe totalement à côté. En plus de ça, il se retrouve pénalisé par l'illisibilité de la majorité de ses scènes. Et pour finir d'alourdir un tableau déjà bien chargé, on peut pas dire que Catherine Deneuve soit mémorable. La tentative était louable, mais c'est tout ce que l'on pourra accorder à Polanski sur ce coup là.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 octobre 2018
    Très déçu. Je m'attendais à un thriller angoissant frôlant avec le fantastique genre esprits, revenants... En fait c'est un film à effets expérimentaux qui plonge après 40 minutes d'ennui où il ne se passe rien (mais alors vraiment rien !) dans les méandres psychotiques et schizophrènes du personnage principal. Du coup y a forcement de l'inventivité dans la mise en scène même une certaine modernité (le film date quand même de 1965) mais rien de plaisir atteint juste l'envie de regarder sa montre...
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    Avant la sortie de ‘Répulsion’, Polanski était simplement un cinéaste venu du Froid, certes auréolé d’un début de reconnaissance critique avec sa première oeuvre ‘Le couteau dans l’eau’ mais qui ne figurait certainement pas parmi les réalisateurs les plus cotés d’Europe, raison pour laquelle, alors qu’il ramait pour se faire un nom à Londres, on ne lui confia qu’un micro-budget pour tourner le scénario plus ou moins horrifique qu’il avait écrit. Ce sera donc ce second long-métrage, le premier en Occident, le premier en langue anglaise et enfin, le premier de la trilogie officieuse des “appartements� (à laquelle viendront se rajouter par la suite ‘Rosemary’s baby’ et ‘Le locataire’), qui fera de lui un maître du Thriller et lui ouvrira instantanément les portes d’Hollywood. Le même changement de statut soudain attendra d’ailleurs Catherine Deneuve, jusque là tout juste considérée comme une starlette et qui deviendra séance tenante une muse réclamée par les plus Grands. L’actrice française dut cette reconnaissance soudaine au tour de force qu’elle réalise en proposant une interprétation en apparence neutre, lunaire et vide de Carole, qui s’avère être exactement ce qu’il fallait pour faire exister à l’écran cette jeune femme qui ne laisse rien filtrer de ce qu’elle pense, vit et ressent, si ce n’est qu’on perçoit d’instinct que quelque chose ne tourne vraiment pas rond chez elle. Sa “répulsion� pour le sexe et pour la nourriture ? C’est évident, mais il y a autre chose, qu’on ne parviendra jamais à saisir avec clarté, parce que Polanski veut que les causes de la personnalité troublée de Carole restent dans un flou volontaire. Il y parvient d’ailleurs totalement, révélant dès cette époque des talents hitchcockiens pour la mise en scène d’une précision totale, où le moindre élément du décor, le moindre événement, la moindre phrase ont leur importance. Pour figurer la lente désagrégation mentale de Carole, Polanski recourt à des indices rationnels, comme l’insistance maladroite de son soupirant ou le dégoût que lui inspire l’amant de sa soeur, mais aussi des effets symboliques et oniriques, comme les fissures qui lézardent peu à peu les murs de l’appartement, ou le viol imaginaire dont elle croit être victime à répétition. En refusant les effets gratuits pour leur préférer l’observation minutieuse d’une lente plongée dans la folie, ‘Répulsion’ est parvenu à conserver tout son intérêt, sans trop succomber au décalage temporel absolu qui devrait frapper tout film sorti voici plus d’un demi-siècle...même si l’observation des comportements respectifs de l’homme et de la femme semble effectivement sortir d’un autre temps ! ‘Répulsion’ est tout simplement l’acte de naissance - international - d’un grand cinéaste.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 septembre 2018
    Comment peut il encore faire des films? il faudrait les boycotter, les seuls acteurs qui défendent Polanski sont juifs, je comprends pourquoi il est interdit d'entrée aux USA
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 juillet 2018
    Sans même parler de la mise en scène, qui permet déjà d’apprécier la maîtrise de Polanski, Répulsion est une réussite dans le sens où il atteint ses objectifs: rendre sensible la folie de son personnage, déranger le spectateur, rendre visible la part obscure et morbide de l’inconscient d’une jeune femme. Mais c’est justement là que je n’accroche pas: la morbidité ne me fascine pas et la fascination pour le morbide a tendance à m’ennuyer. J’ai adoré Rosemary’s Baby, parce que Polanski y assume jusqu’au bout une part de fantastique, et surtout parce qu’au milieu de toute cette horreur, il y a un personnage auquel on peut s’attacher, incarné par une actrice qui représente une forme de naïveté, donc d’espoir. Ici, comme dans Le Locataire, tout est trop noir et désespéré de bout en bout. Les objectifs sont atteints, mais je crois que ce sont ces objectifs qui m’ont empêché d’aimer vraiment le film.
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