Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Jean Roy
Cette chronique provinciale, qui se concentre essentiellement sur l'opposition entre les deux principaux protagonistes, est filmée de manière lisse, dans le respect du classicisme. La mise en scène se dissimule pour mettre en valeur l'intrigue. On n'en demande pas plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Olivier de Bruyn
voir la critique sur lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Christophe Narbonne
Avec sa photo légèrement floue et ses couleurs passées, le premier film français du Tadjik Djamshed Usmonov évoque les ambiances feutrées des films chabroliens des années 70, la douceur apparente semblant dissimuler de terribles secrets et de sordides pensées...
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un jeu du chat et de la souris servi par une mise en scène élégante et épurée, tout en ambiguïté sentimentale et tension sexuelle refoulée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) un film sobre, au rythme et au suspense parfaitement tenus, convaincant dans son atmosphère comme dans l'interprétation du trio qui le porte (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le rythme est lent mais le jeu de piste fonctionne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
"Le Roman de ma femme", sans tout à fait convaincre, interpelle par son hors-champ proliférant, sa narration à contretemps.
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Le cinéaste peine à tirer de la solitude de ces personnages des situations dramatiques intéressantes, tant son dispositif de mise en scène semble aussi codifié que le milieu social servant comme toile de fond.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Elise Pinsson
Conquis dans un premier temps par la simplicité romanesque de la mise en scène et par la justesse de ton de Léa Seydoux, on se lasse en cours de film.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Soudain le film semble bifurquer pour se perdre dans une intrigue si fabriquée que la conclusion elle-même ne parviendra pas à la débrouiller.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Au bout du compte, la transplantation du cinéaste hors de son terreau natal n'aura produit qu'un fruit un peu fade.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La Rédaction
Le cinéaste semble passablement égaré dans cette imitation de cinéma d'auteur français, touchante mais loupée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
En passant du Tadjikistan à la France, Djamshed Usmonov a trouvé un confort qui semble avoir annihilé sa singulière créativité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Louis Guichard
Malgré Léa Seydoux, bien filmée, douée pour l'opacité, "Le Roman de ma femme" (...) tourne à vide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette, Emmanuèle Frois
Une intrigue alambiquée pour un film atone, qui remixe les poncifs du genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
D'une laideur esthétique qui renvoie aux plus plates dramatiques télévisuelles, le film aligne un scénario tiré par les cheveux, des personnages sans consistance, des dialogues ineptes, des scènes vidées de leur substance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Humanité
Cette chronique provinciale, qui se concentre essentiellement sur l'opposition entre les deux principaux protagonistes, est filmée de manière lisse, dans le respect du classicisme. La mise en scène se dissimule pour mettre en valeur l'intrigue. On n'en demande pas plus.
Le Point
voir la critique sur lepoint.fr
Première
Avec sa photo légèrement floue et ses couleurs passées, le premier film français du Tadjik Djamshed Usmonov évoque les ambiances feutrées des films chabroliens des années 70, la douceur apparente semblant dissimuler de terribles secrets et de sordides pensées...
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Un jeu du chat et de la souris servi par une mise en scène élégante et épurée, tout en ambiguïté sentimentale et tension sexuelle refoulée.
La Croix
(...) un film sobre, au rythme et au suspense parfaitement tenus, convaincant dans son atmosphère comme dans l'interprétation du trio qui le porte (...).
Le Journal du Dimanche
Le rythme est lent mais le jeu de piste fonctionne.
Cahiers du Cinéma
"Le Roman de ma femme", sans tout à fait convaincre, interpelle par son hors-champ proliférant, sa narration à contretemps.
Critikat.com
Le cinéaste peine à tirer de la solitude de ces personnages des situations dramatiques intéressantes, tant son dispositif de mise en scène semble aussi codifié que le milieu social servant comme toile de fond.
Excessif
Conquis dans un premier temps par la simplicité romanesque de la mise en scène et par la justesse de ton de Léa Seydoux, on se lasse en cours de film.
L'Obs
(...) Soudain le film semble bifurquer pour se perdre dans une intrigue si fabriquée que la conclusion elle-même ne parviendra pas à la débrouiller.
Les Inrockuptibles
Au bout du compte, la transplantation du cinéaste hors de son terreau natal n'aura produit qu'un fruit un peu fade.
Libération
Le cinéaste semble passablement égaré dans cette imitation de cinéma d'auteur français, touchante mais loupée.
Positif
En passant du Tadjikistan à la France, Djamshed Usmonov a trouvé un confort qui semble avoir annihilé sa singulière créativité.
Télérama
Malgré Léa Seydoux, bien filmée, douée pour l'opacité, "Le Roman de ma femme" (...) tourne à vide.
Le Figaroscope
Une intrigue alambiquée pour un film atone, qui remixe les poncifs du genre.
Le Monde
D'une laideur esthétique qui renvoie aux plus plates dramatiques télévisuelles, le film aligne un scénario tiré par les cheveux, des personnages sans consistance, des dialogues ineptes, des scènes vidées de leur substance.