Avis sur Mosquito

Lorsque l'on parle de Mosquito, les adjectifs les plus péjoratifs et condescendants ne manquent cruellement pas à notre vocabulaire. Chaque séquence de cet effroyable navet laisse le spectateur bêtement perplexe, mais aussi déprimé par la simplicité du scénario. Outre sa démagogie qui reste franchement triste, Mosquito ravira toutefois incontéstablement les fans de nanars du genre.

Passè inaperçu à sa sortie vidèo au milieu des annèes 90, "Mosquito" sort des sentiers battus de la sèrie Z fauchèe! Selon la formule consacrèe, plus un film d'horreur est poilant, plus il a la chance d'être sympathique à l'arrivèe! Le film de Gary Jones ne dèroge pas à la règle! Tournè avec trois francs six sous, "Mosquito" n'en procure pas moins un plaisir! Les personnages sont dèbiles avec des performances d'acteur qui disparaitront rapidement des mèmoires et les effets spèciaux (à l'ancienne) font plus sourire qu'autre chose! Reste que les moustiques gèants sont plutôt bien fichus et le rythme soutenu! C'est dire si on a connu pire dans le genre! Tueur fou armè d'une tronçonneuse dans le mythique "The Texas Chainsaw Massacre", Gunnar Hansen continue à faire appliquer la loi! spoiler: Ici, il doit faire face à un bataillon de moustiques gèants en quête de sang humain mais cette fois avec une tronçonneuse plus grande que lui! il faut cependant attendre le final pour profiter pleinement de cette sèquence d'anthologie!
Le second degrè est èvidemment de mise...

Quand je pense à Mosquito, c'est avec une petite larme aux yeux que mon excitation puérile peut montrer au monde les multiples facettes de ce chef d'oeuvre incompris. Car oui je le dis ce film transcende! Stop Au Septième sceau! Mort à De Palma ou Sorcese! On atteint avec Mosquito la quintessence de la stupidité cinématographique. On arrive pas à croire à la nullité des acteurs, des vannes : "-hey tu t'es déjà fais choper à te masturber dans ton placard?-Ben non- Ben continue c'est une bonne planque mouhahahaha" ( et encore c'est un aperçu). Mosquito c'est un scénar du tonnerre, des effets spéciaux en carton pate, un duel à la tronconneuse! Bref une explosion de couleurs moites et de clichés sordides du cinéma américain du début des années 90. Splendide nanar à voir évidement au deuxième degrés.

Un film qui peut se trouver a 1 euro chez Gifi entre les pornos des années 60. Si vous voulez frissoner et rire il n'y a pas mieux : Le vieux qui joue est en fait l'acteur qui joue LEATHERFACE il protège les meilleurs acteurs de l'histoire du cinéma. Que dire de plus ? Effets spéciaux des années 60, musique ringarde et dialogues à la Aladdinde

Tout est médiocre dans ce film aussi bien le jeu d'acteurs totallement ridicule le scénarios est ridicule donc je ne consseille a personne ce navet a eviter

Attention ce film est incroyablement idiot et cheap, tout respire la crasse, il y a juste à constater la gueule du casting composé intégralement de gros beaufs, ou plutôt rednek, pour se rendre compte que le malade derrière ce film a parfaitement conscience de genre de produit qu'il a envie de livrer. C'est donc un long-métrage dans le pur esprit "troma", et il ne faut pas perdre ce postulat de vue au risque de passer à côté du film. Dialogues crétins, monstres mal foutus, histoire débile, dixième degré constant, budget inexistant, c'est assez assumé, fun et libre pour avoir mon adhésion, Gary Jones, prêtre du Z californien, se démerde en plus pour faire péter le peu de décors mis à sa disposition, si ça c'est pas un type généreux.

Pour ses débuts derrière la caméra, le spécialiste des effets spéciaux Gary Jones signe une série B décomplexée et généreuse. Avec son scénario débile à souhait et ses personnages qui ne le sont pas moins, ce pur monster movie ne se prend pas la tête et offre à son public ce qu'il demande : du fun, du fun et encore du fun. Tout le maigre budget semble être parti dans les moustiques géants que le réalisateur prend plaisir à mettre en scène et à faire exploser dans des séquences plutôt réussies pour ce genre de production comme l'attaque d'un camping car en pleine course ou l'assaut à la Rio Bravo d'une maison où nos héros sont retranchés. De plus, le fait que les effets spéciaux soient mécaniques et non numériques apporte un charme supplémentaire à cette production dont le ton est parfois à la limite du cartoonesque.

Même en le voyant au second degré, ce film n'arrive même pas à être un nanar mais arrive à être une pure catastrophe cinématographique ! Le scénario n'est pas très original puisqu'il nous est balancé comme ça : une météorite s'écrase dans un étant et pouf ça donne des moustiques géants... Le rythme de ce film est d'une lenteur extrême c'est affolant et je garde le meilleur pour la fin : les dialogues, ils sont aussi débiles que les personnages. Pour les effets spéciaux, n'en parlons pas, ils sont comme vous l'aurez deviné très mal fait surtout lors de la course poursuite entre les moustiques et le camping car et de même pour le maquillage. La seule chose d'intéressante, c'est le gros clin d’œil à "Massacre à la tronçonneuse" quand l'acteur Gunnar Hansen prend une tronçonneuse et dit "ça fait au moins 20 ans que je n'ai pas touché à ce truc là". Voilà, c'est tout ce qu'il y a à retenir de "Mosquito".

Un très mauvais film d'horreur avec des dialogues bâclés ('Il nous faut exterminer cette racaille" - trololo) et des bastons nanaresques. Consternant.

Mosquito est un véritable nanar, long est épuisant. Les situations s'enchaînent d'une mollesse affligeante. Ah par contre par moment, que c'est drôle, surtout la scène dans la tente tiens X) Les seuls bons acteurs... les moustiques. A voir pour soirée nanar entre potes.

L’intérêt que présente Mosquito par rapport au tout-venant des films animaliers horrifiques réside certainement dans son appartenance à une certaine tradition gore que défendait, entre autres, la maison de production Trauma : intrigue réduite au strict minimum, acteurs amateurs, goût pour l’image sale et la violence exagérée. Le long métrage fait de l’invasion de moustiques géants un châtiment céleste, extraterrestre en l’occurrence, qui dévoile la profonde bêtise de l’homme, ici américain : alcooliques, vulgaires, cradingues, les personnages mettent en évidence leurs grosses armes, se trimbalent avec une sacoche remplie de munitions, percutent des insectes de dimension démesurée sans s’interroger sur leur origine, sans en être surpris. Les moustiques conditionnent ainsi la mise en marche d’un personnel farcesque dont les membres sont tous plus stupides les uns que les autres ; ils se définissent par leur volatilité et leur rapidité, par opposition à la lourdeur des corps mal nourris et gras dont ils pompent le sang. Le survol rapide d’un terrain de camping a des airs de champ de bataille, sans qu’une bataille n’ait véritablement eu lieu : femmes et hommes gisent là, impotents, incapables de se défendre, incapables de prendre la fuite. Et la survie qui tend à s’organiser autour du petit groupe n’est, en réalité, que l’union grotesque d’un tas de clichés sur pattes dont le credo est aussi raffiné que leur culture : tout faire péter. Mosquito crée des monstres plus authentiques – les procédés techniques pour leur donner vie sont multiples, de la stop motion aux maquettes, en passant par les effets spéciaux numériques – que les Américains qu’ils déciment, propose un divertissement régressif mais qui ne doit pas, en dépit des limites imposés par sa démarche, être interprété comme un aveu de nullité intrinsèque : le gore est trop travaillé, les créatures sont trop sophistiquées, la bêtise est trop concertée pour conclure au navet.

Fabuleux , des effets spéciaux magnifiques un jeu d'acteur exceptionnel beaucoup de suspense et une fin très chaude