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Au fil d'épatants rebondissements, ce polar tourné clandestinement s'impose par son rythme nerveux, ses personnages pas tous nets, sa mise en scène ingénieuse (...), et se distingue par son naturalisme malicieux et son scénario tendu.
(...) c'est un nouveau visage de Téhéran que Nader T. Hamayoun a filmé sans autorisation (...) ce qui donne au spectateur une topographie de la ville loin des clichés. Le réalisateur pousse le jeu de la fiction jusqu'à faire basculer son film dans un thriller à l'iranienne.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Devant toutes ses belles promesses filmiques, il ne reste plus qu'à attendre la prochaine oeuvre de cet auteur habité par une conscience politique et sociale admirable.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Mélange de polar et de chronique sociale filmé caméra à l'épaule, Téhéran prend le pouls de l'Iran d'aujourd'hui en dépeignant des réalités cruelles tout en témoignant d'un véritable amour de la ville et de ses habitants.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Tant par ce qu'il est que par ce qu'il montre et raconte, Téhéran est l'un des beaux fruits de cette situation de crise politique, et une bonne nouvelle pour le cinéma.
A l'opposé des paraboles auxquelles le cinéma iranien nous a habitués, Nader T.Homayoun a voulu un vrai polar. (...) Son film témoigne, dans l'urgence et avec une belle vitalité, de la vie comme elle va - mal - au pays des mollahs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La simple existence d'un tel film confine déjà à l'exploit, mais étonnamment ses conditions de tournage proches de la flibuste ne parviennent pas à générer de l'électricité et du danger à l'écran.
Le Journal du Dimanche
Au fil d'épatants rebondissements, ce polar tourné clandestinement s'impose par son rythme nerveux, ses personnages pas tous nets, sa mise en scène ingénieuse (...), et se distingue par son naturalisme malicieux et son scénario tendu.
20 Minutes
Drôle par instants, poignant le reste du temps, ce thriller nerveux tire le meilleur parti des codes du cinéma de genre.
Brazil
Ce film nous touche.
Chronic'art.com
Premier long métrage de fiction de Nader T. Homayoun, Téhéran est la bonne surprise de ce début de printemps.
Elle
(...) c'est un nouveau visage de Téhéran que Nader T. Hamayoun a filmé sans autorisation (...) ce qui donne au spectateur une topographie de la ville loin des clichés. Le réalisateur pousse le jeu de la fiction jusqu'à faire basculer son film dans un thriller à l'iranienne.
Excessif
Devant toutes ses belles promesses filmiques, il ne reste plus qu'à attendre la prochaine oeuvre de cet auteur habité par une conscience politique et sociale admirable.
Filmsactu
Mélange de polar et de chronique sociale filmé caméra à l'épaule, Téhéran prend le pouls de l'Iran d'aujourd'hui en dépeignant des réalités cruelles tout en témoignant d'un véritable amour de la ville et de ses habitants.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
L'Humanité
Film noir parfait qui reste à la frange du documentaire. Une des oeuvres les plus libres jamais tournées au pays des mollahs.
Le Monde
Son propos fait oublier les quelques imperfections techniques.
Le Parisien
(...) ce polar captivant fonctionne selon le bon vieux principe de l'engrenage, les personnages courant à leur perte dans une ville sans pitié.
Le Point
voir le point.fr
Les Inrockuptibles
Tant par ce qu'il est que par ce qu'il montre et raconte, Téhéran est l'un des beaux fruits de cette situation de crise politique, et une bonne nouvelle pour le cinéma.
Libération
(...) film noir, bâti comme un polar à tiroirs (...) une merveille d'équilibre.
Ouest France
Portrait d'une ville au quotidien dans un thriller urbain haletant et incertain.
Positif
Une vraie énergie pour une vraie réussite.
Première
(...) Nader T. Homayoun se joue des règles du film de genre pour capter l'énergie d'une ville en pleine métamorphose architecturale.
TéléCinéObs
Tourné sans autorisation, le film est une saisie à vif d'un univers urbain sous tension rarement montré au cinéma.
Télérama
A l'opposé des paraboles auxquelles le cinéma iranien nous a habitués, Nader T.Homayoun a voulu un vrai polar. (...) Son film témoigne, dans l'urgence et avec une belle vitalité, de la vie comme elle va - mal - au pays des mollahs.
La Croix
Sombre, Téhéran décrit la déchéance de petites gens venues dans la capitale avec l'espoir de mieux vivre.
Le Figaroscope
Sombre et bien rythmé, mais pas toujours facile à décoder.
Marianne
(...) l'image est un peu crasseuse, empêchée, volée comme les bébés, mais étonnamment vivante.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
La simple existence d'un tel film confine déjà à l'exploit, mais étonnamment ses conditions de tournage proches de la flibuste ne parviennent pas à générer de l'électricité et du danger à l'écran.