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    The Master
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    509 critiques spectateurs

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    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    129 abonnés 2 229 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 avril 2014
    JUSTE CAUSE. La scientologie vu par P.T Anderson. Une image magnifique, une musique envoutante et l'incarnation fantastique de Joaquim Phoenix. Dommage que le fil directeur reste flou.
    ygor parizel
    ygor parizel

    239 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2013
    Il n'y a rien à faire P.T. Anderson est un grand. C'est vrai que ce film est peut-être moins aboutit que des précédentes réalisations mais ce n'est pas un concours. La mise en scène est fabuleuse, la photographie pareille et la musique de Jonny Greenwood n'en parlons pas. Les interprètes font tous des excellentes compositions, en particulier J. Phoenix (que certains accuse d'en faire des tonnes). Bref, du tout grand cinéma.
    Cohle.
    Cohle.

    52 abonnés 1 012 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mars 2014
    Grand fan de Paul Thomas Anderson, je voulais voir "The Master" depuis longtemps, mais son pitch me laissant un peu craintif, j'ai laissé passer du temps avant d'y jeter mon dévolu. "Plus c'est long, plus c'est bon" dit l'adage populaire, et bien c'est tout l'inverse avec cette dernière réalisation d'Anderson, affreusement longue et abrupte, qui m'a laissé quasiment de marbre. Quasiment ? Oui, parce que si je dois retenir une seule chose de ce film, c'est l'interprétation absolument grandiose d'un acteur dont on connait déjà le talent indéniable, j'ai nommé : Joaquin Phoenix. Livrant ici un rôle de composition proche ce la perfection. Ce protagoniste, marginal, alcoolique et complètement instable psychologiquement, va se faire enrôlé dans une secte, dans laquelle le gourou - Phillip Seymour Hoffman, ce grand Monsieur, adoré d'Anderson et de moi même - va tenter de le soigner. Rapidement, une relation ambiguë s'installe entre les deux hommes, sorte d'amour haine entre l'homme, leader charismatique et le marginal, cobaye. La mise en scène et la photographie sont très soignés, comme d'habitude avec Paul Thomas Anderson, mais ça ne parvient pas du tout à combler pour moi les immenses longueurs, sur un sujet qui n'est pas véritablement passionnant, ni attractif - Scientologie, quand tu nous tiens, même s'il a nié un quelconque rapprochement, le fait est là. J'apprécie pourtant souvent son style, tout en longueur, pour une ambiance souvent très subjuguante mais là, c'est plus que nécessaire. Un manque de rythme évident, des trous, et un scénario dans lequel je ne me suis pas vraiment fait happer, font que "The Master" est pour ma part, le moins bon film du réalisateur, à voir, mais pas deux fois.
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 janvier 2013
    Affreux et prétentieux : voilà les mots qui me venaient constamment à l'esprit durant la (trop) longue projection de The master.



    Dès les premières images, il est clair que l'expérience va être éprouvante. Le plan inaugural sur le sillage du bateau est ainsi à la fois moche, peu signifiant et plein d'orgueil, accompagné qu'il est par une musique pompière (ba da ba boum, ba da ba boum).



    Le deuxième plan sur le visage du soldat est aussi extrêmement poseur et ...... la suite ici : http://0z.fr/XSpTK
    RuleZzZ
    RuleZzZ

    13 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 avril 2013
    C'est clairement de la m3rd3. Déjà c'est long, mais vraiment très très long, on les sent vraiment bien passé les 2h17, il faut lutter pour aller jusqu'au bout. Ensuite, c'est sans intérêt, c'est chiant, c'est grotesque, c'est sans aucune cohérence, ça repose sur rien, on a l'impression de passer 2h17 à observer un cheveux sur une soupe. De très grands acteurs qui livrent ici leur prestation la plus exécrable. Un scénario qui à trop vouloir faire allusion à un certains "mouvement sectaire/religieux né dans les années 50", entre guillemets au second degré et de manière très implicite histoire de ne pas se mouiller non plus hein, ne fait plus que ça au final, 2h17 d'allusions entre guillemets au second degré et de manière très implicite, ceci est la base du scénario et toute l'histoire du film, ça pullule de toute part, et au final, on ne comprend RIEN, où est-ce que ça va ce truc ? MAIS QU'EST-CE QUE CA VEUT DIRE, BON SANG ?! Celui qui se fait pigeonner, ce n'est certainement pas un certains "mouvement sectaire/religieux né dans les années 50", non non non non non, c'est juste NOUS, les spectateurs. Mais quelle daube infâme, mais quelle honte, l'année est loin d'être terminée, mais ce sont là les pires 2h17 de mon année 2013. Si on me donnait le choix là, maintenant, je préfèrerais encore revoir Vercingétorix.
    Frédéric M
    Frédéric M

    17 abonnés 322 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 avril 2013
    Y a longtemps que je n'avais pas vu un film aussi ennuyeux...Les deux acteurs principaux en font des caisses. Pas d'humour, tout est chiant dans ce long métrage. J'ai même dû accélérer pour voir la fin à partir de la première heure. Barbant au possible. A éviter.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    Joaquin Phoenix est juste énorme dans ce rôle d'alcoolique,un vrai chef-d'œuvre.
    Yetcha
    Yetcha

    875 abonnés 4 386 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2016
    Intéressant la naissance de la scientologie, car c'est bien de ça qu'on parle ici. Si le début axe sur un futur adepte, on part assez rapidement sur le créateur. Les deux personnages sont tout aussi psychotiques l'un que l'autre, les acteurs les incarnent de manière fantastique, surtout Phoenix. Cependant, c'est parfois un peu décousu et apporte des faux rythmes désagréables. De plus, il est bien dommage de ne pas explorer un peu plus avant la création de cette secte. Un film irrégulier donc, mais dont l'interprétation des acteurs est vraiment extraordinaires.
    Henrico
    Henrico

    164 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mai 2018
    Si les prix attribués à Paul Thomas Anderson pour « Magnolia », étaient parfaitement mérités, voir même distribués avec parcimonie, ils avaient été complaisamment généreux pour « There Will Be Blood ». Pour « The Master », les critiques, de toute évidence, se sont laissés aveugler par la prestation exceptionnelle de tous les acteurs du film. Si les prix d’interprétation de Phoenix et de Seymour sont plus que justifiés, les éloges dithyrambiques, et les nominations tant pour le scénario, que pour la mise en scène relèvent de la niaiserie. Ce scénario, à la base passionnant, car basé sur l’histoire de deux personnages, très riches psychologiquement, est gâché par un traitement narratif, avec de fréquentes ellipses et circonvolutions dans le temps. Il ne parvient qu’à être énigmatique, à soulever plus de questions au sujet des deux protagonistes, sans jamais élucider leurs problématiques mutuelles et respectives. Todd est-il un total escroc ? Parvient-il quand même à « soigner » ? Si oui, quelle est la méthode ? Si non comment des gens aussi éveillés autour de lui le croient-ils ? Quell parvient-il à cerner son mal ? A le surmonter? Todd et Quell sont-ils véritablement « liés »? Si oui, en quoi et pourquoi Quell a t’il quitté Todd? Bref, on s’en fiche de tout ça après tout, car le traitement en images que Anderson nous donne de toute cette histoire, est totalement émietté, brouillon et purement décoratif. Pesant et frustrant.
    Starwealther
    Starwealther

    74 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2022
    Paul Thomas Anderson a essayé de faire un chef d'oeuvre incontesté et incontestable avec "The Master". En effet, chaque plan est millimétré, d'une grande beauté, c'est somptueux, on ne peut pas évidemment pas le nier. De plus, les acteurs Joaquin Phoenix et Philipp Seymour Hoffman jouent à merveille bien qu'ils ne soient pas loin du cabotinage.... Seulement, pour faire un chef d'oeuvre, il faut tout de même une histoire qui passionne le spectateur et ce n'est malheureusement pas le cas dans "The master". Cette histoire de Freddy (Joaquin Phoenix), ivrogne traumatisé par la guerre de Corée, se faisant embrigadé dans la secte de Dodd (Philipp Seymour Hoffman) nous montre une moitié ambigu entre deux êtres marginaux. Certaines critiques prétendent que c'est le début de la scientologie qui est décrite dans le film mais PTA prétend que non. Peu importe au final, ça ne nous intéresse guère. Tout se suit avec de grandes longueurs, certes un chef d'oeuvre doit souvent être contemplatif mais il y a des limites! Une vraie déception
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2023
    La rencontre entre un type paumé et brut de décoffrage et le gourou d'une secte constitue le cœur de ce film. Leur compagnonnage fait alterner scènes de manipulation, de fascination réciproque, de rébellion, etc. L'entourage du gourou, constitué de dévots mais aussi de sceptiques, entraîne là aussi des scènes intéressantes où apparaît la fragilité du type paumé. Mais je n'ai jamais été totalement emballé par ce film de 2h20. Le rythme y est lent, la narration brouillonne, certaines scènes n'apportent rien, et surtout le mal-être démonstratif du personnage incarné par Joaquin Phoenix m'a vite agacé.
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 janvier 2013
    Qu'il est loin le temps de "Boogie Night", de "Magnolia" et de "Punch-drunk love" ! Aujourd'hui, Paul Thomas Anderson se prend pour le plus grand réalisateur du monde, il ressort le 70 mm (d'accord, ça fait de belles images), il concocte un scénario sur la relation ambigüe entre le gourou d'une secte et un vétéran de la guerre du Pacifique, revenu moralement cassé et alcoolique, et il nous ... emmerde ! L'espèce de salmigondis plus ou moins mystique à base de philosophie et de psychanalyse de bazar s'avère très vite ennuyeux à mourir. C'est presque aussi prétentieux et vide que "The tree of life" : franchement, quand le cinéma américain actuel se lance dans ce trio (mystique, philosophique, psychologique), le résultat s'avère le plus souvent consternant. Bien entendu, la plupart de nos braves critiques professionnels se sont crus obligés de crier au génie : ça la foutrait mal de laisser penser qu'on n'a rien compris au film et qu'on est donc passé à côté d'un pur chef d'œuvre. Perso, je préfère crier à l'imposture et garder l'appellation chef d'œuvre à "Citizen Kane" ou à "Les temps modernes". Quant à la distribution, c'est plutôt pas mal, vues les conditions, à l'exception de Joachim Phoenix, qui, à force d'en faire des tonnes, arriverait à faire passer Jack Nicholson pour un comédien tout en retenue et d'une grande sobriété.
    Benito G
    Benito G

    663 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 janvier 2013
    Pour le visuel, l'utilisation d'une peliculle 70mm ; fut une excellente idée. Créeant un petit truc en plus. L'histoire se met en place doucement mais surement, afin de mettre le spectateur ; au plus près de la vie des personnages. Tenter de comprendre leurs relations assez complexe (bien que la trame de base, a pu tres bien exister à l'époque). LE jeu des acteur, est quant à lui aussi ; joué avec brio. Le réalisateur nous confirme que sans user d'FX à tout va, ou de casting façon US ; il possède une maitrise artistique que beaucoup n'ont pas (je ne parle pas de ceux qui joue avec l'informatique...).
    Il exploite ici, des idées ; qui prennent presque la forme d'obscessions (peut être lié à son enfance qui sait?^^). Mais qui en tout cas, confirme qu'il maitrise totalement son travail et le contrôle totalement. Contradictoire, puisque le sujet est la perte de contrôle^^. JE regrette qu'il ne laisse pas parfois, voguer l'émotion comme elle aurait pu l'être... L'ensemble est donc du bon cinéma. MAis qui risque de ne pas plaire à tout le monde. Car malgres les performances magestrales des deux héros, l'ennuit guette parfois le spectateur. PAs soporiphique à souhait, mais légèrement longuet (moment, ou l(on a donc souvent tendance à décrocher^^^.
    Le résultat est impressionnant, magistralement réalisé, photographié, mis en musique, monté... Et montre que Paul Thomas Anderson a des chances de monter en puissances dans le domaine du cinéma. On regrettera donc que le rythme soit assez lent et éparpillé. Avec les quelques défauts qui vont avec (comme dans la majorité des films de toute façon). MAis la façon dont l'ensemble est traité, nous permet de prendre cela comme une sorte de poème, de roman... Ou l'on parle d'amour, de croyance, de rêves... Mais apres faut-il accrocher. Personnellement, cela n'a pas trop était le cas pour, mais je ne peux nier ; que cela reste une production de qualité.
    Audrey L
    Audrey L

    632 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 février 2021
    The Master réalise effectivement un exploit mystique : tandis que nous l'observons, nous voyons notre voisin de siège devenir sérieux devant les scènes d'analyses et débats, clore les yeux pour s'en imprégner, pencher la tête pour rentrer en transe lui aussi, et se mettre à ronfler. Oups, mésinterprétation. Il faut dire qu'avec ses 2h15 de palabres sans fins (ultra-bavard) et ses scènes de transes répétitives et longues, The Master est surtout l'un des Maîtres du Soporifisme. Dommage pour le beau casting qu'on avait réunit pour l'occasion, entre Joaquin Phoenix (impeccable pour ce rôle et vraiment investi), Philip Seymour Hoffman (surprenant dans le bon sens), Amy Adams ou Rami Malek (ces deux derniers commençant déjà à avoir moins de texte et de présence à l'écran que le sacro-saint binôme Phoenix-Hoffman dont le film ne veut pas démordre). Paul Thomas Anderson nous emmenait dans un terrain jusque-là assez inexploré : un chef de secte qui pense soigner les gens en leur faisant revivre leurs vies passées mais créé au passage un électron libre aussi violent qu'en adoration devant les préceptes du chef. On attend la confrontation, et l'on attend, l'on attend... Pour au final n'avoir eu que des scènes de discussion assises autour d'un bureau, deux personnes qui se regardent dans le blanc des yeux tandis qu'un troisième les chronomètre (on vous jure), une scène d'hallu où évidemment seules les femmes sont nues (marre de ces scènes sexistes), Joaquin qui frappe sur les murs et lèche les vitres (scène répétée à souhait), et une confrontation aussi molle que possible (encore un petit speech autour d'un bureau). Mention au making-of du film tout aussi palpitant : vous suivez un technicien qui monte et descend des escaliers avec des verres d'eau (s'il avait du café, pour nous...). Dommage pour le sujet original et le casting investi, les bavardages incessants nous ont mis en tran-sieste.
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 249 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 janvier 2013
    Grosse déception. Voilà un film porté par la critique, encensé comme un chef d'œuvre et qui n'est en fait qu'une grosse meringue boursoufflée pleine de clins d'œil à la limite de la vulgarité et de la facilité. Bluffé par un prologue virtuose tant sur le plan technique que sur l'approche synthétique de la fin de la guerre et des conséquences de la démobilisation de milliers d'hommes traumatisés, on se cale dans son fauteuil avec gourmandise. La déception vient très vite, dès que le réalisateur aborde le fond du sujet qui doit être la rencontre entre un gourou de pacotille et un cinglé pathétique. On ne comprend pas bien l'intérêt d'avoir pris un tel thème tant les idées restent confuses. L'absence de parti-pris ou de jugement de la part du réalisateur banalise le sujet et retire l'essentiel de l'intérêt qu'on aurait pu y trouver. L'ennui nous a rapidement gagné et les scènes répétitives (ah, la scène du mur à la fenêtre !) finissent par nous achever. J'avais oublié
    qu'un chef d'œuvre doit être long et soporifique.
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