Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
(l') un des meilleurs films du jeune cinéma américain récent (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Solondz veut choquer et il y parvient. On peut refuser l'entreprise et sortir au bout de dix minutes. Mais si l'on tient le coup, « Happiness » devient une expérience réellement sidérante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Michel Pascal
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
par Jean-Pierre Coursodon
(...) ce serait être aveugle (et sourd) que de ne pas reconnaître la qualité exceptionnelle d'une interprétation où une dizaine de rôles d'importance à peu près égale (...) sont tenus avec un égal talent par des interprètes pour la plupart peu connus.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gilles Verdiani
(...)le jeune auteur américain nous écorche vif avec une douceur toute fraternelle. Certains ne l'en trouveront peut-être que plus pervers. C'est çui qui dit qui y est.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Bouquet
(...) le film de Solondz porte une (...) leçon : il n'y plus rien d'obscène quand le réel est filmé comme un sitcom.
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Il n'est guère besoin d'aller très loin pour deviner que, dans Happiness, Todd Solondz parle d'abord à la première personne et règle ses comptes avec la banlieue bien-pensante où il a grandi. Mais sa critique souffre de systématisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Murat
Ce n'est pas tant la provocation, en fait, qui irrite chez Todd Solondz, mais la lourdeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Evénement
par Elizabeth Gouslan
C'est grotesque, obscène et indigent. Ne vous y égarez pas.
Libération
par Gérard Lefort
Ce qui cloche, c'est l'absolue certitude et arrogance que les affres de la classe moyenne américaine (...)ont un tel intérêt qu'elles suffisent à faire avaler la petitesse popotte du propos.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
(l') un des meilleurs films du jeune cinéma américain récent (...)
L'Obs
Solondz veut choquer et il y parvient. On peut refuser l'entreprise et sortir au bout de dix minutes. Mais si l'on tient le coup, « Happiness » devient une expérience réellement sidérante.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
(...) ce serait être aveugle (et sourd) que de ne pas reconnaître la qualité exceptionnelle d'une interprétation où une dizaine de rôles d'importance à peu près égale (...) sont tenus avec un égal talent par des interprètes pour la plupart peu connus.
Première
(...)le jeune auteur américain nous écorche vif avec une douceur toute fraternelle. Certains ne l'en trouveront peut-être que plus pervers. C'est çui qui dit qui y est.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
(...) le film de Solondz porte une (...) leçon : il n'y plus rien d'obscène quand le réel est filmé comme un sitcom.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Il n'est guère besoin d'aller très loin pour deviner que, dans Happiness, Todd Solondz parle d'abord à la première personne et règle ses comptes avec la banlieue bien-pensante où il a grandi. Mais sa critique souffre de systématisme.
Télérama
Ce n'est pas tant la provocation, en fait, qui irrite chez Todd Solondz, mais la lourdeur.
L'Evénement
C'est grotesque, obscène et indigent. Ne vous y égarez pas.
Libération
Ce qui cloche, c'est l'absolue certitude et arrogance que les affres de la classe moyenne américaine (...)ont un tel intérêt qu'elles suffisent à faire avaler la petitesse popotte du propos.