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Solondz veut choquer et il y parvient. On peut refuser l'entreprise et sortir au bout de dix minutes. Mais si l'on tient le coup, « Happiness » devient une expérience réellement sidérante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) ce serait être aveugle (et sourd) que de ne pas reconnaître la qualité exceptionnelle d'une interprétation où une dizaine de rôles d'importance à peu près égale (...) sont tenus avec un égal talent par des interprètes pour la plupart peu connus.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...)le jeune auteur américain nous écorche vif avec une douceur toute fraternelle. Certains ne l'en trouveront peut-être que plus pervers. C'est çui qui dit qui y est.
La critique complète est disponible sur le site Première
Il n'est guère besoin d'aller très loin pour deviner que, dans Happiness, Todd Solondz parle d'abord à la première personne et règle ses comptes avec la banlieue bien-pensante où il a grandi. Mais sa critique souffre de systématisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce qui cloche, c'est l'absolue certitude et arrogance que les affres de la classe moyenne américaine (...)ont un tel intérêt qu'elles suffisent à faire avaler la petitesse popotte du propos.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
(l') un des meilleurs films du jeune cinéma américain récent (...)
L'Obs
Solondz veut choquer et il y parvient. On peut refuser l'entreprise et sortir au bout de dix minutes. Mais si l'on tient le coup, « Happiness » devient une expérience réellement sidérante.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
(...) ce serait être aveugle (et sourd) que de ne pas reconnaître la qualité exceptionnelle d'une interprétation où une dizaine de rôles d'importance à peu près égale (...) sont tenus avec un égal talent par des interprètes pour la plupart peu connus.
Première
(...)le jeune auteur américain nous écorche vif avec une douceur toute fraternelle. Certains ne l'en trouveront peut-être que plus pervers. C'est çui qui dit qui y est.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
(...) le film de Solondz porte une (...) leçon : il n'y plus rien d'obscène quand le réel est filmé comme un sitcom.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Il n'est guère besoin d'aller très loin pour deviner que, dans Happiness, Todd Solondz parle d'abord à la première personne et règle ses comptes avec la banlieue bien-pensante où il a grandi. Mais sa critique souffre de systématisme.
Télérama
Ce n'est pas tant la provocation, en fait, qui irrite chez Todd Solondz, mais la lourdeur.
L'Evénement
C'est grotesque, obscène et indigent. Ne vous y égarez pas.
Libération
Ce qui cloche, c'est l'absolue certitude et arrogance que les affres de la classe moyenne américaine (...)ont un tel intérêt qu'elles suffisent à faire avaler la petitesse popotte du propos.