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CH1218
199 abonnés
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2,0
Publiée le 12 février 2022
A voir pour l’ours Bart, toujours aussi impressionnant, pour les paysages et la musique de Jerry Goldsmith. Si Anthony Hopkins s’en tire convenablement, il m’a été pourtant difficile de croire à la plausibilité des personnages de ce survival moyennement divertissant, marqué par les aberrations scénaristiques de David Mamet et réalisé sans grande inspiration par Lee Tamahori.
Un bon petit thriller d'aventure sans grande prétention et avec une intrigue minimaliste mais très agréable à regarder et surtout très prenant. Quelques paysages superbes, des batailles homme-ours plaisantes et un bon duo d'acteurs.
Trop de scènes attendues. Bientôt, on ne voit plus que les artifices du scénario, pourtant signé David Mamet. Finalement, le plus surprenant, c'est le retour de Bart, la vedette de L'Ours, de Jean-Jacques Annaud. On le retrouve, très « pro », avec ses 700 kilos et son étonnante présence, dans le rôle d'un ours mangeur d'homme. Les scènes de combat sont alors d'un réalisme à couper le souffle.
Thriller, oui, mais de maigre qualité... "A couteaux tirés" est le genre de petit film diffusé en seconde partie de soirée sur les chaînes câblées... Cette petite confrontation Hopkins/Baldwin ne mangera pas de pain mais aura bien du mal à nous rassasier...
En fait plus un duo qu'un duel... Le film part relativement loin de son idée de base, à savoir la confrontation entre les deux hommes. On a plutôt affaire à deux hommes seuls face à la nature qui s'aideront à s'en sortir, certes avec quelques doutes mais loin d'être pesants... À voir surtout pour les paysages et Anthony Hopkins.
Lee Tamahori n'est pas le genre de réalisateur à se soucier des détails les plus élémentaires de la réalité. Alors quand un riche milliardaire se retrouve perdu dans les Rocheuses avec comme seuls compagnon un photographe et un black dont la fonction semble être assez obscure (et dont la destinée dans le film l'est tout autant...), on pouvait s'attendre au pire. Tamahori a cependant eu la bonne idée de s'entourer de gens compétents, Anthony Hopkins le premier. Son personnage est certes tellement atypique que ça en devient improbable mais la sincérité dans le jeu de cet acteur légendaire parvient malgré tout à nous faire croire ce que le réalisateur essaye de nous faire avaler (à savoir, un richissime vieux qui connaît tout les trucs pratiques de tout les temps et qui ne perd pas une seconde son sang-froid dans le milieu le plus hostile des Etats-Unis). Les ficelles sont grosses, énormes par moment mais le profond sentiment d'évasion dans l'espace somptueux traversé par les trois héros (les plans aériens sont magnifiques) nous font oublier, en partie, que Tamahori n'est pas du genre à faire dans la dentelle (sur ce point, voir la scène de révélation finale où Baldwin écrit presque noir sur blanc qu'il se fait la femme de Hopkins dans le cadeau de ce dernier!!). La beauté des paysages se mêle à la violence de la nature dans les meilleures scènes du film où un ours gigantesque s'attaque aux randonneurs improvisés. La psychologie et le traitement des personnages a été fait avec des gants de boxe mais le milieu dans lequel évoluent ces derniers est propice à de beaux moments de cinéma. On se prend même à méditer devant cette nature apaisante et impitoyable.
j'ai vu la première partie il y a plusieurs années, la seconde, je l'ai vu des années plus tard, par bribes, en vo sans sous titres. Bref, je ne l'ai jamais vu dans de bonnes conditions. Pourtant, à chaque fois, j'ai trouvé qu'il y avait une ambiance unique dans ce film très divertissant. En plus, Hopkins campe parfaitement le personnage principal. Je sais pas pourquoi, mais j'aime ce film
Lee Tamahori (réalisateur de Meurs un autre jour de la saga James Bond) signe un beau film basé sur le thème récurrent de la jalousie. A partir de ce postulat, on peut dire que le duo Hopkins/Baldwin tient la route. Mais c'est sans compter sur les situations trop manichéennes qui se déroulent tout le long du film. Pour celà, on assiste à un ennui terrible : les enchaînements sont vraiment trop prévisibles. Pourtant, le début semblait prometteur. Dommage... On ne zappe pas car seuls les magnifiques paysages proposés font "la star" du film, un peu à la Clifhanger. Nous sommes en présence d'un petit film sauvé par les paysages, le superbe ours (qui joue bien !) et d'une assez bonne musique (Goldsmith) : sauvés (à couteaux tirés) ! Spectateurs, si vous manquez, ce n'est pas une grosse perte.
Excellent film, nous sommes entraînés dans les paysages somptueux de l'Alaska dès les premiers instants. Le face à face Baldwin/Hopkins est extra, et les scènes avec l'ours mémorables. Du grand Lee Tamahori, un scénario efficace : un beau plongeon au coeur de la nature dont vous ne reviendrez pas indemnes...
A Couteaux Tirés (mon dieu, je me demande qui est allé chercher ce titre français hors-sujet) est un beau film émouvant, humaniste et offrant de superbes plans paysagers. L'histoire, classique mais crédible (mis à part peut-être certaines séquences avec l’ours), ne tombe jamais dans le cliché facile et offre des péripéties relativement diverses à défaut d'être tous imprévisibles. Anthony Hopkins et Alec Baldwin offrent des prestations remarquables et proposent une densité psychologique très intéressante à leur personnage. Malgré quelques baisses de rythme, A Couteaux Tirés est une aventure bien réalisée qui se suit sans déplaisir.
Je ne vais pas me faire des amis avec ce que je vais dire. Car il s'agit d'un film qu'on m'a recommandé et que je pensais qu'il valait le coup. Je voulais vraiment le voir au cinéma et après 15 ans d'attente, j'ai pu enfin le découvrir.
Mais en le voyant, j'ai été très, mais très déçu par ce film. Le décor est très beau, Anthony Hopkins et Alec Baldwin jouent très bien rien à dire mais... le scénario est d'un commun mortel. Ce n'est pas loin d'un épisode d'une série telle qu'on voyait à l'époque. la réalisation et la mise en scène ne sont pas terribles et parfois franchement nanar spoiler: la scène des oies pour ne cité que celle là . J'ai l'impression que la transition entre certaine scène est vraiment anarchique. Quand aux autres personnages, totalement inutiles et/ou transparents spoiler: Elle McFersonne est là dans le 1er quart d'heure et à la fin mais c'est tout ! .
Bref, je m'attendais à largement mieux pour un survival, avec plus de tension et moins d'incohérences. Et quand je vois les autres films qu'il a réalisé je reste sans voix (Le masque de l'araignée, Meurs un autre jour spoiler: Même si j'aime bien le film c'est quand même le 2e James bond avec Pierce Brosman qui est moyen et ... XXX the next level spoiler: Sans compté Next avec Nicolas Cage ).
à couteaux tirés possède un scénario ou je trouve qu'il manque cruellement de rebondissements. Ok les paysages sont magnifique et les acteurs sont convainquant dans leurs rôles. Mais perso,pas le film que je regarderais une deuxième fois.
A COUTEAUX TIRES (1998): Le milliardaire Charles Morse (Anthony Hopkins), marié à une jeune femme qui lui vouera une grande admiration, et pourtant…?? Ce super-intellectuel introverti ayant réponse à tout, aura l'occasion de mettre en pratique son intelligence suite à un crash d'avion en pleine montagne. Le ton de cette histoire, deux hommes dressés l'un contre l'autre qui n'auront pas le choix que de baisser la garde afin de pouvoir survivre. Une odyssée éprouvante montrant l'impuissance de l'homme à l'intérieur d'un environnement sauvage. Dans ces grands espaces inconnus, une peur constante s'emparera de ces deux rescapés, les obligeant à aller chercher les ressources mentales nécessaires pour ne pas faillir. Plusieurs scènes spectaculaires feront de cette réalisation une belle réussite. Une histoire passionnante dans de magnifiques cadres naturels, servie par d'excellents acteurs, en particulier les remarquables Anthony Hopkins et Alec Baldwin. Un bon moment d'évasion.
Un beau film tourné dans de somptueux décors ou l'homme doit faire face à une nature magnifique mais hostile. Derrière cette lutte pour la survie, le scénario ajoute une densité psychologique avec les 2 principaux personnages qui ont à la fois besoin l'un de l'autre pour survivre mais qui ont aussi pour souhait ( du moins pour le personnage d'Alec Baldwin ) de supprimer l'autre. La chasse avec l'Ours est très prenante et constitue le moment le plus réussit du film. La lutte pour la survie est intéressante avec le personnage de Charles Morse ( Anthony Hopkins ) dans son élément face à un Robert Green ( Alec Baldwin ) dépassé. L'histoire tient en haleine jusqu'à la fin. La musique de Jerry Goldsmith est une réussite. Dommage que l'ensemble ne soit pas doté d'une dimension épique supplémentaire. On peut aussi regretter quelques baisses de rythme et une dernière séquence un peu rapide.
Bonjour Un bon film thriller, un huit clos dans un milieu naturel hostile des forets américaines 2 acteurs au sommets de leurs personnages et un vilain ours a redécouvrir