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Chez Mikhaël Hers, tout est affaire de dévoilement par petites touches qui organisent une montée aussi ténue que forte tout le long du récit. Celle-ci transite par un verbe hésitant ou plus encore un silence, un regard - ou son hésitation, une mise en présence des corps, autant de situations d'où peut émerger la complexité des affects.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Par la grâce de comédiens, tous épatants et ténus, quelque chose de subtil s'échappe, en cette fin d'été, dans cet entre-deux qui précède l'âge adulte, qui ne sera plus.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Mêlant le vague à l'aigu et la monotonie à l'inquiétude, le charme sans âge de "Memory Lane" fait entendre une dissonance qui ne demande qu'à s'épanouir.
Critikat.com
Chez Mikhaël Hers, tout est affaire de dévoilement par petites touches qui organisent une montée aussi ténue que forte tout le long du récit. Celle-ci transite par un verbe hésitant ou plus encore un silence, un regard - ou son hésitation, une mise en présence des corps, autant de situations d'où peut émerger la complexité des affects.
L'Humanité
(...) la construction se tient, comme les personnages, dans l'entre-deux dont il fut question en commençant.
La Croix
(...) mélancolique portrait de groupe dans la torpeur d'une fin d'été en banlieue (...).
Le Monde
Avec beaucoup de charme, "Memory Lane" peint l'ordinaire, le précaire, le presque rien, un non-dit qui unit ces jeunes gens au spleen synchrone.
Les Inrockuptibles
A la fois limpide et étrange, un premier long métrage touchant sur la fin des amitiés adolescentes et la jeunesse qui passe.
Libération
"Memory Lane" a, pour le grand nombre, des allures de non-évènement et c'est pourtant l'un des plus beaux films de l'année.
TéléCinéObs
Par la grâce de comédiens, tous épatants et ténus, quelque chose de subtil s'échappe, en cette fin d'été, dans cet entre-deux qui précède l'âge adulte, qui ne sera plus.
Télérama
POUR - Les dialogues de "Memory Lane", d'une platitude délibérée (...), font pourtant surgir de purs moments de grâce.
Cahiers du Cinéma
Mêlant le vague à l'aigu et la monotonie à l'inquiétude, le charme sans âge de "Memory Lane" fait entendre une dissonance qui ne demande qu'à s'épanouir.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Le Figaroscope
Déclin de l'été, déclin de la jeunesse : une chronique à la mélancolie douce qui peine à trouver un rythme.
Le Journal du Dimanche
Sur un scénario mineur, ce film ne raconte pas grand-chose sinon le temps qui passe, les paroles qui se font désirer.
Positif
La déception (mineure, tout de même) devant ce premier long-métrage tient sans doute à son ambition mal maîtrisée.
Télérama
CONTRE - Chez le gentil Mikhaël Hers, hélas, la difficulté d'être qu'il cerne obstinément reste plate.
Excessif
Une oeuvre anecdotique et sans saveur.
L'Express
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