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    The Master
    Note moyenne
    3,0
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    509 critiques spectateurs

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    traversay1
    traversay1

    3 560 abonnés 4 859 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    PTA a une ambition, celle d'être l'Orson Welles de son époque. Les trente premières minutes de The Master témoignent de cette volonté de briller de mille feux avec une mise en scène époustouflante et un montage elliptique qui frise le génie. Force est de s'incliner devant le talent du maître. Mais à partir de la rencontre dé l"ancien soldat sans repères de du gourou charlatan, Paul Thomas Anderson, tout en gardant sa virtuosité, se montre largement moins convaincant. Le film est riche mais il peine à développer un vrai sujet. Certes, les rapports troublants entre Hoffman et Phoenix (deux prestations de haut vol) constituent le coeur de The Master mais le rythme est inégal et les scènes se succèdent sans former une trame narrative suffisamment forte. Au point de se demander où PTA veut réellement en venir. Pas dans une dénonciation de l'embrigadement des cerveaux comme dans le magnifique Elmer Gantry de Richard Brooks, en tous cas. Le personnage du disciple est dans un sens plus intéressant que celui de chef de secte mais sa psychologie erratique nous laisse loin de toute empathie, voire de compréhension. Les personnages secondaires, féminins, en particulier, ont du relief, mais là encore une certaine frustration nait d'un développement insatisfaisant. A mi-chemin entre le réalisme et une certaine forme d'onirisme, Anderson signe ce que la critique appelait dans les années 60 un grand film malade. C'est à dire imparfait mais globalement impressionnant. Orson Welles, aussi, a raté quelques films qui en disent presque aussi longs que ses chefs d'oeuvre.
    William Broc
    William Broc

    22 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    De bons acteurs ne suffisent pas pour créer un intérêt. Les longueurs du film plongent le spectateur au mieux dans l'ennuie si ce n'est en sommeil ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 janvier 2013
    Nous baladant sur le fil périlleux du risque de connaître l'ennui, The Master ne possède pas un scénario aussi abouti et cohérent que les films précédents de PTA l'américain. Il s’appuie d'ailleurs pour une large part sur le jeu ébouriffant des acteurs, dont un Joaquin Phoenix qui fait l'effort (profond, où va-t-il pêcher tout ça?) d'aller chercher l'état de grâce dans quelques scènes. On dit souvent, chez les critiques consensuels du french cinoche, d'un film chiant, qu'il est exigeant... Pléonasme. Or ici, c'est le cas. Le film comme un chat retombe sur ses pattes après ses vrilles dans le vide. Le montage cimenté par les performances des comédiens nous conte une belle histoire de Folie, version F majuscule. Une belle bande de siphonnés du bocal s'agite sous nos yeux pendant + de 2H, en effet il s'agit d'une secte, dont le manipulateur number one est Hoffman, intense, creux, plein de manques, de doutes, souvent aussi dépourvus d'émotions que Phoenix, car en quête de sens à l'intérieur, fatigués, et marionnettes remuant leurs corps à l'extérieur pour ne pas crever de faim et d'inanité, version grassouillette pour l'un ou sec et noueux pour l'autre. Et le film colle tellement à ces glaciations internes, sans queues ni têtes, qu'il nous met au bord de la faille du désintérêt, mais on suit l'avancée de leur rencontre, faite d'une collection d' expériences initiatrices avortées, pourtant proches d'une vraie thérapie, mais qui, malheureusement, à trop fouiller dans les douleurs du passé vont sans doute boucher définitivement toute possibilité de thérapie ou d'expérience réellement cathartique pour Freddy Quell, alias J. Phoenix. Ce-dernier confiera une enfance dans une cellule familiale dysfonctionnelle comme on dit, puis il partira faire la guerre, armé et alourdi par tous ses manques affectifs, massacrer du japonais, et au bord du chaos qu'est cette vie, sa vie, il s'accroche à un vague souhait de retour à la vie normale, une tendresse de vie à deux, d'une femme rêvée, viscérale plus qu'idéale, passionnément comme une prière urgente. La réalité le fracasse contre ses propres turpitudes, dont la principale est l'alcoolisme. Sa folie rencontre celle du Master, lumière de points communs, et les deux se repoussent comme des aimants de même valeur, puis c'est le noir, l'acceptation de son état dépressif croit-il, à force de s'y être habitué, grâce au contact de celle du Master. Et même en se socialisant plus que pendant sa période d'errance semi clocharde, c'est fini, ce sera pour manipuler, traquer et fouiller les désespoirs des autres pour en faire son beurre, il ne rencontrera jamais la femme de ses rêves, manque d'amour maternel ou besoin des douceurs d'une âme soeur, peu importe, ce fut paradoxalement le chant du cygne de sa part saine, le temps qu'elle meurt, temps long suscitant l'ennui de certains spectateurs, mais dont la belle exigence à fleur de pellicule réussir le petit miracle de faire un film marquant qui ne fait pas que passer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 mars 2013
    The Master est un film qui marque profondément. S’il ne s’aborde pas facilement, il est d’une très belle beauté plastique. Certains passages sont un peu longs, mais, dans l’ensemble, c’est quand même du très bon cinéma. La distribution est simplement immense.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 janvier 2013
    J'avais vu aucune image ou BA de ce film, j'y suis allé pour PTA (dont j'avais apprécié Boogie Night et Magnolia) j'aurais mieux fait de me renseigner avant. La prestation de J. Phoenix est impressionante mais stérile vu le niveau du film. C'est long, lent et pas très intéressant. Décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 janvier 2013
    La réalisation de Paul Thomas Anderson est une nouvelle fois superbe, la prestation de Joaquin Phoenix somptueuse et celle de Philip Seymour Hoffman remarquable. Il manque juste ce petit soupçon d'émotion qui fait qu'un tel film prenne pou pas. Et là, il ne prend pas vraiment. D'autant que c'est long et lent.
    missfanfan
    missfanfan

    87 abonnés 849 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2013
    sur un sujet déconcertant déroutant et dérangeant le réalisateur a réussi à nous emmener la où il le souhaiter les comédiens sont tous exellents et la qualités des images est magnifié par la manière dont est tourné le film , bon après c'est selon chacun
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 mars 2013
    Long, très long, trop long. Chiant, très chiant, trop chiant. Pffffff...
    John M.
    John M.

    3 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2013
    Il manque quelque chose à The master pour être un très grand film. Quelque chose dans le scénario, quelque chose à propos de l'histoire racontée ici, quelque chose d'intensif... Ce petit quelque chose aurait pu faire que ce film magnifiquement réalisé, superbement interprété, devienne un grand film de cinéma. Il me reste cependant, trois jours après avoir vu le film, le souvenir de Joaquin Phoenix époustouflant. Il ne me restera surement beaucoup moins de l'histoire d'ici peu.
    Armel M
    Armel M

    151 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 janvier 2013
    Bizarre, étrange, long, méga long, ennuyeux, sans intérêt sauf le retour de Joaquim Phoenix toujours aussi impressionnant.
    Pleymo210
    Pleymo210

    49 abonnés 499 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2013
    The Master est LE film que j'attendais en ce début d'année, en grande partie le retour de Joaquin Phoenix depuis son docu fiction I'm still here. Sur ce point là j'ai été ravi, bien que son personnage est d'une complexité extrême à tel point qu'il en est repoussant (amaigri, alcoolique, vulgaire, impulsif, sexuellement déviant) on pense même qu'il est atteint de folie . Mais quelle interprétation derrière ce personnage , Joaquin Phoenix est selon moi l'un des acteur voir l'acteur le plus talentueux vivant à ce jour. Que dire également de la prestation de Phillip Seymour Hoffman en gourou charismatique, sans en faire des tonnes je dirais juste qu'il est excellent et les seconds rôles sont tous aussi bons. Les deux acteurs principaux méritent donc amplement leurs nominations aux Oscars. Ma déception vient probablement de Paul Thomas Anderson le réalisateur du film, le film est très bien réalisé mais il y a un manque considérable de rythme dans le film, des scènes interminables dont certaines inutiles spoiler: la scène où Freddie fait des allers retours entre le mur du salon et la fenêtre pendant des heures voir des jours jusqu'à être en trans, cette scène dure facilement 20 minutes et honnêtement on s'ennui ferme à cet instant
    . Nous voyons des personnages rentrés en trans en plein séance d'hypnose avec le gourou mais c'est l'effet inverse que nous ressentons nous spectateurs. The Master nous laisse dans la neutralité la plus totale. Ma note attribué à ce film n'est qu'une moyenne de ce que j'ai aimé et ce que j'ai détesté. A la fin du film je me suis demandé : Suis-je en face d'un chef d'oeuvre où l'un des plus gros bides qu'il m'a été donné de voir? The Master n'est pas un nanar mais je m'interroge encore sur cette réalisation molle et sans saveur, ce scénario qui ne prend jamais, à contrario des acteurs terriblement bien dirigés et de talents, une ambiance 50's réussie et tout de même de scènes qui valent le détour. The Master est un peu sans saveur mais l'on découvre tout de même avec curiosité la création de cette secte qui n'est pas sans rappelé la Scientologie et son fondateur Ron Hubbard, le fanatisme de plus en plus important des membres, la façon de recruter des personnes un peu perdu psychologiquement à l'instar de Freddie (Joaquin Phoenix) . The Master n'est pas un collier de diamant, c'est un diamant brut de décoffrage , c'est beau , ça donne envie mais sous cette forme ça ne sert à rien.
    B-Lyndon
    B-Lyndon

    78 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mai 2013
    Animal. Comme un chien aux abois, il lève sa tête à demi-caché. Il a les yeux bleus-vert d'un lynx qui cherche sa proie. Son visage, sous un casque de guerre, est divisé en deux. On ne voit que le haut. Sa bouche disparaît sous une ligne floutée. Une plage. Les vagues qui viennent. Des hommes qui dessinent, au moyen du sable, une femme à la poitrine rêvée. Il se jette dessus. Animal. Animal adolescent qui (re)découvre le sexe, qui mime des vas-et-viens sur cette femme de sable, pour faire marrer ses copains, vite dérangés par la sincérité finale de son action. Le cinéaste le filme d'abord en plans fixes, dans le silence de la mer, aligne ces plans, les colle bout à bout et les fait défiler, concisément. Le dos maigre et fatigué, se masturbant face à l'eau. Comme un gros poisson échoué qui semble se débattre, animal. C'est une pause au sein de la guerre, que filme Anderson là, une pause ou peuvent rejaillir toutes les pulsions animales des êtres, pas complétement extériorisées lors des invisibles instants de combat qu'il ne filmera jamais. The Master n'est pas un film de guerre, ce n'est pas un scoop, mais un film sur ses conséquences, l'Amérique souffrante qu'elle engrangera, qu'il filme sans jamais en citer explicitement les causes. L'homme animal, l'Amérique (beau parallèle), c'est Freddie Quell. Allongé dans les filets d'un bateau, une partie de ses lèvres retroussées : visage divisé, verticalement, une partie qui tient encore, une autre qui se perd. Car tout dans ce film, semble scindé, scié, éparpillé, en mille morceaux. Comme les bribes d'un passé lointain où l'on se rêvait plus grand que l'on est aujourd'hui. Dans chaque plan peut se remarque un axe, horizontal ou vertical, qui semble marquer un trait, une frontière, entre les personnages et leurs idées. Des personnages qui vont pourtant, un jour, se trouver, attirance mutuelle, dans leur constant désespoir. Comme ce gourou charismatique, Lancaster Dodd, maître de tout le monde semblant dépendre de personne, dont l'on apprendra bien vite la soumission à sa propre femme, qui dans une scène troublante, lui demandera en le masturbant "de jouir pour elle" pour lui faire comprendre ce qu'elle veut. Soumission animale qui nous est longtemps resté masqué, d'un manipulateur devenu pantin. Ce même homme, essayiste de renom, rêvant dans ses paroles d'un homme débarrassé de son animosité. C'est alors que, sans manichéisme, Anderson pose la question : est-il un arnaqueur hypocrite gagnant sa vie sur le dos des naïfs gens (disons-le, l'hypothèse que nous préférons, nous spectateurs) ou un homme tentant de combattre ses propres démons, un maître pris dans son piège, accrochés à des fils qu'il ne peut diriger ? Le cinéaste se montre beaucoup plus intéressé par la deuxième hypothèse (sans donner tort à la première, au contraire), le soulignant en faisant entendre le cri de celui qui aura jouit pour sa femme, un cri résigné et désolé, d'un désespoir grotesque et déchirant. L'un des grands sujet de The Master est donc la domination permanente des êtres, le fait de dépendre forcément d'un maître dans sa vie, de sa vie. La profonde douleur des hommes semble être dans ce film une cause essentiel de cette domination recherchée (Quell ira même jusqu'à demander à Dodd de lui laver à nouveau le cerveau !), le fait de vouloir retrouver ce qui est perdu et ne reviendra jamais, tout en reconnaissant la fumisterie de la méthode utilisée. Le long-métrage improvise alors, dans des flashbacks troubles et étranges, une histoire d'amour malheureuse et très belle que le temps a brisé. Elle donne alors au film une profondeur insensée, et lui accorde définitivement son véritable propos : The Master est, ni plus ni moins, qu'un voyage. Un voyage au pays des regrets, des vies brisés. Une chose universelle que le cinéaste raconte, sincèrement, sèchement, sans qu'il ne soit non plus dénué d'empathie. Alors, le film, à sa fin, semble une nouvelle fois recommencer, lorsque Freddie, fuyant son maître dans un désert, disparaissant dans un mirage floutée, ira retrouver la jeune femme qu'il eut aimé. La scène est alors magnifique : la vie l'a prise, elle s'est envolée, s'est mariée, et ce n'est pas grave. On voit alors la déception dans le visage de Phoenix, on sent une colère qui se refoule, alors qu'il pourrait la laisser éclater. Anderson aurait pu se passer de la scène de retrouvailles avec "son maître" dans son royaume à la Citizen Kane, une scène donc clé, mais pas tout à fait réussi, un peu ridicule, noyée dans un magnifique final. Freddie Quell qui fuit, tel un loup affamé de liberté, seul être sur terre, sans dieu, ni maître, maître de personne, maître de son destin. Et il se finira dans le nouveau mystère d'une douce chanson. Ce film fragile et souffrant qui rêve de grandeur restera donc encore longtemps obscur mais il faut parfois accepter l'obscurité pour en sonder toutes les beautés. On parle souvent de Paul Thomas Anderson, en bien ou en mal, et il semble curieux que pour ce film là un unique et même terme soit employé à la fois par ses laudateurs et ses détracteurs : celui de la "maîtrise". Curieux phénomène que celui de dénigrer ou d'aduler cette fameuse "maîtrise", souvent recherchée par l'artiste et par son public. The Master serait donc un film génial puisque maîtrisé pour les uns, pour les autres un mauvais film puisque donc trop maîtrisé. J'aurais envie de dire aux uns et aux autres, même si je partage l'opinion de certains quant à la qualité du film, qu'un film "maîtrisé" n'est pas forcément un film réussi, et surtout que The Master ne l'est absolument pas, plutôt, dans une moindre mesure, rêvant de perfection et sachant cela impossible, abandonnant vite cette piste pour se concentrer uniquement sur les failles de ses personnages sexués et malades, désespérés, tourmentés, magnifiques. Ainsi, The Master va, fuit - tout dedans relève de la fuite : fuite des personnages, fuite des rêves, fuite du passé, fuite impossible de l'animosité de l'être, fuite à la fois physique et psychique des personnages - ; glisse, vole et tombe en se cassant les ailes, poème rugueux et sec, vers le monde trouble et bleuté des vies et des rêves brisés, nourries par les douleurs que le passé a dessiné dans notre dos malade. Imparfait et fragile sous ses airs de grandeur lisse, c'est finalement assez immense, et ça va, je pense, longuement continuer à me hanter, comme ces fantômes insoutenables que les regrets font et qui nous tourmentent, le regard de fer, pour la vie entière, jusqu'à la mort.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 janvier 2013
    On verra The Master comme un grand moment de Cinéma, non exempt de défauts, sa longueur et sa lenteur principalement, le film se vaut surtout pour ses acteurs (Joaquin Phoenix et Philip Seymour Hoffman) et les relations se tissant entre les personnages. Paul Thomas Anderson sait faire des films avec un grand F, les plans sont choisis, la mise en scène est léchée, la musique épouse les séquences, il serait dommage de s'en priver ou de bouder son plaisir face à la durée du film ... Un très bon moment de cinéma en somme :)
    Cinephille
    Cinephille

    155 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 janvier 2013
    J'ai loupé les cinq premières minutes du film et m'en félicite tant les 132 autres m'ont semblé interminables. Ce n'est pas un film quelconque, c'est un mauvais film. Dire qu'on attendait ça comme LE grand film 2013 ! Déjà on ne sait pas où Paul Thomas Anderson veut en venir, avec cette histoire très ambigüe de dominant/dominé. Il nous avait déjà fait le coup du gourou de Prisunic dans Magnolia mais alors c'était drôle, ça avait du punch. Ici il nous ressort un gourou inspiré de Ron Hubard, et expérimentant sur un chien perdu sans collier. La mise en scène est aussi mauvaise que le propos insipide : on assiste sans arrêt à des champs/contre-champs entre Philip Seymour Hoffman et Joaquim Phoenix, deux acteurs enclins au cabotinage, qui là tombent dedans à pieds joints. Evidemment dans toute relation maitre/esclave la dialectique se renverse, ce couple là n'échappe pas à la règle : la belle affaire ! Que dire d'autre ? rien. Ce film n'a vraiment pas d'intérêt ni sur le fond ni sur la forme. Il est boursouflé de sa fausse importance.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 janvier 2013
    Je n'ai absolument rien compris à ce film ! Les scènes du début s'enchaînent d'une manière tellement improbables que j'ai cru qu'on était revenu à l'utilisation des bobines et que certaines avaient été inversées !! Puis le héros rencontre le maître et à partir de là c'est du grand n'importe quoi... Mais quels sont les enjeux de ce film ?! Et la fin est à l'avenant... Je ne comprends pas qu'on finance de tels scénari ! Bref, un film à éviter !
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