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    Mortal Engines
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    SuperJS
    SuperJS

    32 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2018
    Un bon film d’action avec un scénario certes un peu prévisible et convention pour ce genre-là mais qui garde un certain suspense. De bon effets spéciaux et des acteurs qui font le job.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 décembre 2018
    visuellement très beau
    scenario en dent de scie ... y a de l'idée sans pour autant savoir où cela va nous mener....
    bon divertissement quand même...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 décembre 2018
    Une tuerie !!! Juste une tuerie !!!
    Y a pas grand chose à dire de plus je crois, univers très sympa et des images bluffantes. Si Peter Jackson se lance dans l'adaptation des suivants, je signe de suite !
    Carlito Gasq
    Carlito Gasq

    36 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 décembre 2018
    j'ai vraiment adoré ce film autant dans les effets spéciaux que dans l'histoire hâte de savoir s'il y aura une suite
    poulaitt
    poulaitt

    16 abonnés 342 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2018
    Une première partie excellente, avec un univers relativement nouveau et bien fait (quoi qu'un peu irréaliste), un ton agréable, pas trop sombre bien que post apocalyptique, et des acteurs nouveaux très charmants.
    Par contre à la moitié, l'histoire devient un peu tristounette spoiler: voir très, avec la fin tragique du personnage hyper émouvant de robot-humain déshumanisé mais ému quand même
    .Et je regrette que les critiques virulentes de ces dernières décennies contre les happy end nous aient dirigés vers les spoiler: sacrifices devenus systématiques dans chaque saga des personnages secondaires qu'on aurait bien aimé revoir, pour des motifs souvent complètement nuls
    .
    Quand à la bataille finale, trop longue, mais effets spéciaux énormes, et pourtant ce n'est pas ma priorité mais les effets sont novateurs.
    Tonto94
    Tonto94

    48 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 décembre 2018
    Dans le futur, la plupart des villes sont devenues des cités mouvantes, se déplaçant au gré des ressources qu’elles trouvent. Celles-ci étant rares, une hiérarchie s’instaure entre les villes et des « cités prédatrices » voient le jour. Londres est de celles-ci, dirigée d’une main de fer par le maire Magnus Crome (Patrick Malahide), elle chasse toutes les petites villes minières et commerçantes dont elle peut s’accaparer les ressources. Mais sur sa nouvelle prise se trouve une jeune fille, Hester Shaw (Hera Hilmar), aux motivations mystérieuses, dont le but est d'assassiner le puissant ingénieur londonien Thaddeus Valentine (Hugo Weaving, grandiose). Avec l'aide d'un historien de la ville destitué de ses fonctions (Robert Sheehan), elle va changer le cours de l'histoire...

    La surprise vient toujours de là où on ne l’attend pas. C’est ce que semble nous dire Christian Rivers, avec son adaptation de Mécaniques fatales, premier tome d’une saga littéraire très dense signée Philip Reeve. Tout était là pour nous faire craindre un film sans saveur et sans personnalité, tant les bandes-annonces peinaient à faire ressortir quoi que ce soit d’intéressant d’un magma d’imagerie numérique, dont on avait toutes les raisons de croire qu’il nous ferait exploser les yeux, et au sein duquel on avait tout lieu de croire que se perdraient des acteurs inconnus tentant vainement de donner vie à des personnages inexistants. C’était s’être bien mal renseigné sur le film…
    Non seulement produit, mais également écrit par Peter Jackson, le film de Christian Rivers réunit en réalité toute l’équipe habituelle de son producteur, du Seigneur des Anneaux au Hobbit en passant par King Kong. Superviseur des effets spéciaux fidèle à Peter Jackson depuis son premier film, brièvement passé par la case Disney (Le Monde de Narnia, Peter et Elliott le dragon), Christian Rivers nous a en réalité démontré depuis belle lurette qu’il est un maître dans la création d’images et dans la maîtrise d’un univers dense et très travaillé. C’est donc tout naturellement qu’il nous le prouve à nouveau, en officiant cette fois au poste de réalisateur. Et le résultat est tout bonnement hallucinant.
    S’appuyant sur des effets spéciaux à couper le souffle, d’une totale crédibilité, Rivers montre ses muscles dès une brillante scène d’introduction, immersive à souhait et spectaculaire. A cette image, c’est d’ailleurs tout le film qui sera véritablement dantesque, nous offrant une impressionnante succession de scènes d’action toutes plus éblouissantes les unes que les autres, et qui restent toutes gravées dans la mémoire, portées par une bande-originale épique et d’une rare puissance quasi-wagnérienne, qu’on n’attendait pas de la part de Tom Holkenborg (plus connu sous le pseudonyme du tapageur Junkie XL). Par l’ampleur de mise en scène dont témoigne Rivers et la qualité des effets spéciaux, l’univers steampunk auquel on est convié prend donc parfaitement vie sous nos yeux émerveillés, multipliant les trouvailles visuelles avec une générosité qui force l’admiration.

    Pour autant, le film n’est certes pas parfait, et l’on pourra reprocher à Peter Jackson et ses coscénaristes une intrigue par trop laconique, où les personnages ne sont pas aussi développés qu’ils auraient pu l’être et où certains rebondissements revêtiront un fort air de déjà-vu (on se demande encore la raison d’être de cet étrange semi-plagiat de Star Wars qui clôt le film). On appréciera toutefois que le scénario sache poser des bases solides à son univers en exposant de manière courte mais efficace un contexte géopolitique facile à appréhender mais tout de même travaillé.
    Par la grâce d’un casting aussi excellent qu’inconnu, on s’attache aux différents personnages malgré leur écriture rapide, le caractère se révélant d’autant plus étoffé que les scénaristes ont l’intelligence de leur avoir donné une histoire antérieure au récit, dont on ne saura jamais plus que quelques noms jetés ici et là, mais qui leur donnent ainsi une vraie épaisseur en quelques lignes de dialogues bien senties.
    Ainsi, même si le scénario, simple mais jamais simpliste, n’est pas dénué de certaines failles, il permet au film de fonctionner à merveille, en nous immergeant comme seul Peter Jackson et quelques autres grands (Spielberg et Cameron) ont le secret dans un univers si riche, suffisamment éloigné de ses influences pour fonctionner sans elles, qu’au sortir du film, on n’a guère qu’une seule envie : replonger dedans le plus vite possible !
    Cinememories
    Cinememories

    483 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juillet 2022
    La cinématographie est devenue un art d’adaptation et du business à grande échelle. Le blockbuster cristallise ainsi ces deux constats, conformément à un système qui perdure au nom de la surenchère et au détriment de la qualité. Il existe énormément d’exemples récents et passés, car chacun se laisse guider par des influences évidentes à d’autres œuvres qui auront séduit une génération entière. Mais il ne faut pas les confondre avec l’héritage, qui a un sens bien plus profond… S’ensuit un projet similaire qui tombe dans la maison de production de Peter Jackson. Mais débordé par sa trilogie sur le Hobbit, qui aura été tout juste suffisante, c’est dans les mains de son fidèle technicien d’effets visuels, Christian Rivers, que l’on confie la lourde tâche d’introduire un nouvel univers dystopique, en phase avec les lectures de jeunesse contemporaine. Pourtant, l’adaptation du roman de Philip Reeve n’hérite pas du meilleur carburant afin d’amorcer une saga en devenir et les raisons sont nombreuses.

    Côté scénaristique, la pauvreté saborde la justesse d’écriture et la narration tombe à l’eau. L’évolution des protagonistes est prévisible, tout comme les enjeux tardifs, qui renouent avec le déjà-vu. Le manque de rigueur nous cloisonne alors dans un antre bien trop pauvre, à défaut d’un festival visuel qui tient ses promesses. Mais ce n’est pas ce maigre critère qui compensera l’ambition, sans mesure, d’une œuvre encore à l’état primitif. Pourtant, les mégalopoles mobiles ont de quoi éveiller notre curiosité. On peut y voire une certaine comparaison à travers les âges, car les différentes échelles sont à l’image de la puissance de chacun. Les gros poissons mangent les petits, c’est bien connu. Mais Hester Shaw (Hera Hilmar) n’a rien à voir avec ce système qui puise dans les dernières ressources de la Terre, tel un Mad Max qui se cramponne à la technologie énergétique. Et pourtant, il s’agit d’une crise où une nouvelle carte s’est mise en place.

    L’héroïne, dont les scarifications lui donnent un bon cachet esthétique, véhicule les motifs d’une vengeance justifiée, peut-être trop connaissant ses tendances de femme forte et indépendante. Peu connue du grand public, on l’associe brièvement au personnage de Tom Natsworthy (Robert Sheehan), rêveur comme si l’aviation lui permettrait de réaliser ses fantasmes et de le détacher de sa condition. Les enjeux sociaux sont moindres, car ce filon n’est pas développé, aux mêmes titres que les nouvelles trouvailles dans ce riche univers. Des personnages secondaires entravent ainsi la lisibilité du récit, car certains interviennent peu pour des besoins scénaristiques, d’où le manque de subtilité qu’on pourra aisément reprocher à une œuvre qui se voulait avant tout exotique et dépaysante. Thaddeus Valentine (Hugo Weaving) occupe la place de ce visionnaire, aveuglé par le pouvoir et l’égoïsme. On pourra ainsi regretter un manque d’évolution psychologique de l’Homme, qui ne tranche pas avec celui que nous connaissons actuellement, preuve que la bêtise ne vieillit pas. Il y aurait tant à débattre sur les motivations de ce personnage et les enjeux de l’univers qui s’adapte au fur et à mesure, mais le visionnage se concentre uniquement sur le visuel et sacrifie ses personnages.

    En somme, « Mortal Engines » s’est vu gâcher son potentiel par ce cahier des charges trop soutenu et trop exigent. Le film aurait pu devenir une entité plus subtile, mais au lieu de cela, il passe tout son temps à vouloir rattraper son retard et emprunte des raccourcis, passant outre la majestuosité d’un environnement post-apocalyptique, synonyme d’anticipation. Ici, l’univers joue un rôle, mais n’est pas exploité au bout de ses idées. On ne fait qu’induire le spectacle et le fond passe par un faux élan. Seul le personnage de Shrike (Stephen Lang) ornait le bon sentiment d’être le ressort nécessaire à l’héritage psychologique de l’héroïne. Il aura fallu peu de temps pour qu’il démontre son efficacité, mais aussitôt fait, aussitôt oublié, tout comme ce long-métrage encore en quête d’une identité…
    Maureen D
    Maureen D

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 décembre 2018
    Du début jusqu'à la fin j'ai adorer ce film ! Un univers enrichissant qui en met plein les yeux et avec un excellent casting.
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    185 abonnés 1 009 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2018
    Mortal Engines est adapté du roman du même nom de Philip Reeve, premier tome de sa série littéraire Tom et Hester sortie en 2001. Dès les premières minutes de la bande annonce, on y voit des références. On pense à Mad Max Fury Road, au Château ambulant, on est forcément intrigué et le sous-titre « par les créateurs des films le seigneur des anneaux » enfonce le clou, « quoi, Peter Jackson !! On veut voir ce film ! » La bande annonce ne nous avait pas trompé, des références, on en voit partout. En plus des premiers films cités, Mortal Engine rappelle aussi Star Wars avec plusieurs ressemblances, on y voir même du Terminator ! L’univers est aussi semblable à ceux qu’on retrouve dans le jeu vidéo, entre Final fantasy, Bioshock ou Rage, on retrouve la base de l’Heroic fantasy. Tout pour accrocher le Geek qui sommeille en vous ! Visuellement, c’est très réussi, entre les villes mécaniques, les environnements post-apocalyptiques, les costumes steampunk, on rentre vraiment dans l’ambiance. Les personnages principaux manquent un peu de carrures, mais reste intéressant et plein de potentiel. Les autres personnages, notamment Shrike ou Thaddeus Valentine, ont vraiment beaucoup de classe. Le scénario lui ne semble qu’être une introduction à l’univers, loin d’être déplaisant, on sent qu’ils en gardent sous le pied en ne prenant pas trop de risque. Si les suites dépendent de la réussite au box-office de ce premier volet, j’espère vraiment qu’il va marcher car on a vraiment accroché à l’univers, on veut voir ce qu’il a en plus à offrir ! Bref, c’est un film réussi, à l’univers riche et aux possibilités enthousiasmantes, de quoi passer un très bon moment !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 décembre 2018
    La nouvelle saga de Peter Jackson est une bonne nouvelle pour le cinéma : après l’anthologie du Seigneur des Anneaux, on découvre ici un tout autre univers où le fantastique est au service d’une intrigue qui ne laissera pas le spectateur indifférent. Même si sur de nombreux points le jeu d’acteur de Robert Michael Sheenan est critiquable, la prestation de l’indétronable Hugo Weaving, d’Hera Hilmar et de l’étonnante Jihae et les effets spéciaux toujours très réussis sont les points forts de Mortal Engines. Enfin, en plus de la bande son originale d’excellente qualité, la vision apocalyptique d’un monde en recherche constante de nouvelles ressources qui est proposée ici n’es que le reflet de notre société actuelle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 décembre 2018
    J’ai adoré ce film. L’histoire était très prenante, j’ai beaucoup aimé le concept de cité prédatrice et les acteurs étaient très corrects dans leurs rôles. Les images étaient par dessus tout très belles.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 décembre 2018
    Un navet fini l'histoire est inintéressante la dernière heure est interminable, tout est cousu d'avance,
    Pas C
    Pas C

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 octobre 2020
    je comprends mieux pourquoi ce film a été un bide à son lancement aux USA ; cette histoire est à dormir debout et est plutôt mal jouée par les acteurs principaux qui semblent peu croire à ce scénario loufoque.
    on n'en a pas pour son argent, vraiment pas...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 décembre 2018
    Vu hier, je n'attendais rien de ce film et pourtant... je suis quand même déçu, le début promettait quelque chose d'innovant et spectaculaire (mention spéciale pour ce style steampunk qui me parle !) Malheureusement, on dirait un genre de teenage movie, bourré de clichés et qui tente simplement de remplir un cahier des charges, personnages peu intéressants et encore une fois clichés au possible (la romance est tellement poussive...) et cette fin... cette révélation ! xD Bref, film totalement oubliable
    Ronan T
    Ronan T

    29 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 décembre 2018
    D'un ennui terrible. L'histoire est d'une vacuité déconcertante, les acteurs sont mauvais. Rien pour rattraper ce film dont le succès en salle est le reflet de sa qualité. 2h de perdue ...
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