Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Diszi
1 abonné
70 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 17 avril 2017
Comme souvent avec un couple de star ,cela ne fait pas un film . Grosse déception , on s'ennuie et meme on s'endort. Je me suis forcer a voir le film jusqu'a la fin. J'adore Barbra Streisand c'est pour elle que j'ai voulu voir le film. Le scénario est nul, c'est bien filmé. Si Barbra à un grand nez ça me gene pas , mais Robert Redford avec ses trois boutons sur sa joue gauche ,ça m'agace.
A première vu, je n'étais pas particulièrement emballée par le synopsis (d'ailleurs je ne l'ai pas totalement retrouvé dans le film) et c'est principalement le duo entre Streisand et Redford qui m'a motivé. Sur ce point, on peut dire que je n'ai pas été déçue, ils m'ont offert l'une des plus belles histoires que j'ai pu voir au cinéma. Leur duo fonctionne parfaitement, on y croit et jusqu'au bout on a envie d'y croire. Barbara Streisand est magnifique, c'était la première fois que je la voyais dans un film et elle m'a bluffée. C'est une histoire assez commune, deux personnes diamétralement opposée qui pourtant s'attire et tente tout pour que leur histoire perdure. J'ai vraiment passé un bon moment, le scénario n'oublie pas de détaillé la période à laquelle on se situe et les conditions de vie mais également politique de l'époque. La réalisation est tout aussi sympathique, malgré un fondu qui m'a paru interminable. J'ai vraiment passé un très bon moment, j'ai été émue, j'y ai cru et j'avais quelques larmes qui perlaient au coin des yeux. Je vous le recommande fortement si vous ne l'avez encore jamais vu, vous pourriez être surpris.
Une belle histoire subtilement mise en images par un Sydney Pollack très sobre, et portée par le charme évident de ses interprètes, où Barbra Streisand n'a rien à envier à Robert Redford. Revenant sur cette page d'histoire de façon plutôt originale et nous donnant à voir l'opposition du conservatisme américain et des idées communistes dans un cadre feutré, Nos Plus Belles Années est un film où les regards ont au moins autant d'importance que les mots pour faire passer le message, livrant sa parabole politique en la calquant sur cette histoire d'amour impossible. Tout tourne sur le thème du sacrifice (bonheur ou engagements personnels) pour rester en accord avec soi-même. L'exposé est simple, pas forcément manichéen, et demeure efficace malgré quelques longueurs.
Quelle merveilleuse ode à l'amour ! De tous les films qu'ont tourné Pollack et Redford, c'est sans aucun doute le plus romantique et celui qui fait transparaître de façon très palpable une vraie émotion entre les deux acteurs réunis à l'écran. Barbara Streisand est très touchante et Robert Redford au sommet de sa beauté, est particulièrement émouvant dans la scène de la clinique et la toute dernière devant l'hôtel Plazza où l'on sent tous les regrets entre ces deux là de n'avoir pas réussi à vivre ensemble. Un amour tellement beau qu'il ne pouvait pas durer, hélas !
Mélo américain très classique et même léthargique ou Robert Redfort est beau mais pas aussi charismatique que dans d'autres productions et Barbara Streisand laide et insipide même si elle fait des efforts. A l'évidence elle a plus de talent en tant que chanteuse, mais les productions hollywoodiennes aiment toujours mettre des gens connus dans leur film et les chanteuses semblent faire l'affaire. La réalisation de Pollack est meilleur dans la majorité de ses autres films. Un film sans goût et sans cachet.
C'est bien connu : "les histoires d'amour finissent mal en général" même quand on est beau comme un dieu (Robert Redford impressionnant) ou captivante et pleine de vie (Barbara Streisand parfaite dans son rôle). Le film n'est pas désagréable à regarder mais l'ensemble manque de piment, de rythme, on a du mal à se passionner vraiment pour cette idylle cyclothymique sur fond d'incompatibilité idéologique et sociale (le contexte historique et politique servant plutôt de prétexte à une histoire sentimentale souvent en manque d'inspiration). Pas mal donc mais un tout petit peu ennuyeux.
Une histoire d’amour bien propre sur elle ! Qui ne vaut que par la rigueur de la mise en scène et surtout par la qualité du duo Redford/Streisand (je mets Redford en premier non par muflerie mais pour la qualité supérieure de son jeu) : Redford, belle gueule et belles mèches, Barbra Streisand vraiment moche mais pleine de charme et de tonus. C’est suffisamment bien monté pour qu’on ne s’ennuie pas, les dialogues sont bien tournés mais tout cela reste très creux. L’histoire improbable d’un WASP nickelé et d’un juive communiste, de 1937 aux sombres années du maccarthysme, qui n’ont rien en commun mais qui s’aiment jusqu’à ce que… ça finisse ! Et c’est exaspérant de voir cette période réduite à quelques meetings et un Redford planqué bien loin du moindre canon, en uniforme impeccable, le verre à la main. Si c’est pour dénoncer une certaine Amérique bien peu glorieuse, c’est très mou ! Un Sydney Pollack tout petit, affaire commerciale basée sur deux vedettes et un hit (The Way we were).
Sur fond de maccarthysme, un mélo sur la passion tumultueuse entre deux personnes que tout oppose socialement, qui repose avant tout sur le charme de son couple vedette Barbra Streisand/Robert Redford.
Histoire d'amour épique sur fond de drame historique et social. On peut peut être regretter que cette dimension historico-sociale ne soit reléguée qu'à l'arrière plan, mais clairement le sujet du film c'est ce couple, formé par les mythiques Barbra Streisand et Robert Redford, qui traverse les années et les épreuves; et le sujet est maitrisé: le film alterne habilement entre humour et romantisme légers et tension et émotion plus graves avec réalisme et sans jamais tomber dans le cliché ou la niaiserie. De l'interprétation à la mise en scène, sans oublier la bande son fameuse, rien n'est laissé à désirer. Indéniablement un grand film.
Ravissante Barbara Streidand dans "The way we were" de Sydney Pollack (1973). Il n'est de romance sans personnage qu'on eût aimé aimer. Ainsi Katie, cette étudiante communiste qui ne transige pas avec ses idéaux. En vis-à-vis, Hubbell (Redford) est beau, vaguement cynique, du moins léger c'est-à-dire dépolitisé. Devenu scénariste dans les 50s, il baissera son froc devant son producteur, en plein maccartysme. Et leur amour, si beau, finira de se fissurer. Ce qu'on aime chez Pollack, en sus de sa maitrise formelle (voir la beauté de ses fondus enchainés où s'écoule notre histoire) c'est son goût fitzéraldien pour le récit ample. un certain art de la narration qui nous mène dans l'histoire américaine des années 30-50, son rêve de grandeur et son "way of life " hoppérien. Ainsi ces jolies scènes de bateau qui portent à l'écran un rêve américain coulé - comme chez Cameron (Titanic). "the way we were" c'est l'histoire politique d'une brisure amoureuse. Soit un grand mélodrame politique conciliant esthétique hollywoodienne du main stream et subversion politique du décentrement à bâbord . Film de gauche, malgré la chute historique du communisme et d'amour, en dépit du désastre de la perte, comme si l'amour et l'égalité étaient deux rêves en dérive.
un vrai classique, avec un couple mythique : histoire d'amour impossible mais qui durera tout de même...bref un merveilleux film comme on n'en fait plus !
il n'y a pas beaucoup de mots pour décrire cette histoire d'amour filmée comme une saga. Ces 2 êtres ne sont pas faits l'un pour l'autre, mais ils vont vivre ensemble une très belle partie de leurs vies : "leurs plus belles années". Je ne peux m'empêcher de toujours penser au film "Julia" de Fred Zinnemann lorsque je le regarde. Mais je ne sais pas dire pourquoi.