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    The Master
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    3,0
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    509 critiques spectateurs

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    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    325 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2013
    Après une première partie tout simplement grandiose, le film s’essouffle un peu pour retomber dans une forme plus classique. Anderson prend son temps pour filmer, le rythme est posé et les plans méticuleusement cadré ce qui provoque une ambiance étrangement oppressante. Joaquin Phoenix et Philip Seymour Hoffman sont tous les deux incroyables de justesses.
    On est pas passé loin du chef-d'oeuvre...
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 décembre 2013
    Ce film dénonce, dérange et çà me plait. Quand des "non-dits" sont remis en question, cela ne peut être que flatteur. Scénario indescriptiblement bon, le duo Seymour Hoffman/Phoenix est ravageur. Ce dernier est impressionnant de fantaisie. Ce film bouscule le cinéma américain, je trouve çà d'une intelligence rare, d'une subtilité monstrueuse et puis, qu'elle audace! Joaquin Phoenix méritait surement l'Oscars, mais peut importe, Paul Thomas Anderson a su l'accomplir avec un rôle qui restera gravé dans le cinéma moderne.
    *TOP 1 FILM 2013*
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    149 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 novembre 2014
    Un excellent drame sur un vétéran traumatisé par la seconde guerre mondiale. Le film est centré sur le personnage de Joaquin Phoenix. L'un des derniers films avec le regretté Philip Seymour Hoffman. L'un des meilleurs films de Paul Thomas Anderson après Magnolia. Un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 avril 2013
    Après être revenu de la guerre dans le pacifique, Freddie Quell vie de petit boulot et devient alcoolique en faisant lui même ses propres alcool qui, au moins, font ravage chez ses amis de beuverie. Un jour alors qu'il est saoul il rentre dans un Yacht et y rencontre un dénommé Lancaster Dodd surnommé "The Master". Celui-ci propose à Freddie de rejoindre sa cause et de travailler avec lui. Vous l'avez bien compris La cause n'est pas plus, pas moins qu'une secte. Recrutant les gens en s’initiant dans leur tête pour les endoctriner et les faire rejoindre dans leur "cause", usant de la violence voir plus. The Master est un film incontestablement bien. Bien par cette brochette d'acteurs, commençons par l'impressionnant et hypnotisant Joaquin Phoenix (Nominé aux Oscars 2013, mais non vainqueur face Day-Lewis, injustement peut-être tant sa préstation est génial, peut-être meilleure que celle qu'il nous avait offerte dans Walk The Line) N'oublions pas bien sûr le tout grand Philip Seymour-Hoffman dit le "Master" totalement parfait et la belle Amy Adams qui elle aussi s'est fait coiffé au poteau pour son oscar de meilleure second rôle féminin, remporter par la "chanteuse" Anne Hataway. The Master c'est aussi des décors d'époque subtilement utilisés et bien sur la réalisation noir et froide du tout jeune mais non talentueux Paul Thomas Anderson, vainqueur du Lion D'or à la dernière Mosta de Venise.
    The Master, c'est long, c'est parfois ennuyeux c'est parfois incroyablement prenant, c'est un casting génial, qui n'a pas été apprécie à sa juste valeur, c'est parfois très complexe (digne d'un Cronenberg) mais c'est indéniablement un grand film. A voir
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 avril 2013
    Rien que pour l'interprétation fabuleuse de Joaquin Phoenix et de Philip Seymour Hoffman, le film a le mérite d'être vu. Est-ce une thèse sur les vies antérieures, qui induit les membres de son mouvement appelé La Cause, dont le guide de ce mouvement est nommé le Maître, ou un genre de gourou qui les alimentent par ses histoires de vies passées, par son empreinte charismatique des adeptes de cette cause, là ce sera à vous de juger, car c'est un film qui forgera l'idée qu'il se fait de cette énigmatique histoire. Pour moi un film à voir. Je le note 5 étoiles sur 5.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 avril 2013
    Comment décrire le dernier film de Paul Thomas Anderson en un seul mot... Mmmh... C’est dur... Ou plutôt non ! Je dirais même au contraire qu'il y un mot qui s'impose parmi tous les autres : l'ennui. OK, c'est beau plastiquement, comme souvent avec l'ami Anderson, mais là, franchement, au niveau de la narration, ce n'est juste pas possible du tout. Dans le principe pourtant, cela ne me dérange pas que certains auteurs se plaisent à poser une ambiance lancinante ou contemplative, mais là ce n'est ni l’un ni l'autre. La réalisation est trop portée sur l'image pour être lancinante et l'intrigue débite trop vite pour être contemplative. Et encore, parler d'intrigue expéditive pour ce "Master" c'est y aller bien fort ! C'est qu'il faut attendre une demi-heure pour qu'enfin la rencontre entre Phoenix et Hoffman se passe. Une éternité... Et une éternité pour quoi ? Pour poser le personnage ? Mais en deux minutes tout est dit ! Pourquoi s'étendre à ce point ? Pourquoi s'étaler dans un récit d'une linéarité paresseuse avant de rentrer dans le vif du sujet ? Je me doute que certains se diront en lisant cela : « Visiblement un gars qui n'a rien compris au génie de l’artiste... » Eh bien, d'accord ; j'accepte. En fait, c'est sûrement cela. Depuis le départ que je ne comprends rien à la démarche de cinéaste de Paul Thomas Anderson. Seulement voilà, je ne vois pas pourquoi cela devrait être exclusivement de ma faute. Je ne vois pas pourquoi c'est au spectateur de fournir tous les efforts au cinéma, le réalisateur doit avoir à sa part. Parce qu'au fond, le problème pour moi est là. Ce "Master" pourra gloser autant qu'il voudra sur sa "Cause" ou sur autre chose : à partir du moment où il me prend de haut avec son style très verbeux et aseptisé, pour moi ça ne restera que du discours, qu'une dissertation pompeuse qui me barbe plutôt qu'elle ne m’envoûte... Alors je suis désolé pour lui, désolé pour ses supporters, mais moi, au bout d'une demi-heure de film, c'est tout sauf la grâce qui m'a touché, mais bien un profond mal de crâne et surtout une urgente envie de partir. Mon avantage d'ailleurs, c'est que contrairement au cinéma de Paul Thomas, je fais et je n'attends pas. Au bout d'une heure, j'ai quitté le navire où j'avais rencontré ce "Master" et - le pire ! - c'est que j'ai eu l'impression de ne rien avoir raté...
    Appeal
    Appeal

    156 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2013
    The Master fait partie de ces films que je n'ai pas envie de descendre, car l'intention première est vraiment bonne à ne pas en douter. On sent chez Paul Thomas Anderson, réalisateur dont j'avais vraiment apprécié le There Will Be Blood que je surcôte par rapport à mes éclaireurs, une certaine rigueur cinématographique, la volonté d'élaborer un vrai scénario, d'installer une ambiance, de diriger des acteurs.

    Le problème vient que ce dernier film est très académique. A tous les plans, ce film n'arrive pas à nous surprendre. C'est la dessus que je baserai principalement ma critique. The Master est très bien filmé : jolies mouvements de caméra, grain 65 mm qui rappel les vieilles photos, jeu subtil sur la lumière. Pour autant rien d'extraordinaire, pas une mise en scène intuitive qui aurait pu appuyer plus profondément la psychologie des personnages, nous faire entrer dans leurs cerveaux. C'est propre, c'est lisse, mais ca manque clairement de folie. La musique appuie bien les scènes, son utilisation est toujours pertinente. Encore une fois cependant, on peut trouver une bande sonore similaire dans nombre de films. Les acteurs sont convaincants, même très justes dans leurs rôles. Joaquin Phoenix est un bon alcolo tourmenté... Philip Seymour Hoffman l'exemple typique du tyran sympathique... bref, très bons dans ce que l'on attendait d'eux. Le scénario traite parfaitement son sujet, la secte, avec ses éléments principaux : humiliation de l'autre, omniprésence du sexe, flatter l'égo dans les moments propices, pousser à la folie, asseoir sa domination. Tout ce qu'on attendait, oui. Mais rien qu'on attendait pas.

    Folie, folie, voila ce qu'il manque à Paul Thomas Anderson pour le coup. Le sujet est parfaitement traité, le cinéma parfaitement respecté, mais jamais rien n'est bousculé. Rien n'est en soit critiquable, parce que tout est maîtrisé. Pour lui rendre justice, disons que c'est un film fort agréable, plaisant et instructif, sans aucun défaut si ce n'est la fin foiré. Du bon cinéma qui ne s’avérera pas éprouvant pour ceux qui acceptent sans problème le rythme lent, les longs discours - ici essentiels pour montrer le pouvoir de fascination qu'exerce Hoffman par ses paroles incohérentes -, la belle photographie et l'image.
    Akamaru
    Akamaru

    3 088 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2013
    Un drame grandiose,d'une ambition invraisemblable,qui ne livre jamais la clé de son sujet,et se laisse aller à des débordements mystiques et auteuristes.En fait,c'est assez simple du point de vue du spectateur.Soit il décroche rapidement,lassé de la complexité psychologique du film et de sa mise en scène très frigide.Soit il est captivé,fasciné,frappé par la maîtrise ébouriffante de Paul Thomas Anderson,le plus grand des cinéastes américains contemporains,héritier de Kubrick et Altman."The Master" parle en premier lieu de l'attraction/répulsion entre deux hommes décalqués dans l'Amérique des années 50,celle de l'immédiate après-guerre.Leur relation,toxique,étouffante,est tordue.On ne sait pas trop qui manipule qui?Le marin ravagé,alcoolique,aux accès de colère impressionnants.Ou alors ce gourou charismatique et éloquent,qui semble croire dur comme fer à son baratin de charlatan?Quoi qu'il en soit,P.T Anderson,même s'il s'en défend,traite bel et bien de la naissance de la Scientologie.Ce culte,cette secte aux croyances perchées(complot planétaire,extra-terrestres,matérialisation de la pensée...).Anderson n'explique rien,préoccupé qu'il est à tirer la quintessence de sa réalisation en 70 mm,avec une reconstitution bluffante d'époque.A ce titre,la signification de certains de ses plans est à enseigner au plus vite dans toutes les écoles de cinéma.Malgré un manque de liant entre toutes ces séquences étourdissantes et une émotion étouffée dans l'oeuf,cette 6ème oeuvre de PT Anderson marquera son temps.Un mot enfin sur les prestations stupéfiantes de Joaquin Phoenix,émule félin et colérique d'un Brando;et de Philip Seymour Hoffman,érudit,râpeux,d'un cynisme à toute épreuve.
    cylon86
    cylon86

    2 506 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2013
    Paul Thomas Anderson est un cinéaste rare dont on attend chaque œuvre avec impatience. On sent derrière "The Master" une grande ambition, la volonté de parler aussi bien du traumatisme d'après-guerre que de la montée en puissance d'une secte et de ses idéaux qui embrigadent autant de personnes qu'ils soulèvent de contestations. Malheureusement le film a tendance à être trop démonstratif et à traîner en longueurs ce qui est bien la première fois chez le réalisateur. Mais malgré ses défauts, le film bénéficie d'une mise en scène impeccable, certes moins virtuose que celle de "Magnolia" et moins intense que celle de "There Will Be Blood" mais qui colle parfaitement à son sujet. Le tout appuyé par l'imposante présence de Joaquin Phoenix toujours aussi à l'aise dans les rôles d'écorchés vifs et de Philip Seymour Hoffman, aussi charismatique que manipulateur. Les scènes réunissant les deux acteurs sont d'ailleurs les plus réussies et leurs confrontations sont celles qui touchent le plus au cœur du sujet.
    keating
    keating

    52 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2013
    THE MASTER

    Paul-Thomas Anderson avait déjà abordé la thématique de la secte dans « Magnolia », avec le personnage déjanté joué par Tom Cruise. Il s'agissait alors d'une thématique secondaire, mélangée avec d'autres aspects de la vie américaine contemporaine. Dans « The Master », cette problématique occupera le centre de la narration, et d'une façon très différente. Anderson s'intéresse moins à la secte elle-même, qu'à la réflexion générale sur l'esprit humain que cet thème permet d'aborder. Il centre son film autour de deux personnages marquants, Freddie Quell et Lancaster Dodd. L'interaction entre les deux personnages fonctionne parfaitement, dans leurs ressemblances et leurs différences. Deux personnages humains, et en même temps symboliques : Quell serait la représentation de l'animalité, des instincts du corps, sans que l'esprit ne puisse les contrôler ; Dodd serait au contraire l'esprit dominant les pulsions, au risque de les refouler. Deux personnages opposés qui vont s'influencer l'un l'autre, dans une relation ambigue entre père/fils et maitre/élève. Une sorte de mélange entre amitié et hostilité. A travers ces personnages symboliques, le réalisateur construit également le portrait d'une Amérique post deuxième guerre mondiale, en perte de repères, entre le besoin spirituel et le piège du conditionnement. Un troisième personnage, dans l'ombre, viendra aussi ajouter de la complexité à cette relation : la femme de Dodd, dont les apparitions sont rares mais significatives. PTA possède donc des personnages très riches, et a réussi à trouver des acteurs exceptionnels pour leur donner vie. Joaquin Phoenix et Philip Seymour Hoffman forment un duo tout simplement phénoménal, dans cette relation mystérieuse. L'alchimie fonctionne parfaitement et donne lieu à des scènes d'une tension incroyables : la première « séance », les deux cellules, entre autres. Amy Adams, malgré l'ombre de ces deux géants, parvient à tirer son épingle du jeu. Par contre, le réalisateur semble parfois s'être un petit peu reposé sur ses formidables personnages. Certains passages se contentent un peu trop d'illustrer les longs dialogues, et les champ/contre-champs sont peut être un peu répétitifs. Pourtant, le talent du metteur en scène est bien là, comme le montre la très belle photographie, certains plan séquences forts, et le montage très maitrisé, jouant bien avec les ellipses et changements temporels. Je regrette cependant une dernière partie un peu trop ambigue, où le film semble ne pas trop savoir dans quelle direction aller. Les toutes dernières secondes viennent cependant réhausser encore le niveau, à la fois visuellement et sémantiquement, tout en gardant une certaine part de mystère. Si le film est un petit peu inégal, et si la mise en scène déçoit parfois un petit peu, vu ce qu'on peut attendre de Paul-Thomas Anderson, il faut bien reconnaitre que « The Master » est un film puissant, qui possède deux acteurs monstrueux et un scénario prodigieux dans sa multiplicité de lectures. A voir et sans doute à revoir pour découvrir d'autres richesses..
    Kinops
    Kinops

    26 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2013
    The Master : Film dramatique très prenant. Une histoire assez complexe mettant en avant cette relation entre le Maitre et l'animale. Le gros point fort c'est son casting, on retrouve ici un Joaquin Phoenix incroyablement talentueux et bluffant à tous les niveaux, il arrive immédiatement à faire passer ces émotions et on entre directement en empathie avec son personnage d'ancien soldat ravagé par la guerre, alcoolique et violent. Philip Seymour Hoffman est parfait dans le rôle du Maitre de cette "Cause" et arrive une fois de plus à nous scotcher de par son jeu d'acteur irréprochable. La musique est incroyable et intensifie énormément certaines scènes tout en en rendant d'autres plus dynamiques. La réalisation est correcte, le montage, très réussis, arrive à faire passer beaucoup d'émotions au travers de plans bien choisis. Le rythme du film est assez lent misant avant tout sur une histoire mais la présence de scènes extrêmement prenantes et intéressantes (interrogatoire par exemple) rend le film agréable à suivre même si beaucoup ne vont pas accrocher à ce style. Paul Thomas Anderson nous livre donc une nouvelle fois un petit bijou comme il sait si bien nous les faire (Magnolia, There Will Be Blood) !
    Raphaël O
    Raphaël O

    145 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2014
    Un très bon film traitant des adeptes d'une secte tombés sous la coupe du "Maître" et jusqu'où ils sont prêt à aller pour servir leur cause.
    C'est un scénario assez difficile car on peut se sentir quelque peu perdu par moment...ce qui le rend encore plus étrange.
    Joaquin Phoenix est excellent en vétéran de la guerre du Vietnam !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 avril 2013
    Vu ce film tardivement, dissuadé par des retours peu flatteurs. Mais ce dernier long-métrage de Paul Thomas Anderson s'avère tout de même intéressant. Ce n'est certes pas son meilleur opus, mais les lenteurs du films sont compensés par de réelles fulgurances. A voir.
    Nico591
    Nico591

    46 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 août 2014
    Après 4 petits bijoux, P.T. Anderson remet ça avec un autre film somptueux.
    Dés le début du film et ce jusqu’à la fin, on est littéralement happé, hypnotisé comme justement le sujet traité à travers l'histoire de ce vétéran recueilli par le gourou d'une secte auquel on aura fait le parallèle avec la scientologie.
    Mais c'est surtout pour les performances d'acteurs de Joaquin Phoenix et Philip Seymour Hoffman que le film doit son succès, ils nous livrent des interprétations incroyables que personnellement m'ont subjugué et qu'il n'ait pas donné de voir tous les jours.
    La réalisation est tout aussi parfaite, et la narration extrêmement fluide qui font passer les 2h15 du film sans ennui.
    ARIF ERMURATOGLU
    ARIF ERMURATOGLU

    6 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 avril 2013
    Ce qui est effarant à propos de ce film, c'est de voir la quasi unanimité des critiques professionnels tomber en pâmoison et crier au génie, alors qu'il faudrait plutôt se demander "Mais de qui se fout ce réalisateur?".
    Les spectateurs d'Allociné sont beaucoup plus sensés que les critiques de la presse : Je crois bien que dorénavant je me fierai davantage à eux...
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