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Un visiteur
3,5
Publiée le 19 mars 2013
Laurel et Hardy vs Women: round je-ne-sais-plus-combien. Cette fois-ci, Oliver s'apprête à devenir maire d'une petite bourgade. Tout se déroule pour le mieux jusqu'à ce qu'il reçoive la visite de son ex, qui impose qu'elle reçoive des bénéfices, sous peine de divulguer une photo aux médias ou ce pauvre Hardy est photographié dans une situation embarrassante avec la mégère. Hardy charge Laurel de s'en occuper. Bonjour les dégâts! Rien à ajouter de ce que j'ai déjà dit précédemment par rapport à ces aventures du duo, face à la puissance féminine. Si les situations sont volontairement exagérées (mesdames ne vous vexez pas), ce court-métrage reste bien drôle, de la même veine que la majorité des Laurel et Hardy. C'est du bon, du bon, et encore du bon. En bonnes personnes sensibles aux farces des deux gugus, "Quand les poules rentrent au bercail" est un bon cru.
Un scénario très mouvementé et de bons gags dans ce moyen métrage en couleurs réalisé par James W. Horne en 1931. Nous retrouvons Stan Laurel et Oliver Hardy très smart en boss, distributeurs d'engrais de haute qualité. Ollie, en campagne pour l'élection de Maire, voit son passé ressurgir sous forme d'une ex plutôt embarrassante. Avec également James Finlayson (l'habituel moustachu) dans le rôle du majordome.
C'est du pur Laurel et Hardy, ou Laurel excelle dans la couardise et la bêtise. 2 ou 3 gags méritent le détour pour les inconditionnels. Et de plus, c'est un court métrage. Vous ne perdrez pas trop de temps à le regarder.