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Votre avis sur Orgueil et Préjugés et Zombies ?
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Ouais bon bah, d'un autre côté, le titre aurait du me mettre la puce à l'oreille .
Un très mauvais film, très mal interprété, et qui devrait vous faire quitter la diffusion au bout d'une demi à heure à tout casser.
Aucun rythme, aucun intérêt, aucun talent que ce soit au niveau de la réalisation ou du reste .
Passez votre chemin.
Un très mauvais film, très mal interprété, et qui devrait vous faire quitter la diffusion au bout d'une demi à heure à tout casser.
Aucun rythme, aucun intérêt, aucun talent que ce soit au niveau de la réalisation ou du reste .
Passez votre chemin.
3.5/5 Un bon film, mais il me manque un petit quelque chose, le scénario est pas mauvais mais pas assez pousser malgré un bon casting le film manque reelement de rythme.
« Orgueil et Préjugés et Zombies » est plus un film d’action qu’un film d’horreur. Même le côté romantique est plus fort, plus marquant que l’aspect épouvante. L’originalité réside essentiellement dans l’époque où se situent ces aventures, prenant des libertés avec les faits historiques. Les décors et les costumes sont magnifiques, nous permettant de nous plonger pleinement dans l’Angleterre du dix neuvième siècle. Les effets spéciaux sont bien réalisés. L’intrigue est prévisible. Les combats sentent beaucoup trop la chorégraphie et en perdent leur côté réalisme. Reste un film très divertissant, à voir sans hésiter…
Pas un grand film, mais très distrayant. Fidèle au roman, le film est une belle adaptation avec quelques changement dans l'histoire.
Voir des femmes en robes d'époque maniant avec aisance la dague et l'épée est assez jouissif. sur une fois qu'une femme "féminine" n'est pas qu'une hurleuse mais peu aussi donner quelques coups et provoquer des hématomes (et des têtes coupées...).
Bref, ne vous attendez pas à un chef-d'œuvre. Là) n'est pas le but. Il faut avant tout regarder ce film avec amusement et ne rien attendre de très intellectuel.
Voir des femmes en robes d'époque maniant avec aisance la dague et l'épée est assez jouissif. sur une fois qu'une femme "féminine" n'est pas qu'une hurleuse mais peu aussi donner quelques coups et provoquer des hématomes (et des têtes coupées...).
Bref, ne vous attendez pas à un chef-d'œuvre. Là) n'est pas le but. Il faut avant tout regarder ce film avec amusement et ne rien attendre de très intellectuel.
Orgueil et Préjugés et Zombies est une excellente surprise. C'est un film très agréable à regarder qui dispose d'un univers et de personnages très intéressants. De plus le film est indéniablement très drôle. Il dispose d'un très bon casting et tous les aspects du film sont soignés que cela soit la musique ou le maquillage des zombies. Un film qui mérite d'avoir sa chance même auprès des plus sceptiques.
Un film avec beaucoup d'humour, de l'action, du romantisme et de bon acteurs. On reconnait la trame d'O&P.
Pas fan de film zombie à la base (mais ce n'est pas vraiment le but du film), je vous recommande cette agréable surprise.
Pas fan de film zombie à la base (mais ce n'est pas vraiment le but du film), je vous recommande cette agréable surprise.
un curieux mélange des genres, plutôt esthétique et réussi à mon goût. Un cuisant échec commercial pourtant. Overdose de films sur les zombies, sans doute. On retrouve un savant mélange de Pride & Prejudice, et un medley des films de zombies classiques. Le résultat est assez étonnant, pas désagréable à regarder, tout en étant loin d'un chef d'oeuvre.
L’originalité de cette production est de mêler une œuvre de la littérature classique anglaise, « orgueil et préjugés » de Jane Austen avec le genre horreur. En effet, on retrouve l’histoire et les personnages d’orgueil et préjugés mais dans une société anglaise menacée d’une invasion de morts-vivants (des zombis gardant leur conscience, parfois il est même difficile de savoir si une personne récemment contaminée est un mort-vivant ou non, ils sont plus inspirés des zombis du « retour des morts-vivants » que ceux de Romero ou « the walking dead »).
Il ne s’agit pas d’une parodie en tant que telle. On retrouve toute la trame d’orgueil et préjugés filmée sérieusement dans des costumes et décors de qualité. L’intervention de zombis ne fait que donner un ton décalé appréciable. Il est d’ailleurs amusant de voir les cinq filles Bennet en chasseuses de zombis entrainées au combat (tout cela d’une manière sérieuse). En fait, le film est un grand détournement de l’œuvre de Jane Austen.
Pari osé mais pas franchement réussi. Le film manque de rythme. Les amateurs de films d’horreur ne trouveront pas leur compte tant les apparitions de zombis, qui peuvent amuser parfois, sont succinctes et peu effrayantes (il n’y a pas le climat angoissant propre aux films de zombis) et les amateurs de l’œuvre classique trouveront ridicules cette déviance de l’œuvre originale.
Il ne s’agit pas d’une parodie en tant que telle. On retrouve toute la trame d’orgueil et préjugés filmée sérieusement dans des costumes et décors de qualité. L’intervention de zombis ne fait que donner un ton décalé appréciable. Il est d’ailleurs amusant de voir les cinq filles Bennet en chasseuses de zombis entrainées au combat (tout cela d’une manière sérieuse). En fait, le film est un grand détournement de l’œuvre de Jane Austen.
Pari osé mais pas franchement réussi. Le film manque de rythme. Les amateurs de films d’horreur ne trouveront pas leur compte tant les apparitions de zombis, qui peuvent amuser parfois, sont succinctes et peu effrayantes (il n’y a pas le climat angoissant propre aux films de zombis) et les amateurs de l’œuvre classique trouveront ridicules cette déviance de l’œuvre originale.
Et ben franchement... je m'attendait a une daube inéluctable et pourtant ...
Agréablement surprise ! (Ceci n'est pas un film d'horreur du tout de mon point de vue).
L'oeuvre de Jane Austen est remise au goût zombie mais assez respectée. J'avais peur justement que ce roman soit tourné à la dérision mais pour le coup je n'ai pas été déçu. Avec une Elizabeth beaucoup plus jolie et mieux jouée que Keira Knightley (Pas sûre de bien orthographié son nom ;
Au final, un film sympa à regarder une après midi pluvieuse où l'on a qu'une envie : rester sous la couette.
Agréablement surprise ! (Ceci n'est pas un film d'horreur du tout de mon point de vue).
L'oeuvre de Jane Austen est remise au goût zombie mais assez respectée. J'avais peur justement que ce roman soit tourné à la dérision mais pour le coup je n'ai pas été déçu. Avec une Elizabeth beaucoup plus jolie et mieux jouée que Keira Knightley (Pas sûre de bien orthographié son nom ;
Au final, un film sympa à regarder une après midi pluvieuse où l'on a qu'une envie : rester sous la couette.
Forte originalité pour un scénario, sur la base, très surprenant mais insuffisamment exploité. Photographie réussie, interprétations sans lacunes, mise en scène soignée, immersion au rendez-vous mais il manque le quelque chose pour l’aboutissement d'un excellent film.
Certainement que la thématique zombies n'est pas réellement exploitée et un marquant manque de rythme n'aide pas ni le coté thriller.
Reste qu'il fallait oser et c'est agréable à voir ! 3.5/5 !!!
Certainement que la thématique zombies n'est pas réellement exploitée et un marquant manque de rythme n'aide pas ni le coté thriller.
Reste qu'il fallait oser et c'est agréable à voir ! 3.5/5 !!!
Comment gâché une merveilleuse histoire en 1h50 ! Ce film est un véritable navet. C'est censé être un film d'horreur mais ça ne fait pas du tout peur, on ne peut pas non plus le prendre au second degré car il n'y aucun humour. Sérieusement je vais essayer d'oublier qu'il existe car c'est d'une nullité...
Découvert dans un avion en voyage en Chine au mois de mai. Improbable, mais agréable à regarder. Evidemment à prendre au 52e degré. Et grand plaisir de retrouver quelques acteurs de la série GOT.
Redzing
Adapté à maintes reprises, le classique dramatique "Pride and Prejudice" de Jane Austen a ici le droit à une nouvelle version, injectée de zombies ! On y mélange ainsi les intrigues amoureuses des sœurs Bennet, issues d'une confortable famille de l'Angleterre victorienne, avec leurs capacités de guerrières, indispensables dans le pays ravagé par les hordes de morts-vivants. L'ensemble aurait pu donner un nanar foireux, or il n'en est rien. Si les costumes et effets visuels sont parfois un peu limites, la mise en scène tient la route, avec de bons décors, des scènes d'action correctes, et une photographie appréciable. Mais surtout, le scénario vaut son pesant de cacahuètes, parvenant à mixer les dialogues de Jane Austen avec des scènes de combats gores. Les deux sous-genres sont chacun traités de manière sérieuse en apparence, ce qui crée un décalage et permet de parodier allègrement les deux univers, sans pour autant les moquer. En conséquence, le film devient volontairement très drôle au troisième degré !
FaRem
Qu'on aime ou pas "Pride and Prejudice and Zombies", il faut reconnaître que Burr Steers a fait un film assez original qui comprend pas mal de bonnes idées. Il ne s'est pas contenté de transposer le problème des zombies dans une époque passée, il a créé une histoire autour ainsi qu'un vrai passif. Il a aussi touché aux zombies puisque ces derniers ne le deviennent qu'après avoir consommé de la cervelle d'humains. Avant cela, ils continuent de parler et d'agir normalement même si leur apparence se dégrade. En voyant le film vendu comme un mélange entre action, horreur et romance, je m'attendais à un vrai divertissement assez décalé puisque ce sont des gens de la haute société qui s'occupent des zombies, mais malheureusement, j'ai été assez déçu. Le film est extrêmement bavard, il n'y a quasiment pas d'action et même le final est très décevant. D'habitude, les réalisateurs utilisent un prétexte pour faire un film de zombies et bien là, c'est le contraire vu que les zombies ne sont que peu présents et sont là surtout pour la construction de l'histoire. Au final, c'est un film qui m'a ennuyé vu le manque d'action et de folie, c'est dommage, car il y avait tout pour faire un bon film.
Quatrième long-métrage de Burr Steers, réalisateur connu pour ses comédies et drames adolescents dont 17 ans encore avec Zac Efron, Orgueil et Préjugés et Zombies est à la fois une nouvelle adaptation du roman de Jane Austen et une comédie fantastique avec des morts-vivants. ♥½
Un concept loufoque pour un pari très risqué. Le film pouvant facilement basculer dans le grotesque si la rupture de ton n’est pas habilement maitrisée. Tout le film repose sur l’opposition singulière entre la haute société anglaise du 19ème siècle à la fois prude et raffinée et une invasion de morts-vivants à grande échelle. Une invasion qui s’est produite des années auparavant et à laquelle les protagonistes sont habitués et par ailleurs entrainés à combattre. Au milieu de ces combats se déroule l’intrigue du roman de Jane Austen, à savoir l’histoire d’Elizabeth Bennet, jeune femme tiraillée par son affection pour deux hommes rivaux qui la courtisent.
La dimension fantastique est bien souvent mise de côté et par ailleurs assez mal gérée. Le genre est en effet greffé maladroitement à l’histoire et semble mettre mal à l’aise son réalisateur visiblement peu habitué à filmer l’action. L’ajout hautement improbable de zombies à cette nouvelle adaptation du roman de Jane Austen est très probablement une démarche purement commerciale. Les morts-vivants ayant ces derniers temps le vent en poupe grâce à la série Walking Dead et à des succès au cinéma comme World War Z. Mais pour filmer les zombies, il faut comprendre un minimum le genre, connaître ses classiques et ne pas uniquement s’en servir comme simple de toile de fond.
En réalité, les seules qualités de long-métrage résident dans ce qui reste du roman de Jane Austen, à savoir l’histoire universelle et intemporelle du trio amoureux. L’alchimie fonctionne en effet plutôt bien entre les trois talentueux acteurs : Lily James, Jack Huston et Sam Riley. Mention spéciale à ce dernier, excellent acteur anglais révélé en 2007 par le sublime Control où il endossait le rôle de Ian Curtis, le chanteur de Joy Division.
Reste un film curieux, déséquilibré et au rythme trop lancinant. La faute à un concept trop improbable, une absence totale de point de vue et à une mise en scène trop plate pour insuffler un réel souffle à l’ensemble.
Un concept loufoque pour un pari très risqué. Le film pouvant facilement basculer dans le grotesque si la rupture de ton n’est pas habilement maitrisée. Tout le film repose sur l’opposition singulière entre la haute société anglaise du 19ème siècle à la fois prude et raffinée et une invasion de morts-vivants à grande échelle. Une invasion qui s’est produite des années auparavant et à laquelle les protagonistes sont habitués et par ailleurs entrainés à combattre. Au milieu de ces combats se déroule l’intrigue du roman de Jane Austen, à savoir l’histoire d’Elizabeth Bennet, jeune femme tiraillée par son affection pour deux hommes rivaux qui la courtisent.
La dimension fantastique est bien souvent mise de côté et par ailleurs assez mal gérée. Le genre est en effet greffé maladroitement à l’histoire et semble mettre mal à l’aise son réalisateur visiblement peu habitué à filmer l’action. L’ajout hautement improbable de zombies à cette nouvelle adaptation du roman de Jane Austen est très probablement une démarche purement commerciale. Les morts-vivants ayant ces derniers temps le vent en poupe grâce à la série Walking Dead et à des succès au cinéma comme World War Z. Mais pour filmer les zombies, il faut comprendre un minimum le genre, connaître ses classiques et ne pas uniquement s’en servir comme simple de toile de fond.
En réalité, les seules qualités de long-métrage résident dans ce qui reste du roman de Jane Austen, à savoir l’histoire universelle et intemporelle du trio amoureux. L’alchimie fonctionne en effet plutôt bien entre les trois talentueux acteurs : Lily James, Jack Huston et Sam Riley. Mention spéciale à ce dernier, excellent acteur anglais révélé en 2007 par le sublime Control où il endossait le rôle de Ian Curtis, le chanteur de Joy Division.
Reste un film curieux, déséquilibré et au rythme trop lancinant. La faute à un concept trop improbable, une absence totale de point de vue et à une mise en scène trop plate pour insuffler un réel souffle à l’ensemble.
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