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Votre avis sur Arrietty le petit monde des chapardeurs ?
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Il manque quelque chose a cette production Giblii pour égaler ses pairs, sûrement une meilleure fin et plus de prises de risque. Malgré tout, les images sont toujours sublimes et l'histoire poétique. En dessous du reste, mais quand même très bon.
Le cru 2011 des studios Ghibli portait le doux nom d'Arrietty, un énième film d'animation des studios fondés par le maître Hayao Miyazaki, et même si il n'est qu'ici que producteur, on sent à chaque instants, l'inspiration tiré de son univers romantico-fantastique.
Le film nous embarque dans un nouveau voyage mystique dans les sous sols d'une maison typique Japonnais, où vivent les chapardeurs, petits êtres humains de la taille d'un doigt, qui survivent en cachette de la race humaine, en espérant ne pas se faire remarquer lors de leurs rares sorties aux yeux de tous pour ramener dans son foyer le nécessaire pour survivre. Arrietty et ses parents pensent être les derniers de leur espèce, ils vivent leurs vies en toute tranquillité dans une maison proche isolé de la banlieue de Tokyo depuis près d'un siècle jusqu'au jour ou arrive un jeune homme qui va surprendre la petite Arrietty par mégarde.
De là vas naître une curiosité et une complicité interdite entre les deux peuple. Sous ces aires de réadaptation des aventures de tom pouce se cache une histoire humaine aussi touchante que dramatique. Une nouvelle fois le studio choisi le fantastique pour aborder les thèmes de la tolérance envers son prochain malgré les différences. Une très belle histoire de vie comme sait nous le conter le studio Japonnais, bien dé-servie par une direction artistique de toute beauté et une bande son envoûtante.
Et malgré les quelques longueurs, on se laisse a nouveau emporter au pays du soleil levant.
Le film nous embarque dans un nouveau voyage mystique dans les sous sols d'une maison typique Japonnais, où vivent les chapardeurs, petits êtres humains de la taille d'un doigt, qui survivent en cachette de la race humaine, en espérant ne pas se faire remarquer lors de leurs rares sorties aux yeux de tous pour ramener dans son foyer le nécessaire pour survivre. Arrietty et ses parents pensent être les derniers de leur espèce, ils vivent leurs vies en toute tranquillité dans une maison proche isolé de la banlieue de Tokyo depuis près d'un siècle jusqu'au jour ou arrive un jeune homme qui va surprendre la petite Arrietty par mégarde.
De là vas naître une curiosité et une complicité interdite entre les deux peuple. Sous ces aires de réadaptation des aventures de tom pouce se cache une histoire humaine aussi touchante que dramatique. Une nouvelle fois le studio choisi le fantastique pour aborder les thèmes de la tolérance envers son prochain malgré les différences. Une très belle histoire de vie comme sait nous le conter le studio Japonnais, bien dé-servie par une direction artistique de toute beauté et une bande son envoûtante.
Et malgré les quelques longueurs, on se laisse a nouveau emporter au pays du soleil levant.
Arietty est un très beau film avec des similitudes avec le chef-d'oeuvre Your Name.
Un film sous-estimé en comparaison aux Myasaki qui n'a clairement pas à rougir.
Une histoire simple et chaleureuse dont son plus grand défaut est d'être trop court.
Un film que je recommande pour tous !
Un film sous-estimé en comparaison aux Myasaki qui n'a clairement pas à rougir.
Une histoire simple et chaleureuse dont son plus grand défaut est d'être trop court.
Un film que je recommande pour tous !
Impressionnant de détails, très belle musique, un bon moment à passer sans que ca atteigne le niveau des chefs d'oeuvres de Miyazaki
Benjamin A
Les Chapardeurs sont des petits hommes d'une quinzaine de centimètres vivant de légers larcins dans le monde des humains et habitant sous les planchers en tâchant de ne jamais être vus par ces derniers. Arrietty en fait parti, mais sa vie va changer lorsqu'un jeune enfant souffrant va venir se reposer dans la demeure où elle loge.
Ecrit par le maître Hayao Miyazaki, on retrouve dans Arrietty la patte du réalisateur du Voyage de Chihiro avec cette sensibilité, délicatesse et poésie. C'est un plaisir que de suivre cette petite Arrietty qui va découvrir le monde des humains via d'abord son premier chapardage puis sa rencontre avec un jeune garçon dont elle aura, sous l'influence de sa famille, d'abord peur. C'est la rencontre entre deux êtres différents que Yonebayashi met en scène, deux êtres qui ne cherchent qu'à découvrir l'autre malgré les contraintes extérieures.
Malgré toutes les bonnes choses que l'on peut y déceler, Arrietty laisse tout de même quelques (légers) regrêts, et, bien qu'écrit par Miyazaki, je n'y ai pas retrouvé toute la magie des oeuvres de ce dernier. Excepté lors de quelques moments, l'oeuvre manque d'émotion ainsi que de grands moments lyriques et d'éblouissements comme Miyazaki était capable d'en créer. De plus, si les deux protagonistes sont plutôt bien écrits, les seconds rôles manquent de consistances tandis que le scénario se révèle parfois maladroit, à l'image des réactions de certains personnages, notamment dans la dernière partie.
Enfin, ça reste tout de même des reproches mineurs tant on trouve énormément de charme et de sensibilité qui se dégagent de cette oeuvre, les deux protagonistes sont plutôt attachants et l'ensemble est vraiment plaisant à suivre. Il y a une réelle immersion au coeur de ce monde, ainsi qu'une sensation d'aventure qui est vraiment plaisante. Les dessins sont de qualités, tout comme le bel univers mis en place, sachant mettre en avant d'infimes détails parfois savoureux et regorgeant d'idées. La musique, bien que parfois un peu trop présente, fait corps avec les images et l'atmosphère générale du film.
Sans être une production majeure du studio Ghibli, Arrietty n'en reste pas moins agréable à suivre, charmant et sensible où Yonebayashi met en place un univers fort sympathique et même immersif avec des personnages attachants.
Ecrit par le maître Hayao Miyazaki, on retrouve dans Arrietty la patte du réalisateur du Voyage de Chihiro avec cette sensibilité, délicatesse et poésie. C'est un plaisir que de suivre cette petite Arrietty qui va découvrir le monde des humains via d'abord son premier chapardage puis sa rencontre avec un jeune garçon dont elle aura, sous l'influence de sa famille, d'abord peur. C'est la rencontre entre deux êtres différents que Yonebayashi met en scène, deux êtres qui ne cherchent qu'à découvrir l'autre malgré les contraintes extérieures.
Malgré toutes les bonnes choses que l'on peut y déceler, Arrietty laisse tout de même quelques (légers) regrêts, et, bien qu'écrit par Miyazaki, je n'y ai pas retrouvé toute la magie des oeuvres de ce dernier. Excepté lors de quelques moments, l'oeuvre manque d'émotion ainsi que de grands moments lyriques et d'éblouissements comme Miyazaki était capable d'en créer. De plus, si les deux protagonistes sont plutôt bien écrits, les seconds rôles manquent de consistances tandis que le scénario se révèle parfois maladroit, à l'image des réactions de certains personnages, notamment dans la dernière partie.
Enfin, ça reste tout de même des reproches mineurs tant on trouve énormément de charme et de sensibilité qui se dégagent de cette oeuvre, les deux protagonistes sont plutôt attachants et l'ensemble est vraiment plaisant à suivre. Il y a une réelle immersion au coeur de ce monde, ainsi qu'une sensation d'aventure qui est vraiment plaisante. Les dessins sont de qualités, tout comme le bel univers mis en place, sachant mettre en avant d'infimes détails parfois savoureux et regorgeant d'idées. La musique, bien que parfois un peu trop présente, fait corps avec les images et l'atmosphère générale du film.
Sans être une production majeure du studio Ghibli, Arrietty n'en reste pas moins agréable à suivre, charmant et sensible où Yonebayashi met en place un univers fort sympathique et même immersif avec des personnages attachants.
Il y a tant de délicatesse et de bonnes choses dans un tel dessin animé. Le rythme est particulièrement appréciable pour produire une forme de poésie. Il est plus question de sentiments que d'actions pourtant il y a bien de l'action
spoiler:
c'est presque dérangeant d'avoir un personnage assez grossier que Haru, les idées un peu morbides de Sho et la fuite alors que l'on peut croire qu'ils pourraient rester dans la maison qui était fabriquée pour eux.
Il y a un déséquilibre mais qui n'enlève que peu de choses à la qualité poétique de l'ensemble car ce sont aussi des formes de réalisme. Ainsi le titre japonais est : Arrietty l'emprunteuse, Borrower en anglais. Le soucis est un peu là au final c'est un monde imaginaire traité d'une façon qui induit une confusion entre réalité, rêve et imagination.
Il y a un déséquilibre mais qui n'enlève que peu de choses à la qualité poétique de l'ensemble car ce sont aussi des formes de réalisme. Ainsi le titre japonais est : Arrietty l'emprunteuse, Borrower en anglais. Le soucis est un peu là au final c'est un monde imaginaire traité d'une façon qui induit une confusion entre réalité, rêve et imagination.
Un joli comte à suivre surtout pour les tous petits
Avant je m'attendais à un nouveau Miyasaki puis il s'est avéré que non pas vraiment. Curieuse je suis tout de même allée voir ce que c'était et je dois dire que je n'ai vraiment pas été déçue. La bande-son était très sympathique, accompagnant bien l'histoire et pas trop lourde non plus. L'histoire est attendrissante sans faire dans le gnan-gnan bref j'ai passé un vrai bon moment.
Superbe ! Un parallèle entre deux mondes de taille différente dont la richesse, la beauté et les détails du scénario et de l’animation laissent sans voix. C’est un peu comme « Arthur et les Minimoys » mais en beaucoup mieux !
Il faut aussi parler des musiques, superbes, mais surtout des nombreuses émotions que le réalisateur arrive à transmettre aux spectateurs et c’est là, sans nul doute, le plus beau des compliments que je peux faire au studio Ghibli.
Il faut aussi parler des musiques, superbes, mais surtout des nombreuses émotions que le réalisateur arrive à transmettre aux spectateurs et c’est là, sans nul doute, le plus beau des compliments que je peux faire au studio Ghibli.
Un film magnifique sur une question que l’on se doit de s’imposer, l’humilité car les chapardeurs ont un monde énorme qui leur est offert mais ils se contentent d’un morceau de sucre et de feuille de thé comme plaisir. Aussi proche que soit ce dessin animé sur l’écologie, il parle surtout du partage et de la prise en compte de ce qui parait faible et fragile. Peu de dessin animé peuvent exprimer ceci avec un scénario si simple. Chef d’œuvre de travail sur la différence de sonorité entre deux univers. La touche Ghibli est simplement magnifique et très bien fignolé sur la part de bien et de mal en chaque être. Seule hic du film, l’insistance de la tante à dire que le pauvre petit n’as pas ses parents et qu’il pourrait mourir seule, si c’est intentionnel il faut vraiment s’inquiéter sur la façon dont sont traiter les enfants par rapport au travail.
Une belle musique frissonnante et des dessins à couper le souffle. Une belle et simple réussite de ce studio bien en avance pour la façon de traiter du destin et la nature humaine.
Une belle musique frissonnante et des dessins à couper le souffle. Une belle et simple réussite de ce studio bien en avance pour la façon de traiter du destin et la nature humaine.
Une fois de plus les studios ghilbi réussissent à donner vie à un univers dense et riche, on peut voir dans celui-ci un remake en animation du "petit monde des borrowers" bien que le film n'empreinte pas tout à fait la même voie, notamment dans les rapports entre le garçon et Arriety. Un film qui nous transporte, fait rêver et comme toujours est très soigné dans l'animation. Une nouvelle grande réussite.
Affligeant.
Comment peut-on sortir une telle soupe aux spectateurs ?? ... En fait, c'est une question rhétorique à la base, mais à bien y réfléchir, j'ai la réponse : ce film prend les gens pour des cons... parce qu'ils le sont : si un autre studio (genre Pixar ou Dreamworks) avait sorti ça, ça aurait été un scandale, mais là nooooon, "c'est un manga, c'est magnifique !", "c'est poétique !"
Les Japonais ont désormais le droit de nous vendre des nullités parce que EUX ne sont pas estampillés "impérialistes américains".
La belle poésie naïve des mayazaki (que j'aime beaucoup, au passage) tombe ici dans un gnan-gnan insondable : le vague propos écologiste est abordé pendant moins d'une minute, à la faveur d'un dialogue d'une béatitude telle qu'on croirait qu'un enfant de 5 ans l'a écrit.
Les personnages forment un poncif éhonté de la gentille cellule familiale (avec le gentil papa qui fronce les sourcils, la frêle maman qui aime tellement être au foyer qu'elle rêve d'une belle cuisine !) : encore une fois, si un studio américain faisait ça, on crierait à la propagande pro-américaine niaise (je dis pas qu'ils ne le font pas d'ailleurs).
Et le pire dans tout ça, c'est que c'est ennuyeux à en pleurer !!!! Il ne se passe strictement rien, et pratiquement aucun des enjeux dramatiques exposés n'est exploité, comme si le scénario avait été écrit au fur et à mesure pendant le tournage.
Et pour cause, l'histoire pourrait tenir dans un court de 15 minutes. Adapter les Borrowers aurait pu (dû) donner lieu à beaucoup d'inventivité (les objets, les combines), ici il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent.
Pour finir, du point de vue de la direction artistique (réalisation, montage, musique (pitié !!), "photo"), rien d'exceptionnel, je dirais même que ce film a 30 ans de retard, c'est assez plat. De ce point de vue (et sur bien d'autres aspects), ce film n'est guère mieux qu'un bon épisode des Minipouces, c'est un véritable attrape-cons.
Comment peut-on sortir une telle soupe aux spectateurs ?? ... En fait, c'est une question rhétorique à la base, mais à bien y réfléchir, j'ai la réponse : ce film prend les gens pour des cons... parce qu'ils le sont : si un autre studio (genre Pixar ou Dreamworks) avait sorti ça, ça aurait été un scandale, mais là nooooon, "c'est un manga, c'est magnifique !", "c'est poétique !"
Les Japonais ont désormais le droit de nous vendre des nullités parce que EUX ne sont pas estampillés "impérialistes américains".
La belle poésie naïve des mayazaki (que j'aime beaucoup, au passage) tombe ici dans un gnan-gnan insondable : le vague propos écologiste est abordé pendant moins d'une minute, à la faveur d'un dialogue d'une béatitude telle qu'on croirait qu'un enfant de 5 ans l'a écrit.
Les personnages forment un poncif éhonté de la gentille cellule familiale (avec le gentil papa qui fronce les sourcils, la frêle maman qui aime tellement être au foyer qu'elle rêve d'une belle cuisine !) : encore une fois, si un studio américain faisait ça, on crierait à la propagande pro-américaine niaise (je dis pas qu'ils ne le font pas d'ailleurs).
Et le pire dans tout ça, c'est que c'est ennuyeux à en pleurer !!!! Il ne se passe strictement rien, et pratiquement aucun des enjeux dramatiques exposés n'est exploité, comme si le scénario avait été écrit au fur et à mesure pendant le tournage.
Et pour cause, l'histoire pourrait tenir dans un court de 15 minutes. Adapter les Borrowers aurait pu (dû) donner lieu à beaucoup d'inventivité (les objets, les combines), ici il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent.
Pour finir, du point de vue de la direction artistique (réalisation, montage, musique (pitié !!), "photo"), rien d'exceptionnel, je dirais même que ce film a 30 ans de retard, c'est assez plat. De ce point de vue (et sur bien d'autres aspects), ce film n'est guère mieux qu'un bon épisode des Minipouces, c'est un véritable attrape-cons.
Petite déception car j'ai trouvé le scénario de Hayao Miyazaki peu convaincant....Un manque global d'imagination tant dans l'histoire que dans les personnages....On est loin du Chateau ambulant voire de Ponyo sur la falaise même si les graphiques sont irréprochables....L'univers poétique de Miyazaki est ici très feutré et il manque un peu d'êtres surnaturels....A réserver à des enfants mais peut être étais je dans un jour sans.... J'irais sans doute le revoir dans d'autres conditions....
Le premier film de Hiromasa Yonebayashi... Qui a deja un avenir prometteur, Hayao Miyazaki lui-même (pour comparer ce qui est comparable) n'a pas aussi bien commencé sa carrière, même s'il est désormais quasi-impossible a égaler ! Un dessin-animé tres émouvant et tres intéressant, racontant une histoire au charme exceptionnel, dans un monde réaliste, avec des sentiments sincères et des personnages bien pensés... Un film vraiment agréable, a la fois divertissant et qui pousse a la réflexion, mis en musique de façon tres réussie et visuellement, c'est magnifique !
Un bijou de poésie et de raffinement à l'état pur ! Arrietty fait voyager le spectateur dans cet univers mirifique aux couleurs fastueuses avec une bande originale grandiose et apporte en plus de cela un magnifique message écologique ! Que l'on soit petit ou grand, on ne peut que être totalement envouté par tant de suavité, d'émerveillement visuel et de générosité de la part des studios Ghibli qui signent là un nouveau chef d'oeuvre ! Le spectateur n'a qu'une envie après la séance : Repartir faire ce sublime voyage en compagnie de ces adorables personnages ! Une merveille !
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