Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
TéléCinéObs
par Bernard Achour
On a beau chercher, on ne voit pas en 2011, si ce n'est encore plus loin dans le temps, de film d'amour susceptible de rivaliser en originalité, en force, en courage et en pudeur avec cette pépite venue du Pérou.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Première
par Frédéric Foubert
Par touches impressionnistes, un pied dans le naturalisme et l'autre dans la poésie naïve, Javier Fuentes-Leon signe un joli petit drame sur l'identité sexuelle et la fierté gay. Mais (...) trop timide pour émouvoir vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Nicolas Maille
Une belle fable surnaturelle aux élans universels qui révèle un réalisateur prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Olivier Corriez
"Contracorriente" se révèle un joli petit film touchant, surtout dans son épilogue, sur une histoire d'amour contrariée.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un peu long et démonstratif, mais vigoureusement mis en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Positif
par Adrien Gombeaud
A la fin du film, on s'aperçoit que "Respiro", "Le secret de Brokeback Mountain" et "Ghost" ont bien un point commun. Ce sont trois petits films gentils et un peu nunuches. Exactement comme "Contracorriente".
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour interroger l'identité masculine latine et la libérer du machisme atavique, le cinéaste Javier Fuentes-León n'utilise pas les armes de la provocation, mais celles du mélodrame. (...) Le langage des larmes réunit tout le monde (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jean-François Rauger
Rien de bien original dans le film de Javier Fuentes-Leon qui, comme on le voit, suit un parcours déjà fortement balisé au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Titeux
(...) Un peu comme dans "Ghost" avec Patrick Swayze, le peintre meurt et revient en fantôme (...). En Europe, on faisait ce genre de films il y a une trentaine d'années.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
On a beau chercher, on ne voit pas en 2011, si ce n'est encore plus loin dans le temps, de film d'amour susceptible de rivaliser en originalité, en force, en courage et en pudeur avec cette pépite venue du Pérou.
Première
Par touches impressionnistes, un pied dans le naturalisme et l'autre dans la poésie naïve, Javier Fuentes-Leon signe un joli petit drame sur l'identité sexuelle et la fierté gay. Mais (...) trop timide pour émouvoir vraiment.
Critikat.com
Une belle fable surnaturelle aux élans universels qui révèle un réalisateur prometteur.
Excessif
"Contracorriente" se révèle un joli petit film touchant, surtout dans son épilogue, sur une histoire d'amour contrariée.
Le Figaroscope
Un peu long et démonstratif, mais vigoureusement mis en scène.
Positif
A la fin du film, on s'aperçoit que "Respiro", "Le secret de Brokeback Mountain" et "Ghost" ont bien un point commun. Ce sont trois petits films gentils et un peu nunuches. Exactement comme "Contracorriente".
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Pour interroger l'identité masculine latine et la libérer du machisme atavique, le cinéaste Javier Fuentes-León n'utilise pas les armes de la provocation, mais celles du mélodrame. (...) Le langage des larmes réunit tout le monde (...).
Le Monde
Rien de bien original dans le film de Javier Fuentes-Leon qui, comme on le voit, suit un parcours déjà fortement balisé au cinéma.
Les Inrockuptibles
(...) Un peu comme dans "Ghost" avec Patrick Swayze, le peintre meurt et revient en fantôme (...). En Europe, on faisait ce genre de films il y a une trentaine d'années.