1,5
Publiée le 6 septembre 2012
On est proche du reportage version "Thalassa". Au niveau écriture, rien. L'intérêt se résume à la beauté des paysages et dans la paisibilité offerte par le rythme de vie de ces pêcheurs ... Les images sont (assez souvent) belles. Bon, d'accord ! Mais quel ennui ...... Prétendre qu'il s'agit là d'un "film" relève de l'escroquerie intellectuelle ! ...
3,0
Publiée le 25 novembre 2010
Alamar est le type de film chéri des festivals (Toronto, Rotterdam, Miami, Toulouse, Berlin, La Rochelle, San Francisco, Buenos Aires ...).

A mi-chemin du documentaire et de la fiction minimaliste, il nous présente comment un enfant issu d'une union mixte (sa mère est italienne, son père mexicain) va vivre le temps des vacances avec son père et son grand-père, entre hommes, isolés sur une des plus grande barrière de corail du monde, dans le Golfe du Mexique.

Dans ce genre de film, comme il ne se passe quasiment rien (pêche, lecture, lutte, dessin, hamac, crocodile, héron, rencontre parcimonieuse d'autres humains, nettoyage des bateaux, pluie), l'intérêt ne peut être maintenu que par un art évolué de la mise en scène et de la direction d'acteur, et encore plus du montage.

Comme chez le Kiarostami des débuts.

Et Alamar, de ce point de vue là, fonctionne très bien et justifie sa moisson de prix festivalière.

Le film possède une saveur particulière que le spectateur gardera longtemps en tête, saveur composée de noblesse des corps et des âmes, de pieds qui ressemblent à des mains, de simplicité retrouvée, de nature bigger than live. Le père et le fils, à la vie comme à l'écran, sont superbes de naturel et de complicité respectueuse. Les rapports humains semblent dans le film mis à nu, désossés, débarrassé de toute graisse superflue (comme les corps). La caméra, très proche des acteurs, scrute avec une rare perspicacité la découverte mutuelle d'un fils et de son père.

D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 28 juillet 2010
Exit la pub touristique avec ses paysages de folie, exit le film écologiquement engagé qui nous martèle de chiffres alarmants et exit la singularité du choc culturel à la « Indien dans la ville » ! Le film dépasse toutes ces considérations et revendications terrestres pour s’orienter vers une apologie beaucoup plus immatérielle de l’instinct paternel. Pedro González-Rubio grâce à une réalisation étonnante réussit parfaitement à rendre compte de cet instinct protecteur primaire. Un film de sensations où il faut se laisser bercer en oubliant absolument tout ce qui nous entoure. Un rêve intemporel que vous ne regretterez pas!
4,0
Publiée le 5 décembre 2010
Une caméra au plus proche de son sujet, qui circule avec tact et se place on ne sait par quel miracle, qui laisse advenir avec un art discret mais bien réel les plus simples événements, essentiels, les paroles, la vie, les êtres. Un père, son fils, et des poissons, des frégates, un héron garde-bœuf. On s'en souviendra longtemps de Blanchita !!
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 9 juin 2013
Superbe! superbe! superbe! superbe! Superbe! superbe! superbe! superbe!
5,0
Publiée le 7 juillet 2011
Un magnifique film de Pedro Gonzalez Rubio. Ce film nous fait nous évader complétement dans une nature éblouissante. Un retour aux essentiels de la vie... Magnifique! A voir absolument !
1,0
Publiée le 1 décembre 2010
Encore un film dont je ne comprends pas comment il a pu obtenir un tel tas de récompenses dans divers festivals ! Certes, esthétiquement, c'est beau ! mais, pendant 76 minutes, on attend désespérément qu'il se passe quelque chose d'intéressant entre ce père mexicain et son fils, qu'il a eu d'un mariage avec une italienne. Ce fils qu'il connaissait mal au début du film, on a l'impression qu'il ne le connait pas mieux à la fin, tant l'intrigue, en tant que telle, est extrêmement ténue.
2,5
Publiée le 14 décembre 2015
Du charme, un enfant qui vit une parenthèse enchantée, un beau papa, un grand-père qui transmet ce qu'il sait.
Tout cela nous éloigne des grandes métropoles européennes. Difficile d'être plus proche de la nature.
Pour soutenir mon intérêt autour de 90 mn, le sujet est "mince" les rebondissements, inexistants !!!
Pour moi, c'est un sujet de 20 à 30 mn pour Thalassa.
"voyons-nous un enfant souffrant de la séparation de ses parents ??? c'est pour un autre film......
1,5
Publiée le 13 décembre 2010
Quand Pedro Gonzalez-Rubio, jeune réalisateur mexicain, essentiellement documentariste, est venu présenter son film Alamar au festival de La Rochelle, en juillet dernier, le public a été frappé par son enthousiasme, son humilité et son fervent plaidoyer pour l'environnement et le métier de travailleur de la mer, en voie de disparition. De son film, il a dit : "c'est une histoire inventée dans le cadre d'une situation réelle, une invention ancrée dans la réalité", tout en expliquant qu'Alamar était la contraction d'Al mar et d'Amar (A la mer et aimer). Pour être juste, après ce discours, l'assistance a été plutôt décontenancée par le film. La fiction y est très ténue et s'efface devant le documentaire, certes très beau, mais forcément décevant pour qui s'attendait à une trame narrative plus élaborée. Aujourd'hui, c'est davantage l'intervention de Gonzalez-Rubio qui reste en mémoire que son film, pas vu dans des conditions idéales (ce devait être le troisième de la journée) et qui peut laisser en rade. Dommage.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 18 avril 2011
Un film magnifique qui fait voyager, étant fan de plongée j'ai adoré les scènes sous marines, l'ambiance y est paisible et décontractée, parfaite pour faire de jolis rêves !! à voir et à revoir !!
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 30 janvier 2013
vous pouvez me donner une idée de critique sur le film Alamar car je suis aller voir le film avec ma classe et il veule que je donne une critique sil vous plait au plus vite
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 1 mars 2016
Vraiment nul a dormir debout ennuyeux conseille à ne pas voir la fin est bâclé pour se qui est des paysages paysage desoler pour la vulgarité mais merdique alors que c'est quand même filmer au caraïbe je m'attendais à mieux bref en un seul mot pitoyables
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 9 décembre 2010
Une grande humilité face à cette histoire, et une vérité alors de la distance avec laquelle elle est filmée (ni le spectateur, ni le cinéaste ne peuvent être à hauteur à la fois des sentiments d'un enfant et d'un adulte qui se cherchent).
On a alors un film qui dégage complètement le regard, ce qui est un fait très rare aujourd'hui au cinéma.
Une très belle surprise.
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