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AMCHI
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2,0
Publiée le 9 juin 2012
Jerzy Skolimowski réalisateur Polonais s'essaye avec Essential Killing au film de traque et si durant sa première demi-heure ce film est intense malheureusement après notre tension baisse considérablement. Un début convaincant mais une suite moins palpitante ou il se passe quasiment peu de choses avec même 30 dernières minutes pas loin d'être ennuyeuses. Dommage.
Traqué par des soldats américains, un Aghan se lance dans une course effrénée pour lutter pour sa survie. Une chasse à l'homme époustouflante. Vincent Gallo est magistral.
Après avoir vu Le territoire des loups me voilà à nouveau plongé dans un survival enneigé. J'avais pas vu que c'était Jerzy Skolimowski le réalisateur, parce que même si ce mec a une grosse côte de popularité, moi c'est vraiment pas trop mon genre de cinéma. Deep End, considéré comme son meilleur ou presque, ne m'avait vraiment pas plu. Il a des partis pris très forts, d'ailleurs ça se revoit dans Essential Killing, qui peuvent plaire, et qui ont le mérite d'être radicaux, mais moi j'aime pas son style. Essential Killing prend le pari de nous faire suivre un mec qui cherche à se sauver et qui ne dira pas un seul mot de tout le film. Mais le film m'intéresse moins lorsqu'il se confond avec un mysticisme lourdingue : il devient "l'ami des animaux" (ok j'exagère mais bon...), il trouve une maison en plein milieu des bois, où vit une femme muette qui lui viendra en aide pour on ne sait quel raison...
INSTINCT DE SURVIE. Un chasse à l'homme dans le froid et la neige. Vincent Gallo marche, trébuche, souffre et s'écroule. Le fugitif version polonaise sur les chemins de la liberté.
Un film assez étonnant qui dérange et questionne sur la nature humaine. Skolimovski réalise une œuvre qui, c'est sûr, ne peut laisser indifférent. Dès le début, le cinéaste prend le spectateur à la gorge et ne le lâchera pas. Il ressert peu à peu son étreinte en dessinant un portrait terriblement pessimiste de la nature humaine. Le héros est un sauvage, et ses poursuivants le sont aussi. Bref on se retrouve sans repère classique pour le genre, on est perdu, on ne sait pas ce que l'on veut en tant que spectateur. Le tout laisse donc pantois et si ce n'est quelques éclats d'humanité, on se dit que le pauvre metteur en scène a une vision bien morose de l'Homme, ce qui laisse un goût amer. Le film est servi par une photo magnifique et une réalisation tour à tour nerveuse et contemplative, voire métaphysique. Le son participe pleinement à la réussite de la mise en scène, ainsi que le jeu de Vincent Gallo, tout en animalité et en désespérance.
Il s’agit du tout premier film que je visionne chez ce réalisateur et le résultat final ne m’a franchement pas déçu car, d’une part, sa mise en scène est bien nerveuse et sans temps mort, et en plus Vincent Gallo nous offre une superbe performance dans le rôle d’un homme traqué. On est donc devant une chasse à l’homme qui propose une grande intensité, une bonne dose de suspense et certaines séquences bien violentes et malgré une fin guère surprenante on passe un excellent moment de cinéma.
Okay ya de beaux paysages, la neige c'est joli.. je m'attendais bien-sur à un "film-concept mais pas à une telle absence d'émotions un tel vide.. Dur dur de survivre dans la neige.
S'il ne fallait retenir qu'une image d'Essential Killing, laquelle serait-ce? Voilà une pratique à laquelle je me prête couramment après avoir vu un film. Dans le cas du film de Skolimowski, la première à surgir du flot de représentations mentales virevoltant dans mon esprit bouleversé, fut un magnifique plan large sur une silhouette perdue dans l'immensité d'un paysage enneigé, dont les forme se dessine devant un ciel orangé par le crépuscule. Un tableau bucolique admirable, mais pas vraiment représentatif de la nature du métrage. Car Essential Killing n'a rien de poétique, ne se nourrit pas d'idylle picturale. Au contraire, la brutalité des images, la véhémence froide des paysages caractérisent cette chasse-à-l'homme sans concession. Pas de mise en situation, un personnage que l'on découvre en fuite dans l'immédiat face à une horde de marines en pleine Asie Centrale, pas de partis-pris moralisateurs ni message politique. Il s'agît de mettre en scène l'homme dans toute sa bestialité, de lâcher un être au sein d'une nature hostile et le confronter à ses prédateurs. Ainsi, le protagoniste magnifiquement interprété par un Vincent Gallo étonnant d'authenticité incarnatrice, fait face à des situations éprouvantes et par un principe d'empathie nécessaire au genre du Survival, le spectateur se retrouve projeté dans cette course effrénée et ressent chaque souffrance endurée par le personnage de Gallo. Il n'y a pas à théoriser sur un film du genre, il n'y a qu'à se contenter de le ressentir, puisque Essential Killing se concentre sur la métaphysique de l'organique, déjoue toutes les attentes du spectateur pour le désorienter, à l'instar de son héros totalement perdu. Le dernier film de Skolimowski ne ressemble donc à rien de ce que vous avez pu voir jusqu'à présent et ne brille que par la puissance de son Cinéma.
un film tre bizzare qui ma fait leffet d'un somnifer j'ai du le regarder en trois fois tre peut de dialogue tre peut d'action un film vraiment louche la seul chose a sauvé et vincent gallo qui joue plutot bien.
La critique semble s'être un peu enflammée pour cette traque d'un islamiste afghan au milieu des forêts enneigées d'Europe. Certes c'est une belle variation de noirs et de blancs, ponctuellement teintée de rouge sang. Certes le cinéaste tient jusqu'au bout son parti pris de silence. Certes Vincent Gallo dépense toute son énergie. Mais cela reste un N ième film de traque comme le cinéma en a vu tant. Le scénario force beaucoup la chance de son héros et le parti-pris de silence emmène celui-ci jusque dans la salle à manger d'une... sourde-muette. Enfin, les passages sur l'Islam sont très clichés (burqà, "Allah sait tout"...) ce qui n'est pas à l'honneur du cinéaste qui nous impose cette vision convenue et sans doute très fausse de l'Islam.
Une expérience sensorielle unique ou l'acteur principale interprète un personnage au charisme unique sans prononcer un mot ! mais les longue séquences de survie arrivent parfois à être ennuyeuses.
Un survival moyen tres incomphrensible . Je m'attendais a mieux , et je m'attendais surtout a un vrai film survival avec certainnes scenes d'actions mais pour le peu d'actions que l'on voit il ne convaint geure . Les acteurs , Vincent Gallo est bon mais c'est tout , et c'est un peu dommage quand on connait son talent d'acteurs . Emmanuelle Seigneur est egalement bonne mais sans plus , les deux acteurs sont franchement pas tres attachant mais arrive neanmoins a nous convaincre . Le scenario , ont ne connait rien du ''heros'' mais ont remarque que cela n'a pas franchement d'importance , il y a certains flash-backs dont je n'ai n'a pas reussis a comprendre le rapport , le scenario est asser irrealiste par moment , enfaite le scenario pourrait se limiter a deux pages . La mise en scene est franchement inexistante , le realisateur n'a vraiment pas reussis a nous faire croire a cette histoire et tout le long du film et on cette sensation d'etre en dehors du film et c'est tres derangeant . La photograhie est rarement bonne , certainnes scenes sont filmer de sorte a rendre le film plus realiste mais ca ne marche pas vraiment . la b.o , ou plus les ''effets sonores '' sont parfois interresant et donne parfosi del'intensiter au film . Au final , ont a un film qui ce veux a la fois survival et poetique mais dans les deux cas ce rate completement , le film ne dure que 1h20 alors si vous aver du temps a perdre , meme si le film n'est pas non plus totalement a jeter .