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Eselce
1 395 abonnés
4 238 critiques
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5,0
Publiée le 2 décembre 2015
Le scénario et l'humour sont juste géniaux ! Il fallait y penser et bien le réaliser, c'est fait ! J'espère sincèrement qu'il y aura une suite, c'est tout à fait dans l'esprit d'un film d'horreur aux rôles inversés et malentendus. Les acteurs sont parfait, très bon casting. Je rigole encore en le revoyant, c'est terrible !
C'est bon ça! On passe vraiment un bon moment... Très original (tous les clichés du genre à la sauce "malentendu"), très drôle, très bon. Côté direction d'acteurs, c'est pas du Lee Strasberg mais c'est tellement jubilatoire. Amusez-vous bien.
Dans la famille des succès critiques improbables, demandez Tucker et son comparse Dale ! Pourquoi un tel qualificatif ? Il suffit de voir le titre, aussi bien VF que VO ? pour se rendre compte de la crétinerie loufoque de l’entreprise : Tucker & Dale fightent le mal (Tucker and Dale vs. Evil). Autant dire de suite que ce n’est certainement pas le genre de long-métrage sur lequel le spectateur lambda se pencherait aussitôt à sa sortie, se présentant sur le papier comme une série Z de bas étage. Pourtant, il s’agit-là d’un divertissement qui mérite amplement le coup d’œil, étant tout simplement meilleur (et pas qu’un peu) des films du genre. Pourquoi ? Réponse dans cette critique !
Avant de vous lancer dans le visionnage de Tucker & Dale, sachez qu’il s’agit-là d’une parodie du cinéma horrifique. Mais attention, pas une comédie potache et lourdingue à la Scary Movie qui enchaîne les références à gogo, se basant exclusivement sur ces dernières pour en tirer des gags discutables pour ne pas dire à la ramasse. Non, Tucker & Dale fait partie de ces parodies sans prétention qui se contentent de singer les clichés du genre et d’y trouver toute leur puissance comique. Ici, vous y trouverez donc tous les grands archétypes du cinéma horrifique : les étudiants en vacances en pleine débauche d’alcool et de sexe, la cabane paumée au fond des bois, la BO tentant d’instaurer une ambiance peu reluisante au bon moment… Mais surtout, Tucker & Dale révèle une intelligence d’écriture que ne saurait renier le duo Simon Pegg/Nick Frost (Shaun of the Dead) et qui fait toute sa force : se concentrer exclusivement sur la connerie typique des personnages des films d’horreur.
En suivant le parcours de deux pauvres « bouseux » gentils comme tout qui vont être pris pour de véritables psychopathes par des ados totalement idiots, Tucker & Dale laisse ainsi la place à un lot de situations aussi loufoques les unes que les autres, mettant à mal toutes les bêtises vues et revues dans les nombreux divertissements horrifiques qui se prennent au sérieux. Et cela sans toutefois délaisser le côté gore de certaines séquences (dont celle du broyeur), permettant au film d’exhiber des effets spéciaux de bonnes factures et ce avec un budget en mode mineur pour le genre (soit 5 millions de dollars). Ni les autres détails techniques, comme la mise en scène d’Eli Craig dont c’est le premier film, le réalisateur s’amusant à reprendre tous les codes du cinéma horrifique (silhouette dans l’obscurité, lumière tamisée, plans rapprochés…) afin de se moquer des Vendredi 13 et autres Massacre à la Tronçonneuse avec savoir-faire. En clair, Tucker & Dale se présente au public comme un divertissement drôle et efficace. Un chouïa longuet sur sa dernière partie, traînant la patte sur un ultime quart d’heure pas aussi délirant que le reste, il faut bien le reconnaître. Mais le plaisir délectable répond bien présent !
Il faut dire aussi que le film ne doit pas sa réussite qu’à son idée de tourner en ridicule les adolescents dans les long-métrages d’horreur. En effet, Tucker & Dale saura également vous séduire avec son duo de tête, deux « péquenauds » diablement attachants et puissamment drôles, interprétés avec justesse par le tandem Tyler Labine/Alan Tudyk. Dès que le film s’intéresse à eux, dès que la caméra daigne s’attarder sur leur petite vie tranquille qui va virer au cauchemar, le spectateur se prend d’emblée d’affection pour ses deux guimauves poisseuses et ne désire qu’une seule chose : qu’ils se sortent indemnes de cette mésaventure et que les ados meurent aussi bêtement les uns après les autres, surjoués soit dit en passant de manière convaincante (parodie oblige) par des comédiens inconnus du grand public.
Alors qu’il y a de cela quelques temps, le réalisateur et les deux comédiens ont commencé à parler d’une suite, nous ne pouvons qu’attendre avec impatience un nouvel opus qui saura suivre les traces de cette délicieuse surprise qu’est Tucker & Dale fightent le mal. Une parodie qui ne tombe jamais dans la surenchère et le lourdingue, se moquant avec intelligence, justesse, jubilation et même douceur d’un genre qui se singe lui-même au fil des longs-métrages. Rafraîchissant au possible !
Un film d'horreur basé sur un gros malentendu...et du coup tout le monde y passe! Pas mal comme idée. Et en plus c'est pas mal réalisé et les acteurs, bien qu'un peu caricaturaux (mais je crois ben q'c'est l'bu hein?), s'en sortent honorablement, un bon souvenir!
Excellent film à l'humour décale dans l'extrême de "l'épouvante". Une combinaison horreur-comédie très réussie; avec deux anti-héros détachés du superficiel, dans un monde trop porté sur les apparences. Enfin de la rigolade avec bulle et pression, aucune retenu pour tous (sauf -12ans). Préparer vous à mourir de rire!
Enfin un film qui sort du sentier balisé des films d'horreur... Au lieu d'avoir un classique groupes de jeunes qui tombe sur des tueurs en série, dans ce film ce ne sont pas des tueurs en série qui habitent au fond de la forêt, sauf que les apparences sont trompeuses Très bon film à prendre au second degré ^^
Dans la famille des succès critiques improbables, je demande Tucker et son comparse Dale ! Pourquoi un tel qualificatif ? Il suffit de voir le titre, aussi bien VF que VO ? pour se rendre compte de la crétinerie loufoque de l’entreprise : Tucker & Dale fightent le mal (Tucker and Dale vs. Evil). Autant dire de suite que ce n’est certainement pas le genre de long-métrage sur lequel le spectateur lambda se pencherait aussitôt à sa sortie, se présentant sur le papier comme une série Z de bas étage. Pourtant, il s’agit-là d’un divertissement qui mérite amplement le coup d’œil, étant tout simplement meilleur (et pas qu’un peu) des films du genre. Pourquoi ? C’est ce que nous allons voir !
Avant de vous lancer dans le visionnage de Tucker & Dale, sachez qu’il s’agit-là d’une parodie du cinéma horrifique. Mais attention, pas une comédie potache et lourdingue à la Scary Movie qui enchaîne les références à gogo, se basant exclusivement sur ces dernières pour en tirer des gags discutables pour ne pas dire à la ramasse. Non, Tucker & Dale fait partie de ces parodies sans prétention qui se contentent de singer les clichés du genre et d’y trouver toute leur puissance comique. Ici, vous y trouverez donc tous les grands archétypes du cinéma horrifique : les étudiants en vacances en pleine débauche d’alcool et de sexe, la cabane paumée au fond des bois, la BO tentant d’instaurer une ambiance peu reluisante au bon moment… Mais surtout, Tucker & Dale révèle une intelligence d’écriture que ne saurait renier le duo Simon Pegg/Nick Frost (Shaun of the Dead) et qui fait toute sa force : se concentrer exclusivement sur la connerie typique des personnages des films d’horreur.
En suivant le parcours de deux pauvres « bouseux » gentils comme tout qui vont être pris pour de véritables psychopathes par des ados totalement idiots, Tucker & Dale laisse ainsi la place à un lot de situations aussi loufoques les unes que les autres, mettant à mal toutes les bêtises vues et revues dans les nombreux divertissements horrifiques qui se prennent au sérieux. Et cela sans toutefois délaisser le côté gore de certaines séquences (dont celle du broyeur), permettant au film d’exhiber des effets spéciaux de bonnes factures et ce avec un budget en mode mineur pour le genre (soit 5 millions de dollars). Ni les autres détails techniques, comme la mise en scène d’Eli Craig dont c’est le premier film, le réalisateur s’amusant à reprendre tous les codes du cinéma horrifique (silhouette dans l’obscurité, lumière tamisée, plans rapprochés…) afin de se moquer des Vendredi 13 et autres Massacre à la Tronçonneuse avec savoir-faire. En clair, Tucker & Dale se présente au public comme un divertissement drôle et efficace. Un chouïa longuet sur sa dernière partie, traînant la patte sur un ultime quart d’heure pas aussi délirant que le reste, il faut bien le reconnaître. Mais le plaisir délectable répond bien présent !
Il faut dire aussi que le film ne doit pas sa réussite qu’à son idée de tourner en ridicule les adolescents dans les long-métrages d’horreur. En effet, Tucker & Dale saura également vous séduire avec son duo de tête, deux « péquenauds » diablement attachants et puissamment drôles, interprétés avec justesse par le tandem Tyler Labine/Alan Tudyk. Dès que le film s’intéresse à eux, dès que la caméra daigne s’attarder sur leur petite vie tranquille qui va virer au cauchemar, le spectateur se prend d’emblée d’affection pour ses deux guimauves poisseuses et ne désire qu’une seule chose : qu’ils se sortent indemnes de cette mésaventure et que les ados meurent aussi bêtement les uns après les autres, surjoués soit dit en passant de manière convaincante (parodie oblige) par des comédiens inconnus du grand public.
Alors qu’il y a de cela quelques temps, le réalisateur et les deux comédiens ont commencé à parler d’une suite, nous ne pouvons qu’attendre avec impatience un nouvel opus qui saura suivre les traces de cette délicieuse surprise qu’est Tucker & Dale fightent le mal. Une parodie qui ne tombe jamais dans la surenchère et le lourdingue, se moquant avec intelligence, justesse, jubilation et même douceur d’un genre qui se singe lui-même au fil des longs-métrages. Rafraîchissant au possible, nous ne pouvons qu’en demander encore !
L'époque (la blonde sensée être bête, les étudiants Américains en confrérie, véritables beaufs de notre siècle. Les bouseux, leurs crasse, manières, vieilles fringues et tous les clichés qui vont avec.
Le gore (Il n'est pas souvent là certes, mais quand c'est gore, c'est bien gore. Qualité pas quantité. Après certains n'auront pas leur dose, mais ils n'ont qu'à aller matter des films gore immondes, il y en a qui traitent de l'inceste, du canibalisme et autres trucs trop limites ils seront rassasiés).
L'humour (je ne me suis pas autant marré devant un film gore depuis Braindead
Le message (parler d'intolérance, de peur de l'autre ou d'apprioris avec des codes et exemples aussi chiants que ceux que j'ai cité plus haut: Etudiants américains, la blonde, les bouseux, et une amourette improbable devrait en général tomber à plat, mais là non, ça match impécablement bien.
4 ou 5 étoiles qu'importe, c'est un coup de coeur alors ça sera 5.
Tucker & Dale fightent le mal prend le parti de renverser certains codes du survival, mais est handicapé par une seconde partie étrangement gérée. Dommage, mais ça reste une bonne série B.
Ce film est juste génial ! J'ai passé vraiment tout le film à rire ! Un mélange de gore et d'humour, on voit rarement ça, et c'est drôle sans être lourd. Un énorme concours de circonstances, un peu tiré par les cheveux certes, mais tellement drôle ^^ Je le conseil vraiment !
spoiler: J'ai adoré le passage où le mec se jette dans le broyeur et ou tucker essai de sortir le mec en le tirant par les jambes et qui lui dit "ça va aller ! ça va aller !" genre ^^