Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
"Nous Sommes La Nuit" n'est que le reflet de la vie banale de milliers de gens se réfugiant dans l'hédonisme ou refusant le passage à l'âge adulte. Cette vie dénuée de tout bons sens est aussi terrifiante que fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Critikat.com
par Ursula Michel
A tout prendre, les harpies dévergondées de Gansel restent largement plus fréquentables que les midinettes fades et fleur bleue de Stephenie Meyer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
Ce long-métrage est un témoignage sur son époque et plus particulièrement sur la fréquentation assidue des boîtes de nuit berlinoises branchées et l'éternelle recherche de la jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Humanité
par Vincent Ostria
Pas de quoi réveiller Friedrich Murnau ni Max Schreck, mais il faut bien que jeunesse se passe. On peut se résumer ça par un mot d'origine allemande : kitsch.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Mad Movies
par Cédric Delelée
(...) "Nous sommes la nuit" serait-il en réalité un film encore plus moralisateur que celui qu'il prétend dénoncer ? (...) Mais l'énergie de la mise en scène, (...) sa poésie crépusculaire et le physique plus next door que glamour des comédiennes rendent le spectacle suffisamment attachant (...).
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Télérama
par Guillemette Odicino
Pour le joli visage de Karoline Herfurth (une Juliette Binoche allemande), on prendra un plaisir coupable à cette série B premier degré...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Alex Masson
"Nous sommes la nuit" a les crocs beaucoup trop émoussés pour qu'on en soit mordus.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Sabri Louatah
Comme disait Platon, Eros est fils de la pauvreté et de l'invention, et on a en effet rarement vu aussi peu de désir que dans ce film de fantasmes luxueux passés au milkshake : les corps y sont aussi fake que dans Agence Acapulco, les visages aussi froids que sur les panneaux publicitaires de nos grandes villes du nord.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site StudioCine Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Brazil
"Nous Sommes La Nuit" n'est que le reflet de la vie banale de milliers de gens se réfugiant dans l'hédonisme ou refusant le passage à l'âge adulte. Cette vie dénuée de tout bons sens est aussi terrifiante que fascinante.
Critikat.com
A tout prendre, les harpies dévergondées de Gansel restent largement plus fréquentables que les midinettes fades et fleur bleue de Stephenie Meyer.
L'Ecran Fantastique
Ce long-métrage est un témoignage sur son époque et plus particulièrement sur la fréquentation assidue des boîtes de nuit berlinoises branchées et l'éternelle recherche de la jeunesse.
L'Humanité
Pas de quoi réveiller Friedrich Murnau ni Max Schreck, mais il faut bien que jeunesse se passe. On peut se résumer ça par un mot d'origine allemande : kitsch.
Mad Movies
(...) "Nous sommes la nuit" serait-il en réalité un film encore plus moralisateur que celui qu'il prétend dénoncer ? (...) Mais l'énergie de la mise en scène, (...) sa poésie crépusculaire et le physique plus next door que glamour des comédiennes rendent le spectacle suffisamment attachant (...).
Télérama
Pour le joli visage de Karoline Herfurth (une Juliette Binoche allemande), on prendra un plaisir coupable à cette série B premier degré...
Première
"Nous sommes la nuit" a les crocs beaucoup trop émoussés pour qu'on en soit mordus.
Chronic'art.com
Comme disait Platon, Eros est fils de la pauvreté et de l'invention, et on a en effet rarement vu aussi peu de désir que dans ce film de fantasmes luxueux passés au milkshake : les corps y sont aussi fake que dans Agence Acapulco, les visages aussi froids que sur les panneaux publicitaires de nos grandes villes du nord.
Studio Ciné Live
Voir le site StudioCine Live.