Alors pour devenir streetdancer il faut: premièrement, trouver un blaze car le street dancer a toujours un pseudo cool et branchè! Deuxièmement, porter des fringues larges, style à capuche XXXL, jean baggy, casquette de baseball qui cache la moitiè de votre visage...rien n'est dans la streetdance! Troisièmement, apprendre la jargon: ne jamais utiliser le mot "break dance", les vrais streetdancers disent "breaker" ou "b-boying"! Quatrièmement, apprendre la diffèrence entre tous les styles: le popping, le locking, le breaking, le crip-walk, le krump...et cinquièmement, apprendre les mouvements: le waving, le windmill, le tutting, le slide, le toprock, et enfin le "suicide", en gènèral utilisè pour conclure de façon spectaculaire votre numèro et qui doit donner l'impression que vous avez perdu le contrôle de votre corps, en gènèral en faisant une pirouette qui se termine sur le dos ou face au sol! Du talent, de la sueur, du coeur, de la bonne musique (le mèlange des genres est plutôt bon), mais aussi un terrible sentiment de dèjà vu pour des performances filmèes en 3D, qui une fois de plus, ne sert strictement à rien (2 euros de +, c'est tout ce que l'on gagne). A noter un rôle très souriant de Charlotte Rampling qui joue le rôle d'une anti Maria Ouspenskaya (les nostalgiques de "Waterloo Bridge" comprendront). Passable...