AlloCiné
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Votre avis sur À couteaux tirés ?
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Malgré un cadre très "Jim Harrison" prometteur, c'est un ratage, la faute à un réalisateur sans talent. L'épopée initiatique, qui aurait pu être une petite soeur de Délivrance, se transforme en téléfilm de M6. Abus de gros plan. Le passage avec combat de gladiateur contre un ours est comique, mais comique tendance nanar (on apprend dans le générique que le plantigrade glouton - fort sympathique - s'appelle Bart the Bear, enrichissons notre culture cinéphile). Aucune direction d'acteur : Baldwin joue les clowns de sitcom et Hopkins semble perfusé sous Pentobarbital. Pour une fois, on le voit pas faire le cabot grimaçant ("Clâaaariiiiiiissse"), mais il est passé d'un extrême à l'autre. Une cause perdue ?
Film divertissant, les acteurs jouent bien, et la scène de l'ours est excellente.
Seul petit regret : le duel entre Hopkins et Baldwin est décevant, on aurait pu s'attendre à mieux.
Sinon, ça reste un bon film à voir au moins une fois.
Seul petit regret : le duel entre Hopkins et Baldwin est décevant, on aurait pu s'attendre à mieux.
Sinon, ça reste un bon film à voir au moins une fois.
Un bon potentiel de divertissement derrière ce scénario pas forcément exceptionnel sur tous les plans, mais servi par de bons acteurs au milieu de très beaux paysages, avec un ours mangeur d'hommes effrayant à la clé. Je déplore une légère maladresse dans la gestion du crescendo, l'impression qu'il manque un ou deux éléments pour bien lier le tout, mais c'est dans l'ensemble suffisamment accrocheur et bien filmé pour qu'on ait envie de le regarder jusqu'au bout. Il est clair qu'on ne s'ennuie à aucun moment. Plutôt recommandable, mais pas vraiment marquant.
L'histoire d'un mec qui a une trop jeune et jolie nana, en plus d'être blindé de fric et un peu vieux, mais vert...
Le genre de film qu'on a l'impression d'avoir vu cent fois, polar déplacé dans le grand ouest montagnard américain, où les hommes méchants peuvent s'en donner à coeur joie pour se dépecer.
Mais il y a quelques variantes, les magnifiques paysages, la fureur d'un ours manifestement naturel, carrément impressionnant. Et des numéros d'acteurs pas mal foutus. D'ailleurs l'esthétisme apporté au visage de Hopkins est carrément ravageur, mais c'est vrai qu'il était encore jeune.
Tamahori a déçu depuis longtemps, il nous offre un beau voyage au pays des hommes, moins sauvages que les maoris, mais avec pas mal de tempérament.
Téléphoné, américain, mais divertissant.
Le genre de film qu'on a l'impression d'avoir vu cent fois, polar déplacé dans le grand ouest montagnard américain, où les hommes méchants peuvent s'en donner à coeur joie pour se dépecer.
Mais il y a quelques variantes, les magnifiques paysages, la fureur d'un ours manifestement naturel, carrément impressionnant. Et des numéros d'acteurs pas mal foutus. D'ailleurs l'esthétisme apporté au visage de Hopkins est carrément ravageur, mais c'est vrai qu'il était encore jeune.
Tamahori a déçu depuis longtemps, il nous offre un beau voyage au pays des hommes, moins sauvages que les maoris, mais avec pas mal de tempérament.
Téléphoné, américain, mais divertissant.
Ce n'est pas un commentaire type "Ne vaut même pas la peine de le regarder, à part que quand vous n'avez pas le choix." qui va nous aider... Il y avait là un projet sans doute pas inintéressant, mais on sent que la production a joué des sales tours à l'équipe. Des traces d'un bon scénario ? Bien sûr qu'il y en a. Mais quand on supprime des scènes au dernier moment avant de tourner, il faut bien se démerder pour en trouver d'autres qui relient les événements... Alors la première idée venue à l'esprit est retenue, même si elle est pourrie, et on avance... on avance parce qu'il faut respecter le planning. Il faut respecter le planning parce que le film doit sortir à telle date... etc etc... Les financiers ont sans doute prouvé une nouvelle fois qu'ils n'ont rien à faire dans l'art du cinéma. Qu'ils restent à Wall Street, là ils ont du boulot ! et encore...
Hopkins et Baldwin sont fantastiques
, dans un film qui tient tout de même en haleine, bravo, c'est une réussite.
, dans un film qui tient tout de même en haleine, bravo, c'est une réussite.
un très beau et bon film aux magnifique décors, Hopkins donne la leçon à Baldwin !!!!
Excellent film d'aventure, filmé dans des paysages somptueux. L'affrontement entre les 2 monstres du cinéma que sont Anthony Hopkins et Alec Baldwin ne pouvait rêver mieux comme cadre que le Grand Nord. Le rythme est soutenu et les péripéties s'accumulent au fil de l'histoire. On retiendra également un combat acharné avec un ours et une superbe fin. Mémorable.
j'ai vu la première partie il y a plusieurs années, la seconde, je l'ai vu des années plus tard, par bribes, en vo sans sous titres. Bref, je ne l'ai jamais vu dans de bonnes conditions. Pourtant, à chaque fois, j'ai trouvé qu'il y avait une ambiance unique dans ce film très divertissant. En plus, Hopkins campe parfaitement le personnage principal. Je sais pas pourquoi, mais j'aime ce film
A Couteaux Tirés (mon dieu, je me demande qui est allé chercher ce titre français hors-sujet) est un beau film émouvant, humaniste et offrant de superbes plans paysagers. L'histoire, classique mais crédible (mis à part peut-être certaines séquences avec l’ours), ne tombe jamais dans le cliché facile et offre des péripéties relativement diverses à défaut d'être tous imprévisibles. Anthony Hopkins et Alec Baldwin offrent des prestations remarquables et proposent une densité psychologique très intéressante à leur personnage. Malgré quelques baisses de rythme, A Couteaux Tirés est une aventure bien réalisée qui se suit sans déplaisir.
Le film est "A couteaux tirés". C'est le cas de le dire, cette maxime est la parfaite expression de ce thriller : dur et à la fois haletant.
bon film d aventure hopkins et baldwint enemis qui font bonne equipe face au gros nounours a voir
Un bon film d'aventure proposé par Lee Tamahori. Un milliardaire A.Hopkins, bloqué avec deux hommes (Baldwin, Perrineau) après un crash aérien, dans un endroit loin de la civilisation, où la nature a reprit ses droits sur l'homme. Cette aventure nous ramène à l'âge de pierre, et nous fait comprendre qu'il vaut mieux être armé psychologiquement, la connaissance est une arme plus redoutable que la force physique. A.Hopkins génial comme toujours, un des rares acteurs à pouvoir porté un film sans problème à lui seul, accompagné d'un surprenant et performant A.Baldwin. L'alliance dans l'adversité, la connaissance contre la force, que nous reste-t-il quand on est démunit de tout. Une aventure sans réel aventurier, c'est plus attrayant qu'un super-héros qui envahit comme la plupart du temps nos écrans. La B.O de J.Goldsmith est excellente encore une fois. M.S à l'ours le plus célèbre du cinéma Bart qui est dirigé à la perfection durant les scènes d'affrontements. Lee Tamahori sort du conventionnel à l'aide d'un scénario original bien ficelé de D.Mamet. A voir sans hésitation.
bsalvert
Ce réalisateur nous prouve une fois plus qu'il est brillant dans la façon de rendre attachants les personnages
Lee Tamahori (réalisateur de Meurs un autre jour de la saga James Bond) signe un beau film basé sur le thème récurrent de la jalousie.
A partir de ce postulat, on peut dire que le duo Hopkins/Baldwin tient la route. Mais c'est sans compter sur les situations trop manichéennes qui se déroulent tout le long du film. Pour celà, on assiste à un ennui terrible : les enchaînements sont vraiment trop prévisibles. Pourtant, le début semblait prometteur. Dommage...
On ne zappe pas car seuls les magnifiques paysages proposés font "la star" du film, un peu à la Clifhanger.
Nous sommes en présence d'un petit film sauvé par les paysages, le superbe ours (qui joue bien !) et d'une assez bonne musique (Goldsmith) : sauvés (à couteaux tirés) !
Spectateurs, si vous manquez, ce n'est pas une grosse perte.
A partir de ce postulat, on peut dire que le duo Hopkins/Baldwin tient la route. Mais c'est sans compter sur les situations trop manichéennes qui se déroulent tout le long du film. Pour celà, on assiste à un ennui terrible : les enchaînements sont vraiment trop prévisibles. Pourtant, le début semblait prometteur. Dommage...
On ne zappe pas car seuls les magnifiques paysages proposés font "la star" du film, un peu à la Clifhanger.
Nous sommes en présence d'un petit film sauvé par les paysages, le superbe ours (qui joue bien !) et d'une assez bonne musique (Goldsmith) : sauvés (à couteaux tirés) !
Spectateurs, si vous manquez, ce n'est pas une grosse perte.
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