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Votre avis sur Le Dernier rempart ?
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Ce film de série B marque le retour au cinéma de Schwarzy dans un rôle principal après dix ans d’absence. « Le dernier rempart » cumule volontairement les clichés des films d’action des années 80 (fusillades dans la bonne humeur, vannes du méchant…) et des westerns avec John Wayne (prédominance des armes à feu,
spoiler:
le prisonnier nommé adjoint du shérif pour défendre la ville
, le SWAT et le FBI remplaçant ici la cavalerie). Seul le sang qui gicle des crânes sous l’impact des balles fait « moderne ». Le scénario est simple, classique mais pas très réaliste (voir spoiler: le plan inutilement compliqué du méchant pour passer la frontière
). Le visage ridé, étiré, les cheveux hirsutes et la démarche lourde, Schwarzy tire sûrement ses dernières cartouches. A noter deux passages drôles relatifs à son âge : lorsqu’il traverse une vitrine, ses administrés lancent : « Comment vous sentez-vous shérif ? » Réponse de l’intéressé : spoiler: « Vieux »
; ou quand spoiler: une très vieille dame encore plus âgée que lui tue un des méchants.
Bref, ce film est réservé aux nostalgiques, fans de Schwarzy.
, le SWAT et le FBI remplaçant ici la cavalerie). Seul le sang qui gicle des crânes sous l’impact des balles fait « moderne ». Le scénario est simple, classique mais pas très réaliste (voir spoiler: le plan inutilement compliqué du méchant pour passer la frontière
). Le visage ridé, étiré, les cheveux hirsutes et la démarche lourde, Schwarzy tire sûrement ses dernières cartouches. A noter deux passages drôles relatifs à son âge : lorsqu’il traverse une vitrine, ses administrés lancent : « Comment vous sentez-vous shérif ? » Réponse de l’intéressé : spoiler: « Vieux »
; ou quand spoiler: une très vieille dame encore plus âgée que lui tue un des méchants.
Bref, ce film est réservé aux nostalgiques, fans de Schwarzy.
Caine78
C'est sûr, rien de bien original dans le scénario ou dans l'évolution du récit, mais j'ai presque envie de dire qu'importe. Alors qu'on aurait pu craindre que Kim Jee-woon soit écrasé par la machine hollywoodienne comme tant d'autres avant lui, celui-ci, malgré un évident cahier des charges, s'amuse comme un fou à travers une réalisation hyper-stylisée et incroyablement rythmée, ressuscitant avec brio les « action movies » des années 80-90 dont la présence d'Arnold Schwarzenegger ne fait que renforcer la belle impression. On a beau ainsi souvent se demander s'il faut prendre cela au premier ou au second degré, on s'amuse énormément devant certaines « punchlines » réjouissantes et surtout des scènes plus spectaculaires les unes que les autres, le dernier tiers s'inspirant même ouvertement de « Rio Bravo » avec un certain panache : difficile de résister ! Dommage alors que le combat final se révèle aussi décevant et que le récit n'ait pas cherché à être plus audacieux, mais fort d'un casting idéal (la belle Jaimie Alexander, Luis Guzman, Peter Stormare, entre autres) et d'un dynamisme à toute épreuve, « Le Dernier rempart » reste un divertissement idéal, souvent drôle et terriblement efficace : une vraie bonne surprise.
Kim Jee-Woon nous délivre là un film d'action basique certes, mais qui se démarque toutefois par sa redoutable efficacité. Le Dernier Rempart s'avère être très fortement intense grâce à un spectacle remarquable servi par des séquences d'actions absolument époustouflantes et explosives. Le film brille essentiellement de ça mais également par son ambiance des plus captivante et acharnée accentué par une virevoltante traque sous d'excellentes musiques. Les acteurs sont excellents, Arnold Schwarzenegger est toujours au top de sa forme malgré l'âge et nous livre des combats aux corps à corps et des fusillades déchaînés et spectaculaires. Toutefois le film n'est pas sans défaut, et cet essentiel défaut se situe au niveau de l'histoire que l'on peut qualifier comme étant peu cohérente auquel on peut ajouter et souligner cette manque de prise de risque.
Un bon petit film, bien réussit où j'ai pris du plaisir de retrouver Arnold Schwarzenegger en personnage principal. La réalisation de Jee-woon Kim est pas mal, sans être aucunement novatrice. Le rythme est soutenu, le visuel est soigné et le scénario est banal, voir déjà vu, mais dans le genre, on y ait plus ou moins obligé. Le casting est appétissant : Scharzy qui malgré l’âge est toujours en pleine forme, Peter Stormare qui se fait véritablement plaisir et Forest Whitaker qui est toujours aussi excellent. Bref, sa envoie du lourd, et même si quelques moments peuvent paraître inutile et légèrement long, l'ensemble surpasse cela est nous offre un bon film d'action qui remplit très bien sa part du contrat. 4/5
Déception... Pourtant sur le papier ce film semblait pas mal... Un western spaghetti à la sauce moderne réalisé par Kim Jee-woon, ça ne pouvait être que bien ! Et ben non…
Ceux qui ont vu « Le bon, la brute et le cinglé » ont peut-être comme moi attendu un film du même calibre. Oublier tout de suite l’humour déjanté et les personnages hauts en couleurs qu’on y trouvait puisque dans « Le dernier rempart » ça ne fonctionne pas du tout.
Tellement de choses paraissent grossières dans ce film j’en suis encore choqué ! Les personnages sont tous des clichés ambulants et sonnent très creux, l’humour m’a laissé de marbre (pour ne pas dire pourri) et le scénario m’a insupporté (scène émotion à la con, rebondissement ultra attendu, …).
L’ambiance qui pouvait rattraper le film n’est pas non plus au rendez-vous. Un coup on suit le shérif dans son village perdu, un autre coup on suit le FBI à Las Vegas. En plus de casser le rythme, on a l’impression de suivre à la fois un western et un film policier, ça donne un mélange un peu bizarre.
On sent que Kim Jee-woon essaye de nous faire croire que « Le dernier rempart » est un western spaghetti mais il s’apparente plus à un film d’action qu’autre chose. Bien sûr on retrouve certains codes des westerns comme le shérif droit dans ses bottes ou l’affrontement avec les bad boys dans l’allée principale de la ville mais rien à faire ça ne prend pas. Peut-être du à un manque de tension et de temps mort…
Bref, je préfère me rappeler des autres films de Kim Jee-woon que j’avais aimé comme « A Bittersweet Life » ou « J’ai rencontré le Diable », je finirai donc cette critique par un message personnel adressé au réalisateur : ressaisis toi Kim, bordel !! :)
Ceux qui ont vu « Le bon, la brute et le cinglé » ont peut-être comme moi attendu un film du même calibre. Oublier tout de suite l’humour déjanté et les personnages hauts en couleurs qu’on y trouvait puisque dans « Le dernier rempart » ça ne fonctionne pas du tout.
Tellement de choses paraissent grossières dans ce film j’en suis encore choqué ! Les personnages sont tous des clichés ambulants et sonnent très creux, l’humour m’a laissé de marbre (pour ne pas dire pourri) et le scénario m’a insupporté (scène émotion à la con, rebondissement ultra attendu, …).
L’ambiance qui pouvait rattraper le film n’est pas non plus au rendez-vous. Un coup on suit le shérif dans son village perdu, un autre coup on suit le FBI à Las Vegas. En plus de casser le rythme, on a l’impression de suivre à la fois un western et un film policier, ça donne un mélange un peu bizarre.
On sent que Kim Jee-woon essaye de nous faire croire que « Le dernier rempart » est un western spaghetti mais il s’apparente plus à un film d’action qu’autre chose. Bien sûr on retrouve certains codes des westerns comme le shérif droit dans ses bottes ou l’affrontement avec les bad boys dans l’allée principale de la ville mais rien à faire ça ne prend pas. Peut-être du à un manque de tension et de temps mort…
Bref, je préfère me rappeler des autres films de Kim Jee-woon que j’avais aimé comme « A Bittersweet Life » ou « J’ai rencontré le Diable », je finirai donc cette critique par un message personnel adressé au réalisateur : ressaisis toi Kim, bordel !! :)
Humour et action sont au rendez vous. Mister Arnold a prit un gros coup de vieux mais assure tout le long du film. Un retour fracassant!!
trés bon film d'action avec un arnold en pleine forme. retour réussi pour un acteur sympathique et charismatique qui envoi encore quelques punchline bien senti
Un Schwarzy classique...mais à la fois original. FBI et artillerie lourde sont au rendez-vous, mais y intégrer l'histoire d'une voiture trafiquée et surpuissante a son charme, surtout quand les plans sont dynamiques et l'image puissante. La façon dont les deux intrigues d'abord parallèles se mêlent est séduisante, même si la mort garde dans les deux camps son aspect irréel propre au cinéma. Les fusillades irréfléchies sont là, mais comme teintées d'une sorte d'autodérision, avec le personnage de Dinkum surtout. Au final très mitigé mais original dans le stéréotype.
Après dix ans d’interruption, la carrière de Schwarzy redémarre sur les chapeaux de roues avec ce Dernier Rempart qui a démontré que les jeunes ont bien oublié la star bodybuildée vu le bide international du film. Il faut dire que l’on attendait sans doute autre chose de l’association entre Schwarzy et le réalisateur coréen de J’ai rencontré le diable (authentique chef d’œuvre) qu’une banale série B très cartoonesque. Effectivement, absolument rien n’est crédible dans ce grand barnum qui n’en demeure pas moins sympathique pour peu qu’on laisse son cerveau et son esprit critique à la cave. Schwarzy joue toujours comme un pied et le réalisateur sait aligner les morceaux de bravoure avec une caméra agile. Mais faute d’un véritable scénario, tout ceci tourne un peu à vide et semble nous ramener plus de vingt ans en arrière au temps des films bourrins d’Eastwood et de Bronson. On connait l’amour du cinéaste pour le western, mais il lorgne un peu trop de ce côté pour satisfaire le public contemporain. Bref, ce n’est pas un naufrage, mais on n’en est jamais très loin quand même (voir les interventions stupides de Knoxville en mode Jerry Lewis).
Governator is back ! Sorti de sa retraite politique qui flirtait bien souvent avec le mauvais goût et les envolées médiatiques douteuses, Schwarzy revient dans son élément : le film d'action bourrin qui ne fatigue pas trop les méninges (et c'est peu dire). Réalisé par le talentueux coréen Jee-Woon Kim, dont c'est le baptême du feu au pays de l'Oncle Sly, « Le dernier rempart » remplit son cahier des charges sans trop forcer. Courses poursuites spectaculaires, fusillades démentes (dans le style spaghetti, source d'inspiration du coréen dans quelques-unes de ses réalisations locales), corps à corps musclés, punchlines imparables, quintaux de nitroglycérine, hectomoles de testostérone, une bavette à point, un café noir et l'addition... Il faut avouer que le spectateur amateur du genre est plutôt bien servi dans ce torrent de virilité qui ne s'embarrasse jamais de logique et de cohérence, ou autres artifices scénaristiques. Avec Forest Whitaker, en agent du FBI habité, et Eduardo Noriega, en méchant mexicain de service, un film gros, bête et purement exutoire. Il aurait même parfois mérité d'aller encore plus loin, car force est de constater que c'est bigrement efficace. A l'instar de la plupart des films de Schwarzy : du plaisir coupable en barre.
Ouillouillouille !! Bon, que dire de ce film... Je suis un fan de la première heure de Schwarzie et, lorsqu'il mit fin à sa carrière cinématographique pour faire de la politique, je fus partagé par un sentiment de tristesse et d'incompréhension : Qu'allait-il donc faire dans cette galère ?! Malgré tout, je respectais son choix et me contentais de (re)visionner avec délectation ses prestations (pas toutes, mais la plupart). J'avais abandonné l'idée de le revoir un jour sur grand écran quand, à ma grande surprise et avec bonheur, je le vis apparaître dans "Expandables". Certes, ce ne fut qu'un clin d'oeil, mais cela présageait d'un retour imminent (I'll be back, me disait une voix dans ma tête). Las ! Ce retour au premier plan ne m'a franchement pas emballé. D'accord, l'acteur use (et abuse ?) toujours d'un humour second degré, ce qui n'est pas pour me déplaire. Par contre, le film est très brouillon, saccadé voire épileptique. On passe d'une scène d'action à une autre en apnée, le temps de respirer manquant terriblement. De plus, c'est truffé d'invraisemblances : franchement, l'élite de la police américaine ne serait pas capable d'arrêter une voiture, aussi rapide soit-elle, et de coffrer ce bellâtre (qui n'est pas crédible une seconde en méchant sanguinaire, mais attention, classieux !) ? Johnny Knoxvillle est limite exaspérant, tant il essaye de jouer de son image de trublion excentrique, mais sans réussir à me faire décrocher ne serait-ce qu'un sourire (sans compter le doublage catastrophique utilisé pour son personnage, à savoir la voix française de Chandler de la série "Friends"). En résumé, ce film n'apporte pas grand chose à la carrière de l'immense Schwarzenneger, si ce n'est un plaisir coupable de le revoir, comme un vieux pote que l'on apprécie et que l'on n'avait pas vu depuis longtemps. Donc, à voir quand même pour Arnold et seulement pour lui.
Schwarzenegger, tout comme Stallone cherche à nous prouver qu'à 60 ans passé, on est loin d'être fini. Malgré toute sa bonne volonté, Schwarzie commence à faire office de vieux dinosaure. Forest Whitaker m'a peu convaincu dans son rôle et m'a habitué à mieux dans ses précédents films. Eduardo Noriega dans son rôle du méchant est quand à lui très peu crédible. A croire que Jee-woon Kim n'avait personne d'autre sous la main. Le dernier rempart est film d'action qui se veut drôle par moments et parvient à nous divertir. Au final, un film d'action moyen qui n'apporte rien de nouveau au genre.
Malgré quelques scénettes amusantes ce film peine à dévier des sentiers du film d'action des plus simplets.
Un bon film d'action et une excellente mise en scène, la bande annonce tient ses promesses et Arnold, même à cet age est dans son élément.
Une série B honnête et honorable qui donne des scènes d'action fun et décalées, un ton tres années 80, une sympathie inattendue de Shwarzzy, un scénario peu original mais un montage et un découpage de grande qualité. Un correct divertissement devant lequel le spectateur ne s'ennuie jamais.
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