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Vinz1
179 abonnés
2 432 critiques
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2,0
Publiée le 29 octobre 2022
Malgré une scène d'ouverture impressionnante qui ne ravira pas les végétariens mais certainement la séquence la plus choc du film car réelle, les scénettes sont un peu molles du genou et des longueurs viennent s'ajouter à un jeu d'acteur des plus déplorables. Bref, pas très convaincant, choquant ou encore déroutant. C'est assez divertissant, certes, mais rapidement oubliable et seul Buddy restera dans les annales comme l'un des tueurs les plus drôles de la galerie des meurtriers présents dans les slashers. Mais bon, il ne sauve pas à lui tout seul le film d'un naufrage certain. A voir donc comme ça, si vous tombez dessus par hasard.
4 554 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 24 avril 2021
J'aurais dû savoir que ce film allait être mauvais rien qu'en regardant la couverture. Il veut être cool tout en voulant être effrayant et échoue lamentablement aux deux. Il s'agit d'un groupe de bureaucrates locaux qui essaient de saisir un abattoir de porcs qui était le pain et le beurre de la ville. Le propriétaire ne l'apprécie guère alors il demande à son fils qui ne peut parler qu'en faisant des bruits de cochon d'éliminer les gros bonnets responsables de l'entreprise un par un. Il s'agit d'une tentative très boiteuse de film d'horreur et quiconque cherche à s'effrayer ou à passer un bon moment devrait éviter L'abattoir comme la peste car c'est un film d'horreur qui s'adresse surtout aux déficients mentaux...
Premier et unique long-métrage pour Rick Roessler qui réalise avec L'Abattoir (1987) aka "Maniac", une grotesque Série B horrifique où tout aura été qu’un prétexte à plagier le cultissime Massacre à la tronçonneuse (1974) de Tobe Hooper.
Le film met en scène le fils du propriétaire d’un ancien abattoir. Buddy, sous ses faux airs de redneck répugnant (affublé d’une queue de cochon en guise de collier), est aussi un psychopathe à ses heures perdues. Ce dernier manie aussi bien le hachoir que ma grand-mère savait manier des aiguilles à tricoter. Un dégénéré qui a la particularité de couiner à défaut de parler, comme les cochons avec lesquels il aime passer du bon temps.
Cette pâle copie du chef d’œuvre de Hooper s’avère aussi lénifiante qu’inutile. Il ne s’y passe absolument pas grand-chose, en dehors de quelques mises à mort qui se comptent sur les doigts de la main, le reste ne sera que du remplissage pour atteindre péniblement 80min au compteur.
Un budget infinitésimal (100 000$) et un manque évident de talent & de compétence, viendront tueur dans l’œuf ce slasher.
Une bande de jeunes solitaires croisent un abattoir. Ils vont entrer à l'intérieur pour y découvrir ce qu'il s'y trouve mais le boucher est un taré. Un petit série z vraiment pas mal, l'homme boucher est particulièrement inquiétant. Sans parler des scènes de torture, qui font beaucoup penser aux scènes de "Massacre à la tronçonneuse" de Tobe Hooper. Une étonnante curiosité.
un bon film, gore, saignant, mais plutôt du genre -12 ou -16. au fait, le titre du dvd, "maniac", veut imiter le film d'horreur culte des années 70-80! je me suis fait avoir.
Les années 80, ce n'est pas que Reagan, le sourire immaculé d'éphèbes californiens ou le New-Wave, non c'est aussi le slasher. Sous-genre d'un sous-genre, le film d'horreur. Dans la campagne américaine, il ne fait pas bon être boucher, mieux vaut être trader ou magnat du pétrole. Lester Bacon est sommé de vendre son abattoir, en faillite, ou on le lui prendra sur décision de justice. Ah ouais ? les mecs savent que Buddy, le fils de Lester, est un ami des cochons (avec lesquels il s'entretient régulièrement) et qu'il n'est franchement pas sympathique ? La ville se prépare à la Fête Du Porc.... Unique réalisation (merci mon dieu) de Rick Roessler, Slaughterhouse et ses rednecks naviguent dans les abysses d'un genre en sursis. Filmé en 35mm, l'image du métrage est repoussante malgré une ressemblance lointaine avec Texas Chainsaw Massacre. Loin d'arriver à la cheville du film de Tobe Hooper, L'Abattoir est une production à l'humour noir parfois sympathique (Buddy au volant de la voiture de police) mais à la tension inexistante. Même les scènes gores et l'utilisation de quelques litres de -faux- sang rendent le tout assez indigeste. Santé ! le seul point positif ? ben, euh, attendez, euh, ah oui, les maquillages à l'ancienne qui ont de la gueule. Toutes les pires incohérences, toutes les situations les plus éculées sont concentrées dans ce film. On ne s'offusquera donc pas que ce film ne soit pas sorti en Europe et qu'il soit tant décrié. Le slasher se couvrait de ridicule et allait précipiter sa chute. La morale de l'histoire ? Faut pas faire ch...un garçon boucher. 1,5/5
L'histoire est basique mais pas déplaisante, les scènes gore dignes d'un bon Vendredi 13 et l'interprétation n'est pas si mauvaise pour un slasher des années 80. Mais le seul problème avec L'abattoir, c'est sa réalisation. Rick Roessler n'est pas un grand metteur en scène (ça serait d'ailleurs son unique film), il se contente de tourner les plans de son scénario sans originalité ni panache. Pour preuve, le film démarre sur une bande de jeunes isolés à la campagne, rigolant et buvant jusqu'à ce qu'au bout de 5mn, Buddy, le fameux boogeyman du film arrive comme un cheveu sur la soupe et tue deux d'entre eux. On reste con. Pas de suspense, pas de vue à la première personne, juste un gros redneck attardé qui tue au hachoir. Et le film suit son court, pareil, sans surprise. Un slasher anodin donc, à voir pour sa rareté.