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    The Master
    Note moyenne
    3,0
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    509 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 janvier 2013
    joaquim phoenix mériteun oscar, un jeu d'acteur excellent, l'un des acteurs les plus doués de sa génération.
    Le film est long mais la réalisation est bonne, surprenante et osée.
    J'ai aimé
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 janvier 2013
    Un super numéro d'acteurs ? Incontestablement. Philip Seymour Hoffman et sans doute encore davantage Joaquin Phoenix sont extraordinaires du début à la fin. Mais à part cela, rien, absolument rien. Un non-film long, rasoir, sans histoire, avec une intrigue inconsistante. Donc, sauf si vous avez des insomnies ou êtes des inconditionnels de Phoenix et Hoffman, fuyez !!!
    tixou0
    tixou0

    696 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 janvier 2013
    "There will be Blood" était globalement un très bon film racontant une histoire et porté par l'excellent Daniel Day Lewis."The Master" revient pour moi aux pires afféteries de "Magnolia", que j'avais détesté, et où je me souviens avoir souvent somnolé. Ce vrai/faux biopic de Ron Hubbard est d'une prétention stylistique de l'ordre de l'imbuvable (séquence d'introduction donnant déjà le ton - le pire est à craindre, et arrive) et d'une vacuité abyssale. Les interminables séances d'application de la fumeuse "méthode" de la quasi secte m'ont permis de somnoler, comme pour "Magnolia" (2 h 17, que c'est long). Joaquin Phoenix réussit d'emblée une composition saisissante de Freddie, l'âme damnée et souffre-douleurs, entre le demeuré et l'allumé, violent, cabossé sans remèdes par la guerre, alcoolique original (il va jusqu'à s'envoyer le liquide de révélation - un temps photographe), mais n'évolue pas d'un iota. Seymour-Hoffman tient mieux la distance en "Master" tireur de ficelles. Mais même pour la distribution, je ne mets que la note minimum, tellement je me suis barbée (et pourtant je suis bon public).
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 janvier 2013
    A voir en cas d'insomnies chroniques..............................
    TheDarkKnight74
    TheDarkKnight74

    30 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 janvier 2013
    Le premier chef d’œuvre de l'année 2013 est une œuvre accouchée dans la souffrance, dont la sortie en France fut longuement retardée. Devant un tel résultat, cela valait le coup de prendre tout son mal en patience. L'expression cinématographique trouve est ici à son comble. Lors de la séance de The Master, des émotions diffuses s'entremêlent, des idées confuses nous gagnent, une étrange sensation indescriptible à mi chemin entre le malaise, le lacrymal, le rire et la fascination s'en dégage. Je ne sais trop comment exprimer ce que j'ai ressenti en voyant The Master. A ma sortie de la salle, il me semblait presque que les lieux alentours avaient changés, ma démarche n'était plus la même, ma façon de saisir ce qui m'entourait non plus. Ces signes là caractérisent les grands films, les chef d’œuvres insaisissable, qui nous marquent personnellement, que les mots ne savent qu'effleurer, qu'on ne peut réussir à expliquer, tant les sentiments se mêlent au cérébral, tant est profonde la dernière œuvre de Paul Thomas Anderson. Cela vient en premier lieu de la retranscription écrasante de vérité de personnages, animé par des comédiens au diapason qui livrent des performances monstrueuses, Joaquim Phoenix pourtant phénoménal dans We own the night se surpasse, et Philip Seymour Hoffman dont je ne connais pas bien la carrière est épatant. Ils crèvent l'écran, et un être humain est un cube qui possède un nombre infini de facettes, donc quoi de plus pesant comme argument sur l'absence de limites analytiques que possède ce film. En second lieu vient une histoire qui en elle même pose comme une figure amorphe et en plus de cela, changeante. On peut l'interpréter comme une redondance cyclique, comme puzzle qui fait sans cesse apparaître de nouvelles pièces, comme une ligne droite sans début ni fin...et faire changer d'idées sur la nature de la structure de cet enchaînement de scènes et de dialogues à chaque vision. La première vision de The Master ne permet que d'en titiller la substance, d'être dépassé par les notions véhiculées, et de s'emplir les poumons d'air cinématographique, car la mise en scène est magnifique. La photographie lumineuse est à tomber, et certains plans de paysages immenses (du bleu insondable de la mer aux vastes déserts de terre craquelée) donnent une ampleur physique à l'âme inextricable de The Master. Et la musique achève de transposer en fresque émotionnelle cette fresque psychologique. Je ne peux pas en dire plus sans écrire une banale description du scénario qui signifierait ma totale incompréhension de ce film, car pour l'instant je n'en suis qu'au tâtonnement. Il est temps de retourner en salle.
    Lechamoniard
    Lechamoniard

    2 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2013
    Un film très bizarre. Critique de la religion ou au contraire apologie ? Devant ce film, j’ai eu assez souvent l’impression que le scénariste est Témoin de Jéhovah et qu’il cherche de nouveaux membres. Bon, sinon le scénario a un bon fil conducteur. Mais le gros problème, c’est que le film est beaucoup trop lent, et du coup les 2h20 paraissent interminables et au bout d’une demi-heure, on regarde sa montre toutes les cinq minutes. Les acteurs, par contre, sont excellents, Joaquin Phoenix en tête. L’acteur est génial. Philip Seymour Hoffman prouve qu’il est capable de jouer tous les rôles. Après l’animateur déjanté dans Good Morning England et l’amoureux simplet dans rendez-vous l’été prochain, le voici en gourou manipulateur, et il est très convaincant. Amy Adams est très convaincante.
    poonkie
    poonkie

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 janvier 2013
    Heu chef-d œuvre ? Vous avez dit chef d œuvre ? Sommes nous certains d avoir vu la même chose ? Un film lent , ennuyeux , s étirant en longueur dont aucune histoire ne se détache et bourré de répétition : même Sofia compila a fait mieux avec Somewhere pour filmer l ennui à mourir . Je me suis micro endormi 10 fois . Un film monstrueusement lourd, dont on ne sait même pas de quoi souffre J.p ( alcoolisme ? Certainement pas ! Pb de sexualité ? Oui une conséquence de sa maladie pas une cause ? Un stress post traumatique ( vétéran de guerre ) certainement mais allié a d autres choses qu on aurait voulu plus clairs . Quant aux scène de cul purement et vulgairement : elles ne servent à rien dans le film si ce n est messieurs à vous voir encore et toujours comme des bêtes sans tête mais avec juste une ( petite ) queue !!!! Bref , une daube que je vous invite à éviter ....
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    The master est un film étrange et envoûtant sur la manipulation mentale, la construction d'une science mystique et la domination psychique. Trop long, le film brille par l'interprétation des acteurs et la photographie. Il demeure quelque chose de vaguement ennuyeux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    (...) Pas forcément puisque malgré sa vésanie, nous pouvons voir que Freddie est également une source de dépendance pour Lancaster. Nous ne sommes pas sûrs de toujours bien tout comprendre mais une chose est sûr : The Master est une relation sadomasochiste entre un pauvre fou et un manipulateur. Comme si depuis leur rencontre ils se font autant de mal que de bien. La scène dans la prison où chacun essaye de dire du mal de l’autre fait déjà partie des grandes scènes de Paul Thomas Anderson. Et puis surtout, la scène de la moto dans le désert est splendide, puisque rarement le cinéma aura aussi bien retranscrit la sensation de liberté.

    The Master n’est pas un chef d’oeuvre mais certainement un grand film qui fait débuter 2013 sur les chapeaux de roue. Inquiétant, troublant, le film possède un charme fou et une beauté qui appliquera au spectateur le pouvoir d’attraction que possède chaque personnage sur l’autre.

    Reste de la critique sur http://unionstreet.fr/the-master-a-physical-attraction/
    danna2509
    danna2509

    24 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 janvier 2013
    Un film superbe et merveilleusement interprété. La première chose qui m'est venu à l'esprit c'est que P.T. Anderson a le don de faire cabotiner ses acteurs tout en faisant de ce cabotinage, qui chez d'autres serait insupportable, presque un élément de l'esthétique qui se dessine dans son oeuvre film après film. C'est très étrange, ça m'avait déjà frappé avec There Will be Blood et on dirait qu'il continue dans cette veine. Au delà de ça c'est un film extrêmement intéressant et je pense qu'il est encore plus passionnant quand on connait la biographie de Ron Hubbard, créateur de la Scientologie dont le film s'inspire allègrement jusque dans le physique de Seymour Hoffman. Mais cela rend aussi ce film ambigu dans son propos. Dans tous les cas, j'ai beaucoup aimé cette rencontre entre ses deux acteurs, et que dire d'Amy Adams qui tire parfaitement son épingle du jeu au milieu de ses deux fous!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 février 2014
    L'histoire ne s'emballe jamais, on ne comprends pas le but du film, les scènes s'enchaînent sans qu'il y est vraiment de sens entre elles, les dialogues sont lassant, bref on s'ennuie ferme, ce qui est vraiment dommage car le reste est parfait, mais quand le principal n'y est pas ..
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    The Master, le dernier film de Paul Thomas Anderson, le jeune prodige du cinéma-auteur américain, m’a laissé le sentiment d’un profond ennui, et pourtant je suis une grande admiratrice de son talent. Je n’ai même pas réussi le voir jusqu’au but, étant partie au bout de deux heures, en quittant une salle quasiment vide, un jeudi soir au Gaumont Parnasse. Mais ce film m’a tout de même apporté des choses : j’ai pu, sans être dérangée par le récit, étudier le découpage, imaginer les emplacements des caméras, les mouvements de travelling, décortiquer le mixage etc…J’avais tout mon temps pour, car ce qui se passait à l’écran, ne m’a embarqué, ni touché, ni accroché. Je suis restée à la porte de l’histoire qu’il a voulu nous raconter Paul Thomas Anderson, si il en avait une bien sûr, et je pense que je n’étais pas la seule, car je pense que Paul Thomas Anderson, lui aussi est passé à côté de son film, malgré l’adulation quasi unanime de la part de tous les critiques de la planète.
    Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai pensé au film inachevée de George Henri Clouzot « L’enfer ». Au somment de son art, doté d’un caractère bien trempé et étant un perfectionniste peu commode, Clouzot obtient tous les moyens qu’il désire pour faire son film, mais il s’imbrique tellement avec lui-même que finit par saboter son propre film. Je me permets de faire un parallèle avec The Master. C’est comme si on s’est préparé dès le départ à produire un chef-œuvre : les procédés techniques laborieux (tournage en 70mm, pour une film presque intimiste ? Ce n’est pas « Laurence d’Arabie »), un casting recherché, un sujet qui aurait pu être pertinent, le décor, les costumes etc…Mais, hélas, la mayonnaise ne prend pas. On s’en merde dès les premières minutes, car tout est sous-dit, sous-entendu, sous-écrit. On glisse à la surface sans jamais comprendre ce qu’on nous raconte finalement. Le rapport du maitre-esclave ? La genèse de croyances occultes ? USA dans les années 50 ? La psychologie d’un gourou ? Comme si le réalisateur nous prenait un peu du haut en disant : « je ne fais pas de gros films, bien lourds où tout est raconté, tout est montré, tout est expliqué, je vous emmène dans le labyrinthe de mes suggestions et débrouillez vous. Bah, on s’est bien fait chier dans vos labyrinthes cher Paul Thomas, ne nous faites plus cela, s’il vous plait.
    Le chef-œuvre ça ne s’est commande pas, comme l’amour…
    Deux étoiles toute de même pour la photo et les comédiens
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 janvier 2013
    Alcoolique invétéré, obsédé sexuel, vétéran du Pacifique et bagarreur Freddie QUELL (Joachim PHOENIX) a toutes les tares requises pour tomber aisément sous la coupe du « Maître » (Philip Seymour HOFFMAN), bonimenteur au rabais qui s’essai à la psychanalyse de comptoirs, s’aidant au passage d’un lavage de cerveau rhétorique des plus rude et efficace (sur les simples d’esprit bien sûr !).
    Quand on voit le reste de la troupe, fidèles endimanchés de la haute, rassemblés au nom de la Cause (scientologie avançant masquée), on comprend vite qu’il suffit soit d’être un original, soit un peu paumé, voir carrément crédule pour avaler autant d’inepties avec si peu de recul. C’est ce qu’apprendra à ses dépends le pauvre Mr More qui après avoir osé contredire en public l’orateur du « groupe », recevra la correction qu’il mérite, non directement de celui-ci (tache bien trop avilissante) mais de la part d’un Quell toujours prompt au combat, véritable boule de nerfs, exécuteur inconscient des basses œuvres d’un mouvement déjà en ordre de marche.
    Étonnamment, ce Lancaster DODD (pantin manipulé par sa femme, véritable éminence grise du culte), clown spirituel de pacotille n’est pas sans rappeler un certain professeur Marvel, bouffon navrant se faisant passer pour le fantastique magicien d’Oz aux yeux d’une Dorothy/Quell, définition parfaite d’une jeunesse ingénue et crédule. Je vous fait grâce des liens annexes comme le fait qu’ils soit tout les deux orphelins et été élevé par une tante peu regardante…
    Cinéaste de l’incompréhension parents/enfants, de la cellule familiale de substitution, des êtres seuls et aliénés, Paul Thomas ANDERSON aidé d’une science maîtrisée de l’ellipse et d’un filmage toujours précis et élégant, insère depuis ses deux derniers films ces problématiques dans des thèmes sociologique emblématique du XXème siècle, le Capitalisme pour There Will Be Blood (son chef d’œuvre), la Secte pour The Master, comme une sorte d’Hanna ARENDT de la pellicule, il devient d’une certaine manière le metteur en scène appliqué des origines du mal…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    Joaquin Phoenix est juste énorme dans ce rôle d'alcoolique,un vrai chef-d'œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 janvier 2013
    De bons acteurs, de belles images, un bel ennui, une belle sieste, un peu de bave sur le siège, et une impression de perte de temps !!
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