AlloCiné
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Clémentine K.
Pas terrible, le scénario n'est pas brillant et les acteurs sont superficiels. L'histoire et le dénouement ne valent pas de regarder le film.
Requiemovies
Stuart Hazeldine signe un premier long métrage relativement haut en promesses. Maîtrisant assez parfaitement les règles et les tensions présentes dans ce qu’un huis clos demande, il livre donc une œuvre Bis avec un certain talent.
Si plusieurs ficelles scénaristiques, plus ou moins grosses, pourront atténuer la crédibilité que certains porteront au film, le savoir faire d’Hazeldine à manier une mise en scène oppressante et intriguante est validée.
Concernant le fond, on peut émettre plus de doutes quand à la lecture que le réalisateur tente de faire de la nature humaine entre clichés et situations extrêmes.
Le tout, très bien ficelé ne manque cependant pas de rythme et instaure un malaise profond et attire le spectateur dans son rythme presque parfait. Seul le dernier quart d’heure pourrait faire office de bémol au scénario (voire gros bémol s’il en est).
Peu importe, Exam dans son ensemble rapporte la mise et produit son effet dans la catégorie film de série B de qualité et réalisateur à suivre.
http://requiemovies.over-blog.com/
Si plusieurs ficelles scénaristiques, plus ou moins grosses, pourront atténuer la crédibilité que certains porteront au film, le savoir faire d’Hazeldine à manier une mise en scène oppressante et intriguante est validée.
Concernant le fond, on peut émettre plus de doutes quand à la lecture que le réalisateur tente de faire de la nature humaine entre clichés et situations extrêmes.
Le tout, très bien ficelé ne manque cependant pas de rythme et instaure un malaise profond et attire le spectateur dans son rythme presque parfait. Seul le dernier quart d’heure pourrait faire office de bémol au scénario (voire gros bémol s’il en est).
Peu importe, Exam dans son ensemble rapporte la mise et produit son effet dans la catégorie film de série B de qualité et réalisateur à suivre.
http://requiemovies.over-blog.com/
Caine78
Le concept est excitant, l'interprétation convaincante, les décors intelligemment exploités et le huit-clos dans son ensemble bien rendu. Malheureusement, si « Exam » tient la route dans la première moitié, il affiche clairement ses limites dans la seconde. Alors que le film jouait plutôt bien des stéréotypes pendant un temps, voilà qu'il finit par se la jouer gros sabots, les situations devenant souvent prévisibles et l'opposition entre les différents candidats caricaturale au possible. Dommage, car de-ci de-là on entraperçoit certaines idées, quelques retournements de valeurs bien venus, mais c'est insuffisant pour que la mayonnaise prenne vraiment. Il suffit de voir le dénouement pour s'en convaincre : intrigant au départ, il devient vite attendu pour carrément prendre
spoiler:
un tournant humanitaire assez risible, nous expliquant que cette épreuve était nécessaire, œuvrant en réalité pour le bien de l'humanité
, soit probablement le plus mauvais choix à faire au vue du ton adopté jusque-là. Pas catastrophique donc, mais plutôt décevant.
, soit probablement le plus mauvais choix à faire au vue du ton adopté jusque-là. Pas catastrophique donc, mais plutôt décevant.
selenie
Stuart Hazeldine est connu pour les scripts de "Le jour où la Terre s'arrêta" (2008) et "Prédictions" (2009), autant dire que ce n'est pas très encourageant... 1h30 de films qui nous montre un test d'embauche en huis clos. Huit personnes se retrouvent enfermés pour répondre à une seule et unique question, le vainqueur aura un poste dans une des plus grosse société mondiale. 80mn pour trouver la réponse suivant des règles strictes... Déjà le problème réside dans un scénario qui manque de clarté puisque le fait que le monde dans lequel se passe l'histoire est post-apocalyptique, victime d'une pandémie omniprésente ; c'est à peine suggéré lors du huis clos. Mais surtout on a la sensation désagréable d'avoir vu le même film en mieux... C'est presque le cas puisque c'est quasi le remake de "La méthode" (2006) de Marcelo Pineyro. Ce dernier étant également un entretien d'embauche particulier en huis clos. "La méthode" est largement au-dessus car il y a le clivages des profils psychologiques sont plu subtils et l'évolution du "jeu de massacre" plus tendu et moins attendu. "Exam" est un film qui n'est pas foncièrement mauvais, il y a des bons points (des règles spécifiques) mais il souffre de la comparaison.
ffred
Bien que sorti en 2009 en Angleterre, son pays d'origine, Exam n'est apparu sur nos écrans qu'en octobre dernier. Vu l'exploitation, si rapide et quasi inexistante en salles, et l'absence totale de promotion, on se demande bien pourquoi il n'est pas sorti directement en DVD. Quand on voit la quantité de daubes qui sortent toutes les semaines, s'il n'est pas un chef d'oeuvre, il méritait tout de même une meilleure visibilité. Premier film de Stuart Hazeldine, co-scénariste du raté Prédictions, il ne manque, cependant, pas de qualités...
La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-exam-112378611.html
La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-exam-112378611.html
Redzing
Huit candidats pour un poste à haute responsabilité sont enfermés dans une salle, et ont 80 minutes pour trouver la réponse à une question mystérieuse. L'idée d'un tel huis-clos n'est pas novatrice (on pense, entre autres, à "Cube"), néanmoins "Exam" est suffisamment bien mené pour être prenant. La mise en scène, certes conventionnelle, fonctionne bien, et les péripéties en temps quasi réel maintiennent le rythme. On regrettera en revanche que les personnages soient assez caricaturaux, ce qui est plutôt bien exploité au début, mais qui devient un peu gros ensuite. Par ailleurs, le twist final,
spoiler:
dévoilant les motivations réelles de l'entreprise
, est un peu tiré par les cheveux. Toutefois, vu d'un certain angle, "Exam" constitue une critique amusante des procédures de recrutement basées à l'extrême sur les tests et jeux psychologique.
, est un peu tiré par les cheveux. Toutefois, vu d'un certain angle, "Exam" constitue une critique amusante des procédures de recrutement basées à l'extrême sur les tests et jeux psychologique.
Yetcha
Une vraie petite perle! Vous avez aimé "Cube" ou "L'expérience", vous adorerez "Exam". C'est un très bon thriller toujours basé sur l'enfermement d'un groupe de personnes qui ne se connaissent pas et tentent de découvrir pourquoi ils se trouvent réunis. Qui sont les traîtres, les violents, les ultra intelligents etc... J'ai adoré! Si par contre vous n'avez pas aimé les deux films cités, passez votre chemin sans vous arrêter!
Benito G
Un film interessant par son thème et par ses "sous thème" que l'on exploité parfois brièvement. Qui même si depuis plusieurs années. Ce style de film est à la mode. Ici, le film se démarque quant même un peu. Si vous cherchez des gens qui finissent par centre tuer.... PAssez votre chemin. Mais si vous voulez vous triturer un peu l'esprit, ce film est fait pour vous. Je ne dirais rien sur l'histoire, qui tient ; plus ou moins bien ; la route ; même si quelques incohérences subsistent (ou j'ai mal compris certains moment, mais auquel cas je ne suis pas le seul^^). On entre vite dans le coeur de l'histoire et chacun des personnages et passez au crible (même si certains, le seront plutôt vers la fin). Bref, on a beau voir ; en ce moment ; plusieurs films empruntant la même trame (juste celle d'enfermer un groupe de personne pour diverses choses. Là s'arrete les ressemblances). Pour les fans de thrillers, au suspens et au film ou la reflexion est maitre mot (même si l'on cherche souvent plus loins qu'il ne faut, at que la réponse est dans la majorité des cas ; toujours plus proche que ce que l'on croit) ; ce film se montre excellent , en divertissement. On se pose, on observe, on analyse et on attend la conclusioN... LE film se montre sans prétention et c'est ce qui fait que la réalisation, mise en scène.... n'en font pas des tonnes. Bon, il est vrai que certains rebondissements étaient un peu trop prévisibles et peuvent gacher l'experience. MAis si on se laisse prendre au jeu et au vue de certains autres surprises. Cela remonte, l'ensemble aisément. Carte de visite assez bluffante en termes de technique (le pari du huis clos est tenu avec une très finaude virtuosité), un peu moins côté scénario (le twist final déçoit), ce premier film contient des promesses dont on pourrait bien entendre parler à l'avenir.... Et qui pourrait nous surprendre dans le bon sens, et ceux malgres la réalisation d'un film DTV sans prétention qui aurait pu avoir son public en salle (quant on voit ce qu'il distribu... ENfin là, n'est pas le sujet ; mais quand même). BOn l'ensemble est peut être un peu trop caricaturale, absurbe, artificelle.... pour passer vraiment crédiblement. MAis si l'on se met à la place des films de SF. Là, le pitch de base, passe un peu mieux ; donc pourquoi pas. Et puis, au pire ; on chercher juste à se divertidr et trouver la clé de l'énigme avant tout le monde... Comme quoi, pas besoin de nous la faire façon "Saw" (pour le coté gore) ; pour qu'un film ou des règles de jeu (mais qui ici n'ont pas comme fin, la mort) soit une réalisation convenable et appréciable.
Cinememories
Des qualités ? Des défauts ? L’entretien est un rituel bien connu dans le milieu professionnel, où un certain profil se démarque et obtient le poste souhaité. Stuart Hazeldine, dans son premier long-métrage, alimente la pression de cette séance en invitant plusieurs candidats pour un test original et qui couve un lot de mystère. La démarche de la grande entreprise a de quoi faire friser n’importe qui, mais c’est sans appel qu’on a recours à des caricatures trop soignées afin de malmener l’esprit du spectateur. « Cube » l’avait déjà fait et le concept de cette œuvre se rapproche étrangement de celle-ci, là où l’esprit commun devra triompher de l’individualisme.
La clairvoyance est exigée dans cet épisode qui fixe des règles relativement simples. Le huis-clos, renfermant huit candidats aux profils différents, insiste sur l’ambiance et la tension qu’il génère. L’amorce fait bien son effet, en suggérant subtilement l’aspect psychologique des personnages. Cependant, on n’en fait plus grand-chose, passé la demi-heure. Le jeu des trouvailles, indices et fausses pistes sèment des moments de doutes que l’on peut qualifier de longueur, car le scénario reste superficiel et ne propose pas autant d’interactions souhaitées. La mise en scène peut rattraper certains passages, mais on n’y accorde pas assez de justesse au profit de l’ambiance te la tension. Les conflits s’installent en même temps que l’ascension des fortes personnalités. Et comme dans un spectacle de magie, la chorégraphie et le prestige sont intimement liés. Le secret d’un bon tour reste le dénouement qui doit remettre en question tout qui a été agité devant nous. Mais que vaut vraiment ce discours, si le fond n’est pas en phase avec la forme ?
Une réponse sans question n’a pas de sens et en encore moins d’intérêt. Tout le paradoxe de cet examen réside dans ce mystère. Le récit tient en haleine, mais retient ses coups en matière de créativité. Si on se laisse aisément surprendre, c’est notamment grâce au casting d’inconnus des grandes scènes. Pas de favoritisme et on se laisse plonger dans l’intrigue à son été brut. Bien qu’elle ait peu de consistance, on finit par s’intéresser au problème. Le facteur temps est ainsi la clé, tout comme les règles dont on insiste particulièrement, cherchant à détourner l’esprit du spectateur à des solutions primitives. Les similitudes avec les entretiens que nous connaissons en occident sont condensées ici-même, avec une pointe de fougue, due à la sincérité des ambitions de chacun à vouloir obtenir le poste à tout prix.
« Exam » avait beau bien démarré son discours, droit dans le vif du sujet. Mais le récit échoue misérablement et bute sur un dénouement qui ne rend pas justice à tout ce qui a été développé au cours de la session. Le scénario souffre d’un cruel manque d’enjeux et on sent des lacunes dans les transitions. D’échec en échec, on arrive à tourner en rond, sans pour autant avancer dans la bonne direction. Cela peut faire partie du divertissement, mais le contenu ne peut satisfaire tout le monde. Les valeurs, ainsi que la morale ne justifient pas tout le drame décrit. Il ne s’agit ni plus ni moins d’un détournement d’une crise, qui profite secrètement aux personnes qui possèdent du pouvoir et de l’espoir entre les mains d’une population en détresse.
La clairvoyance est exigée dans cet épisode qui fixe des règles relativement simples. Le huis-clos, renfermant huit candidats aux profils différents, insiste sur l’ambiance et la tension qu’il génère. L’amorce fait bien son effet, en suggérant subtilement l’aspect psychologique des personnages. Cependant, on n’en fait plus grand-chose, passé la demi-heure. Le jeu des trouvailles, indices et fausses pistes sèment des moments de doutes que l’on peut qualifier de longueur, car le scénario reste superficiel et ne propose pas autant d’interactions souhaitées. La mise en scène peut rattraper certains passages, mais on n’y accorde pas assez de justesse au profit de l’ambiance te la tension. Les conflits s’installent en même temps que l’ascension des fortes personnalités. Et comme dans un spectacle de magie, la chorégraphie et le prestige sont intimement liés. Le secret d’un bon tour reste le dénouement qui doit remettre en question tout qui a été agité devant nous. Mais que vaut vraiment ce discours, si le fond n’est pas en phase avec la forme ?
Une réponse sans question n’a pas de sens et en encore moins d’intérêt. Tout le paradoxe de cet examen réside dans ce mystère. Le récit tient en haleine, mais retient ses coups en matière de créativité. Si on se laisse aisément surprendre, c’est notamment grâce au casting d’inconnus des grandes scènes. Pas de favoritisme et on se laisse plonger dans l’intrigue à son été brut. Bien qu’elle ait peu de consistance, on finit par s’intéresser au problème. Le facteur temps est ainsi la clé, tout comme les règles dont on insiste particulièrement, cherchant à détourner l’esprit du spectateur à des solutions primitives. Les similitudes avec les entretiens que nous connaissons en occident sont condensées ici-même, avec une pointe de fougue, due à la sincérité des ambitions de chacun à vouloir obtenir le poste à tout prix.
« Exam » avait beau bien démarré son discours, droit dans le vif du sujet. Mais le récit échoue misérablement et bute sur un dénouement qui ne rend pas justice à tout ce qui a été développé au cours de la session. Le scénario souffre d’un cruel manque d’enjeux et on sent des lacunes dans les transitions. D’échec en échec, on arrive à tourner en rond, sans pour autant avancer dans la bonne direction. Cela peut faire partie du divertissement, mais le contenu ne peut satisfaire tout le monde. Les valeurs, ainsi que la morale ne justifient pas tout le drame décrit. Il ne s’agit ni plus ni moins d’un détournement d’une crise, qui profite secrètement aux personnes qui possèdent du pouvoir et de l’espoir entre les mains d’une population en détresse.
Sur le papier, Exam semble être le film avec une idée de base originale mais qui n'arrivera jamais à faire quelque chose de son idée de base. Bon, et bien finalement Exam ne s'en tire pas si mal que ça. Le film voudrait montrer en gros qu'on est prêt à tout si on veut quelque chose, il le montre de manière assez peu subtile, enfin disons qu'en gros ils sont tous soit cons, soit lâches là dedans. On a du mal à croire qu'un simple test tourne ainsi, même si le film tente de retracer un peu les raisons des personnages blablabla. Mouais. Bon, il en reste pas moins un film assez efficace, reconnaissons le, qui a le mérite de proposer ce qu'on était venu voir et de ne pas s'écarter de son idée originale. Quelques moments sympas, le film pêche surtout par son côté un peu trop mécanique implacable de ce qu'il veut démontrer.
Le concept est excitant, l'interprétation convaincante, les décors intelligemment exploités et le huit-clos dans son ensemble bien rendu. Malheureusement, si « Exam » tient la route dans la première moitié, il affiche clairement ses limites dans la seconde. Alors que le film jouait plutôt bien des stéréotypes pendant un temps, voilà qu'il finit par se la jouer gros sabots, les situations devenant souvent prévisibles et l'opposition entre les différents candidats caricaturale au possible.
orlandolove
Au delà de son concept accrocheur, le script est moins malin qu'il n'y parait.
darkvash
Huis clos psychologique, Exam propose un bon divertissement malgré des failles évidentes.
Difficile d'en parler sans dévoiler la fin, simplement certaines réponses sont données par la réalisation qui prend le spectateur par la main.
Le commanditaire qui se trouve dans la pièce, qui en plus est évident de par la prestation, le coup des lunettes à la fin et surtout pourquoi marquer Question 1 sur la feuille alors que celle-ci a déjà été posée, tout cela revient à assister le spectateur en montrant des pistes qui n'ont pas lieu d'être.
Le film se laisse regarder néanmoins et même si la fin, et surtout le processus pour arriver à trouver, le spectacle proposé mérite au moins un visionnage.
Difficile d'en parler sans dévoiler la fin, simplement certaines réponses sont données par la réalisation qui prend le spectateur par la main.
Le commanditaire qui se trouve dans la pièce, qui en plus est évident de par la prestation, le coup des lunettes à la fin et surtout pourquoi marquer Question 1 sur la feuille alors que celle-ci a déjà été posée, tout cela revient à assister le spectateur en montrant des pistes qui n'ont pas lieu d'être.
Le film se laisse regarder néanmoins et même si la fin, et surtout le processus pour arriver à trouver, le spectacle proposé mérite au moins un visionnage.
Même si on ne va pas révolutionner le genre avec Exam, on se surprend à se demander tout de même quelle peut être cette question. Un dénouement assez intelligent mais un ensemble qui lorgne vers un futur à mon goût inapproprié et très surfait. Reste que le huis-clos simpliste réussit à nous tenir plus d'une heure trente, et c'est déjà un exploit.
8 candidats. Une offre d'emploi. Bienvenue à l'examen de recrutement le plus pointilleux et pervers qui puisse être. Oubliez les offres Pôle Emploi, pour cette examen, une seule réponse et pas de question.
Exam réussit très bien à nous plonger dans l'ambiance. Sous forme de huit clos, le film démarre en nous happant pleinement dans l'histoire. Immédiatement intéressant de part son côté original, pervers et qui donne à réfléchir autant que nos 8 candidats, on se laisse prendre au jeu. Evidemment, on se doute que cela ne se passera pas bien de par le caractère très terne et froid de l'ensemble. Tromperies, intimidation, réflexions et alliance, chaque candidat testera ses limites et sa détermination. Mais si l'ensemble se laisse apprécier sans temps mort ni ennui, la personnalité un peu caricaturale de l'ensemble des personnages nuit au côté imprévisible de la situation et la fin ne convainc pas totalement en venant un peu ternir l'idée de départ même si l'ensemble se tient. Un film intéressant et prenant sous être inoubliable qui rappelle sans être comparable, Cube de Vincenzo Natali.
Exam réussit très bien à nous plonger dans l'ambiance. Sous forme de huit clos, le film démarre en nous happant pleinement dans l'histoire. Immédiatement intéressant de part son côté original, pervers et qui donne à réfléchir autant que nos 8 candidats, on se laisse prendre au jeu. Evidemment, on se doute que cela ne se passera pas bien de par le caractère très terne et froid de l'ensemble. Tromperies, intimidation, réflexions et alliance, chaque candidat testera ses limites et sa détermination. Mais si l'ensemble se laisse apprécier sans temps mort ni ennui, la personnalité un peu caricaturale de l'ensemble des personnages nuit au côté imprévisible de la situation et la fin ne convainc pas totalement en venant un peu ternir l'idée de départ même si l'ensemble se tient. Un film intéressant et prenant sous être inoubliable qui rappelle sans être comparable, Cube de Vincenzo Natali.
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