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VOSTTL
92 abonnés
1 919 critiques
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3,0
Publiée le 2 avril 2012
Ce film aurait pu s’appeler « Le fugitif », l’affiche en a de faux airs et inversement « Le fugitif » aurait pu s’intituler « La proie ». Pour un film français, c’est un bon film, un bon divertissement dans le sens noble du terme. Tous les rôles sont crédibles jusqu’à la belle Taglioni. Dupontel qui effectue ses cascades ajoute une plus value à son engagement artistique. Il y a peut-être surenchère de rebondissements, « trop à l’américaine », peu importe, il n’y a pas de temps mort, ça speed et je suis resté scotché du début à la fin. Le scénario n’apporte pas de nouveauté mais il est bien ficelé.
Je crois qu'ils ont oublié de s'acheter un dialoguiste. Dupontel tente de sauver le film tant bien que mal, mais c'est loin de suffire face à la platitude et à l'absurdité des dialogues.
Ca commence vraiment bien, j'me dis "il a l'air bien ce film !!!'...mais ça ne dure pas longtemps. D'abord quelques petites invraissemblances...puis des plus grosses et enfin c'est l'apothéose, ça devient n'importe quoi, je n'y crois absolument plus. Un navet à éviter...pourtant je m'étais dit...avec Dupontel...eh ben non.
Il s'agit là d'un de mes thrillers préférés (ils sont rares étant donné que ce n'est pas trop mon style de film). Le film ne nous lâche pas une seconde avec une bonne dose d'adrénaline et d'action. Il n'y a aucun temps mort. Les acteurs jouent très bien avec un Dupontel brillant et l'acteur qui joue Maurel très fort dans son rôle de psychopate pervers et manipulateur. Ce thriller ne m'a vraiment pas déçu.
Un jeu du chat et de la souris porté à l'écran avec un très bon Dupontel. Voila en sommes ce qu'il faut retenir de ce film, qui laisse parfois à désirer sur le plan du scenario avec de nombreuses facilités et quelques incompréhensions. La proie reste toutefois un agréable thriller, notamment la première partie du film dans la prison.
Sans atteindre le niveau du "Fugitif" avec Harrison Ford, "La proie" offre un divertissement plus qu'honnête dans le même genre,ne délaissant jamais ses personnages au profit de l'action, ce qui est le gros défaut des productions Europa. Mise en scène musclé et tendu, bien découpé et lisible "La proie"offre a ses acteurs de belles perfomances notament Albert Dupontel impliqué à fond dans son rôle, l'acteur effectuant ses cascades lui même, lui au moins ne prend pas du muscle pour rien. Une autre qualité de "La proie", est qu'il assume sa nationalité fançaise en intégrant des éléments de notre paysage comme un pavillon et s'en sert même dans ses scènes d'action et de suspense. Visuellement cela offre un dépaysement.
Très bien ficelé, intrigue qui noue le ventre, jusqu'à la fin. La résistance humaine, la volonté et ses ressorts, la perversité, l'intelligence des protagonistes. Albert DUPONTEL , le plus costaud : qui dit mieux
Un bon thriller réalisé par Eric Valette, avec en vedette un Albert Dupontel crédible dans son rôle et très physique (vu que celui-ci exécute lui-même ses cascades). La course-poursuite et donc les scènes d'actions nous tiennent en haleine jusqu'à la fin du film. Niveau scénario, c'est basique mais efficace. Bref, ce n'est pas un chef d’œuvre du genre mais il assure le spectacle et est divertissant à regarder. On a pas l'impression d'avoir perdu son temps devant. Par contre, la fin est plus que légèrement téléphonée mais pas gênante.
J'ai trouvé ce film très caricatural, très peu de suspens et beaucoup de facilités scénaristiques. Dupontel et Taglioni sont bons dans leurs rôles (même si celui de la super flic c'est du vu, revu et re-revu), en revanche l'acteur qui joue Maurel (look et attitude du personnage ne sont pas sans rappeler Stanley Tucci dans Lovely Bones, moi j'y ai pensé pendant tout le film) est très mauvais je trouve. Une déception pour ma part, rien d'original, mais encore un bravo à Dupontel qui s'est totalement investi dans le rôle, jusqu'à effectuer la plupart des cascades lui-même!
Du même Valette, j'avais beaucoup apprécié son "Une Affaire d'Etat" notamment pour son aspect western. "La Proie" semble un peu moins aboutie, notamment si l'on regarde de près le scénario. Néanmoins, c'est un divertissement efficace et bien joué dont les scènes d'actions vitaminées (et réaliste) n'ont rien à envier au cinéma américain.
une belle petite surprise ce film, on joue dans le genre polar/action a l'americaine sauf que c'est bien français, et meme si desfois on pousse un peu le bouchon, le film se defend bien dans l'ensemble,albert dupontel joue du muscle et des cascades et il s'en sort vraiment bien, apres le film se perd un peu d'une scene a l'autre ,mais au final sa reste un bon film!!!!
Bonne idée de départ. Parfois il est vrai que c'est très gros, invraisemblable et tombe dans la facilité pour passer d'une scène à l'autre mais je ne sais pas ça se laisse bien regarder je n'ai pas passé un mauvais moment. Disons 11,5/20.
De nouveau, Albert Dupontel se retrouve « enfermé dehors ». Mais cette fois, il est en fuite, objet d’une traque et meneur d’une autre. On court donc beaucoup dans le nouveau d’Eric Vallette, qui se frotte à un scénario millimétré et froid, pointant très nettement vers les thrillers américains et, nouveauté 2011 oblige, vers leurs versions télévisuelles de ces dix dernières années, plus crûment réalistes. Ici, la violence sent l’hémoglobine et la sueur, et les coups de poing distribués à tout-va font très distinctement craquer les os, pour le plus grand frisson de nos oreilles. C’est plein de ces bonnes intentions que le film démarre à toute vitesse, pour tenir le pari de la longue distance. Cependant, malgré des séquences d’introduction plutôt prenantes (et surprenantes), qui nous permettent de découvrir un Dupontel sauvage et tout en muscles, " La proie " se retrouve vite handicapée par des points de côté récurrents et malheureux qui viennent l’arrêter dans sa course. A trop vouloir s’inspirer de la maîtrise hollywoodienne en matière d’action, la réalisation s’enlise dans un entre-deux un peu bancal, modérément haletant, et qui se réfugie derrière la violence et des effets sonores démesurés. Surtout, la crédibilité de l’ensemble demeure fragile, tant au niveau de l’intrigue que des personnages. " La proie " se voulait à la hauteur des séries américaines ; on lorgne davantage du côté des honnêtes productions télévisuelles françaises du vendredi soir, soirée de polars. Le « grand méchant » de l’histoire, un tueur pédophile menant en province une bonne vie de famille, présenté par le scénario comme un pervers terrifiant, prête en réalité plutôt à sourire... Et si quelques idées scénaristiques heureuses émergent ça et là (notamment le personnage incarné par Natacha Rénier), le casting prestigieux rassemblé pour l’occasion peut difficilement rattraper des personnages « utilitaires » ou tout bonnement plats. Moralité ? Rien de sert de courir trop vite... il faudra la prochaine fois partir à point.