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à couteaux tirés possède un scénario ou je trouve qu'il manque cruellement de rebondissements.
Ok les paysages sont magnifique et les acteurs sont convainquant dans leurs rôles.
Mais perso,pas le film que je regarderais une deuxième fois.
Ok les paysages sont magnifique et les acteurs sont convainquant dans leurs rôles.
Mais perso,pas le film que je regarderais une deuxième fois.
Un excellent film sur la survie en miliue hostile et la trahison !
Un duo/duel Hopkins/Baldwin excellent !
Lee Tamahori prouve ici à Hollywood quel bon metteur en scène il est !
Un duo/duel Hopkins/Baldwin excellent !
Lee Tamahori prouve ici à Hollywood quel bon metteur en scène il est !
Un film d'aventure certes classique mais finement mis en scène.
Les paysages sont somptueux, le casting tient toutes ses promesses (une nouvelle fois, la présence impressionnante du monstre sacré Hopkins a éblouit le spectateur) et le film séduit principalement par la qualité de son scénario sans temps mort, mariant subtilement action et psychologie avec humour et enthousiasme.
A couteaux tirés est à considérer comme un excellent divertissement pour ceux qui se laisseront emporter dans cette aventure haute en péripéties.
Seulement voilà, pour ma part, j'attendais un peu plus du réalisateur de l'inoubliable "L'âme des guerriers", Lee Tamahori.
Les paysages sont somptueux, le casting tient toutes ses promesses (une nouvelle fois, la présence impressionnante du monstre sacré Hopkins a éblouit le spectateur) et le film séduit principalement par la qualité de son scénario sans temps mort, mariant subtilement action et psychologie avec humour et enthousiasme.
A couteaux tirés est à considérer comme un excellent divertissement pour ceux qui se laisseront emporter dans cette aventure haute en péripéties.
Seulement voilà, pour ma part, j'attendais un peu plus du réalisateur de l'inoubliable "L'âme des guerriers", Lee Tamahori.
C'est toujours extrêmement marrant de voir qu'une personne (surement plus teenager puisqu'elle a vu le film avec son mari) puisse se permettre de faire une si longue et brillante critique de film alors qu'elle ne maîtrise même pas le français,trouver autant de fautes d'ortographes en si peu de phrases,ouahhh! (décidemment il n'y a pas que chez les ados que ça craint) je dois avouer que pour ça je met 0 étoile, quant au film je lui en met trois pour le jeu d'Hopkins, le scénario, les paysages, ainsi que le suspens qui font de ce film un trés bon film, à voir!
C'est une deception totale malgré un scénario signé David Mamet.
Lee Tamahori n'est pas le genre de réalisateur à se soucier des détails les plus élémentaires de la réalité. Alors quand un riche milliardaire se retrouve perdu dans les Rocheuses avec comme seuls compagnon un photographe et un black dont la fonction semble être assez obscure (et dont la destinée dans le film l'est tout autant...), on pouvait s'attendre au pire. Tamahori a cependant eu la bonne idée de s'entourer de gens compétents, Anthony Hopkins le premier. Son personnage est certes tellement atypique que ça en devient improbable mais la sincérité dans le jeu de cet acteur légendaire parvient malgré tout à nous faire croire ce que le réalisateur essaye de nous faire avaler (à savoir, un richissime vieux qui connaît tout les trucs pratiques de tout les temps et qui ne perd pas une seconde son sang-froid dans le milieu le plus hostile des Etats-Unis). Les ficelles sont grosses, énormes par moment mais le profond sentiment d'évasion dans l'espace somptueux traversé par les trois héros (les plans aériens sont magnifiques) nous font oublier, en partie, que Tamahori n'est pas du genre à faire dans la dentelle (sur ce point, voir la scène de révélation finale où Baldwin écrit presque noir sur blanc qu'il se fait la femme de Hopkins dans le cadeau de ce dernier!!). La beauté des paysages se mêle à la violence de la nature dans les meilleures scènes du film où un ours gigantesque s'attaque aux randonneurs improvisés. La psychologie et le traitement des personnages a été fait avec des gants de boxe mais le milieu dans lequel évoluent ces derniers est propice à de beaux moments de cinéma. On se prend même à méditer devant cette nature apaisante et impitoyable.
Excellent film, nous sommes entraînés dans les paysages somptueux de l'Alaska dès les premiers instants. Le face à face Baldwin/Hopkins est extra, et les scènes avec l'ours mémorables. Du grand Lee Tamahori, un scénario efficace : un beau plongeon au coeur de la nature dont vous ne reviendrez pas indemnes...
Sans égaler les grands films du genre, À couteaux tirés arrive sans peine à pleinement divertir grâce à son scénario classique mais ingénieux, sa réalisation soignée et son interprétation pour le moins excellente. En effet, avec Anthony Hopkins et Alec Baldwin en tête d'affiche, autant dire que le casting est plutôt avantageux, les deux acteurs dévoilant à l'écran une complicité à double tranchant des plus efficaces. Le scénario, lui, est brillamment écrit par le génial David Mamet (qui avait su brillamment adapté Les Incorruptibles au cinéma pour le film de De Palma), faisant monter crescendo le suspense avec un rythme soutenu, ajoutant de plus en plus de péripéties à nos deux protagonistes perdus dans une forêt sauvage. Le réalisateur néo-zélandais Lee Tamahori filme donc lentement mais surement son troisième long-métrage... Commençant par une bonne présentation de tous les personnages, il instaure progressivement un suspense en toile de fond et envoie nos quelques héros dans la forêt d'Alaska. Ainsi, après leur crash, ils vont devoir oublier leurs rancœurs enfouies et se battre ensemble contre la dure loi de la nature qui comprend intempéries, faim et ours voraces. Une aventure palpitante, violente, dans la plus grande lignée des survivals, un spectacle épique à ne pas louper.
Un bon film avec un scénario certes pas exceptionnel dans le sens original avec le crash d'un avion et un groupe restraint qui tente de survivre au beau milieu de nulle part dans une nature sauvage. Mais les décors sont magnifiques, les acteurs sont bons que ce soit Hopkins où Baldwin mais également Harold Perrineau (cf Lost). On accroche dans ce film où le réalisateur Tamahori nous transmet admirablement bien plusieurs notions de valeurs humaines.
Bon film avec beaucoup de points positifs. Les paysages sont magnifiques. Les scènes avec l'ours sont excellentes et impressionnantes. La musique de Goldsmith est très jolie, surtout le thème principal. Le film est donc bien et se regarde facilement. Ce n'est pas un chef-d'oeuvre, loin de là mais il n'y a pas trop de temps morts, bref, dans le style héros perdus en territoire hostile, je le conseille. En plus le casting est bon.
Un survival avec un casting alléchant? vous n'êtes pas mieux tombés que ce superbe "A couteaux tirés" ou la réalisation est sans contexte complexe et maghnifique, et ou les propos fusent de tous les côtés, vraiment parfait!
Un grand réalisateur comme Lee Tamahori qui dirige un acteur rare et exceptionnel comme Anthony Hopkins dans une sacré histoire exemplaire de survie, d'honneur, de loyauté et de courage, au milieu de décors somptueux, le tout filmé avec virtuosité... Cela donne un chef-d'oeuvre unique, rare et précieux... Bref, regardez-le, vous ne l'oublierez plus jamais...
ouhaa , super film , trois étoiles . hopkings joue très bien les millionnaires blasés . La chasse à l'ours est nettement supérieure au film de JJ Anneaux . Une petite intrigue policière et cela fait une super série B que j'ai plaisir à revoir . les paysages , superbe , c'est en suplément . Aux début du film le livre que lit hopkings s'apelle
" lost in the wild " .
A voir le chef d'oeuvre " into the wild "
" lost in the wild " .
A voir le chef d'oeuvre " into the wild "
NeoLain
Trop de scènes attendues. Bientôt, on ne voit plus que les artifices du scénario, pourtant signé David Mamet. Finalement, le plus surprenant, c'est le retour de Bart, la vedette de L'Ours, de Jean-Jacques Annaud. On le retrouve, très « pro », avec ses 700 kilos et son étonnante présence, dans le rôle d'un ours mangeur d'homme. Les scènes de combat sont alors d'un réalisme à couper le souffle.
Un film qui porte à la réflexion. Beaux paysages, un anthony hopkins au meilleur de sa forme, des dialoques intelligents, le bon film par exellence. C'est propre et équilibré.
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