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Marlon M.
44 abonnés
494 critiques
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3,5
Publiée le 9 octobre 2019
Heureux de retrouver Robert Sheehan dans ce film, l'ayant suivi depuis Misfits, j'ai été aussi agréablement surpris par l'originalité de l'histoire et le d'écoulement du film plutôt réussi je trouve. Injustement peu plébiscité comparé à d'autres navets quant à eux salués par la critique, il tire pourtant bien son épingle du jeu. Bon film
Sorti dans un anonymat assez honteux, le film s'est injustement ramassé au box-office. Dommage car dans le genre SF-fantasy grand public, "Mortal Engines" remplit largement son contrat. Ponctuée par plusieurs séquences de bravoure, la narration est ultra fluide. L'univers décrit se révèle à la fois surprenant et fascinant. Et même si la bande originale n'est pas à la hauteur, même si certains effets spéciaux sont un peu limites, le bilan est très positif.
On ne pourra pas dire pour ce film qu'on ne sait pas où sont passés les 100M du budget. Le déluge d'effets visuels est assez impressionnant. L'univers emprunte un peu à tout ce qu'on a déjà vu, le scénario n'a rien de révolutionnaire et n'évite pas certains cliché agaçants, mais on passe quand même un bon moment.
Un bide bien immérité pour ce film, quand on pense que des bouses réussissent à franchir les 500M voir le milliard de recettes.
Est-ce le manque de profondeur des personnalités esquissées ou l'accumulation d'attendus du genre (notamment au niveau des dialogues)...mais l'empathie avec les personnages ne s'est pas produite! Dommage car le concept semblait prometteur et l'ambition esthétique s'est concrétisée. Pas plus désagréable que détestable mais au final rien de nouveau sous le soleil ou plutôt la poussière apocalyptique!
Adapté d'un roman de littérature jeunesse, un long-métrage produit par Peter Jackson que j'ai longtemps hésité à regarder, le réalisateur néo-zélandais étant fortement descendu dans mon estime après sa catastrophique trilogie "Le hobbit" et même d'un point de vue strictement récréatif, un ensemble loin d'être fameux. En dépit d'un univers post-apocalyptique dans le style steam punk, fortement référencé par "Mad Max" visuellement riche et coloré mais complètement inexploité et par définition totalement opaque, un film plat, terriblement manichéen, aux enjeux dramatiques d'un classicisme absolu, l'une des plus niaises quêtes initiatiques que j'ai pu voir. Une mise en scène brouillonne, sans idées. Des acteurs bien peu charismatiques à l'exception d'Hugo Weaving mais qui cabotine outrageusement. Une grosse déception, clinquante mais extrêmement lisse.
MORATL ENGINES est à la croisée de plusieurs genres ( science fiction, space opéra, steampunk ) et ne laisse pas un instant de répit .Les affrontements des villes ainsi que l'attaque des machines volantes sont à la hauteur de nos espérances. Les effets spéciaux sont excellents. Une histoire captivante, servie par une belle distribution de comédiens charismatiques. PETER JACKSON ET CHRISTIAN RIVERS NOUS FONT PASSER UN AGREABLE MOMENT. A VOIR
Le film est pas mal, l'univers est cool et il y a beaucoup de mystère à résoudre, la fin peut être ouverte mais avec le flop du film, je pense qu'il n'y aura pas de suite. Le concept reste sympa.
Film de science-fiction bien ficelé, avec des décors bien réussi , le réalisateur de la saga des seigneurs des anneaux a réussi son pari , petit bémol pour le scénario, mais ce laisse regarder à voir !
D'énormes craintes en amont de l'adaptation de cette saga littéraire à succés, société post-apocalyptique a priori très dure à rendre palpable. Des villes mouvantes en chasse pour ingurgiter d'autres terres plus petites, on devinait aisément la métaphore colonialiste (et/ou mondialiste) derrière le concept mais difficilement la façon dont on pouvait la transposer sur écran. Au final nous sommes bien loin de la catastrophe pressentie, le film est à classer dans la catégorie des blockbusters de bonne facture n'oubliant pas d'associer le sens au spectacle. Après une séquence d'ouverture épique révélant le mécanisme de l'absorption d'une ville, nous en mesurons rapidement les conséquences via la quête vengeresse d'Hester Shaw, une des nombreuses victimes de cet exode rural forcé. D'ailleurs, si on doit relever un défaut principal ce serait celui-là : se placer du point de vue de l'histoire particulière plutôt que de la grande ! Au lieu de faire résonner la dimension politique, c'est le destin personnel de la jeune femme défigurée qui prend le dessus. L'univers visuel est très riche, surfant sur les acquis SF/Heroic Fantasy les plus emblématiques du Septième Art et du jeu-vidéo. On pense à Metropolis comme à Star Wars en passant par Mad Max ou encore la saga culte des gamers Final Fantasy. Une force technique qui s'accompagne d'un scénario solide s'exemptant des aspects les plus manichéens. Ainsi en est-il de la créature/robot hybride émotive pourchassant une Hester pas forcément irréprochable sur le fond. Idem avec le haut dirigeant londonien, mû par une certaine idée du futur plutôt que par une méchanceté gratuite. Une histoire se concluant sans points d'interrogations particuliers ni cliffhangers annonciateurs de suites imminentes. Confirmant que le contrat consistant à nous offrir un plaisir gourmand était rempli. À la charge du public de le considérer comme un one shot ou non.
Une nouvelle saga littéraire pour Peter Jackson mais cette fois-ci en temps que co-producteur du film. Dans Mortal Engines, Christopher Rivers nous propulse dans un monde dévasté par la guerre et maintenant peuplé d'immense ville roulant à l'image du Château Ambulant d'Hayao Miyazaki où même de Mad Max. Deux héros qui sur le papier n'ont rien de spécialement héroïque mais dont la bravoure va être mise à rude épreuve. Ce long métrage se singularise des blockbusters américains traditionnels par sa grande générosité visuelle et un univers vraiment à part. Ce film est typiquement un film pour jeune adulte avec de l'héroïsme, des liens fraternelles et des histoires d'amours légères et non kitsch. Le casting jeune donne une forme de fraîcheur sur l'histoire tout en étant porté par un Hugo Weaving idéal en méchant. Pour les amoureux de héroïc fantasy et SF, ce film est une belle surprise.
Un bon gros nanard des familles disposant d'un budget aussi astronomique que sa nullité. Tout est à jeter... Effets spéciaux a outrance, mise en scène incohérente, musique insupportable, scénarios et direction d'acteurs au raz des pâquerettes... Une catastrophe !
Gagne à être vu, loin d'être à jeter, mais pas un film à revisionner... Un contexte futuriste très intéressant mais assez peu développé, heureusement le budget vient largement compenser le tout.
Fiasco commercial agréé, « Mortal Engines » gagne pourtant à être vu, notamment pour son impressionnante dimension visuelle et ses décors. Destiné à un public Young Adults et baignant dans un univers original, ce film, produit par Peter Jackson dont on retrouve la patte, donne la priorité à un rôle féminin fort (Hera Hilmer), chose plutôt rare dans ce genre de grosses productions. Un grand spectacle mythologique qui perd progressivement de sa substance, le scénario devenant de plus en plus lisse et linéaire au fur et à mesure de son avancement.
Un bon divertissement. Le film donne des indices afin que l'on devine le film au fur et à mesure ce qui est rafraichissant pour l'esprit. La musique est parfaite et même si la lumière n'a rien d'extraordinaire l'image est impeccablement maitrisée.
Un film original en dehors du stéréotype gentils occidentaux méchants étrangers.
C'est un film très correct ou l'on est à l'affut des indices. Mon seul regret c'est que la fin soit très conventionnelle.