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MC4815162342
398 abonnés
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4,0
Publiée le 9 août 2014
Le Dernier rempart signe le grand retour de notre immense Arnold Schwarzenegger dans un bon vieux film d'action, certes gros et cul cul mais tellement bon et divertissant, avec l'enormissime Forest Whitaker, le déjanté Johnny Knoxville, Rodrigo Santoro, Luis Guzman ou encore Peter Stormare, un bon gros scénario bien gros et surréaliste avec une bonne violence, bien fun !
Quand je vois plus d'une demi etoile je me dis qu'il en faut pour tout les gouts des films !!! Quel honte ! Pq AS continue les films d'action , il n'arrive meme plus a se bouger ... L'Histoire a deja etait faite x fois ! Horrible !
pitoyable, ridicule, navrant et ennuyant, voilà les qualificatifs après avoir perdu 1h30 de mon temps. Ce style de film n'aurait jamais dû être produit et arnold doit avoir vraiment besoin d'argent pour accepter ce nanars. Le pire est les critiques qui ont aimé, ce bien triste
Des acteurs mauvais et agaçants, un scénario vu et revu en plus d'être (quasi) inexistant, pas un gramme de réalisme durant tout le film ... et toute cette bouillie cinématographique est servie par un Schwarzy qui devrait plutôt tourner des pubs contre l'arthrose que de faire du cinéma d'action. On voit clairement que pépé accuse le poids des années !
Au final, une daube sans intérêt qui terminera sa carrière en 2e partie de soirée d'une chaine minable de la TNT.
Trés bonne surprise de ce film, et je n'en attendais pas grand chose....Bon c'est du scenario de serie B, on se croirait revenu dans un film des années 80, mais film trés bien fait, un poil d'humour par ci par la, et avec un bon Home cinema ca claque pas mal !!!! Vraiment agreablement surpris. Bon par contre la mec qui conduit une corvette a 300 km/h sur une route de campagne et qui ne regarde pas la route devant lui ca me fait toujours rigoler.....
Un bon retour au affaires pour Arnold. Bonne scènes d'action même si il serait temps pour Arnold de se cantonner à des rôle un peu moins intenses ...Malgrés ca j'ai adoré les petites touche d'humour cher aux films d'Arnold.
Agréablement surpris, excellent film d'action qui change des films sans cerveau ou tout explose du genre Expendables ou encore Terminator. Celui-ci est réussi, Arnold Schwarzenegger excelle dans son "second" rôle de shérif, les poursuites sont bien réalisées. 4/5
Schwarzzy et son accent allemand persistent après toutes ses années est juste un délice et son role de sheriff bourru mais bourrin est génial. Quant au film, si la traque est passable, les scènes de combats sont plutot sympas (à l'exception du closing). Malheureusement, selon moi, ca ne sauve pas le film. C'est bien beau de faire du revival de vieilles stars mais ca ne peut pas être le seul ingrédient pour la qualité d'un film
J'ai vu ce film , hé bien je peut dire que c'est du niveau d'un série B, pas plus... Le scénario tiendrais sur un ticket de métro, les acteurs sont mauvais, même Arnold. Je l'ai regardé en VO et dans leurs répliques, on vois qu'ils ne crois pas une seconde a ce qu'ils disent. C'est dommage pour le retour du papy des films d'action, ils auraient pu faire mieux... Déçus !
Un Schwarzy vieillissant ne veut pas forcément dire un mauvais Schwarzy! Le vieil actioner a toujours sacrément de punch, et les nombreuses scènes d'action ainsi que certaines touches d'humour bienvenues font de ce film une excellente surprise et une bonne série B. He's back, et ca fait plaisir!
Film en 2 parties, la première mettant les éléments en place sérieusement avant la seconde, celle de l'assaut de la ville qui vire parfois au grand guignol et à la farce avec en prime la présence de J. Knoxville. Le retour d'Arnold méritait mieux même si le film loin d'être une daube se laisse regarder. En attendant un autre rôle plus "épais" pour Schwarzy.
Réminiscence de l’actioner des années 90, Le Dernier rempart est ce qu’on appelle communément un véhicule pour star. Il s’agit en effet du “grand retour” d’Arnold Schwarzenegger en solo. Et comme l’avait fait Jean-Claude Van Damme dans les 90′s, il est allé chercher ce qui se fait de mieux en Asie pour assurer son come back. C’est le surdoué Kim Ji-woon qui succombe cette fois aux sirènes hollywoodiennes et qui fait l’erreur de s’effacer complètement devant l’ombre imposante de la star. Sans grande surprise, le résultat est indigne de ces deux talents réunis. Pourtant, les réalisateurs asiatique les plus doués ont souvent eu la côte à Hollywood. Et c'est plus vers la Coréé en ce moment que les stars hollywoodiennes viennent se remettre sur leurs deux jambes. Kim Ji-Woon nous avait impression avec J'ai recontré le diable, film unique d'une noirceur sans pareille. On sait donc qu'on à affaire à du talent. Le Dernier rempart est pensé pour symboliser la renaissance d’Arnold Schwarzenegger après son expérience politique, une renaissance entamée avec son rôle dans Expendables 2. Formaliste de génie, il efface complètement sa mise en scène, à l’exception d’une poignée de fulgurances, au profit de la star Schwarzenegger et d’un récit mollasson. En résulte un actioner lambda, exécuté avec application mais sans âme. Même si on aime retrouver l'acteur dans un film d'action un peu bourrin, e gros problème du Dernier rempart, au delà de son apparence somme toute banale, reste son scénario en totale opposition à la promesse badass qui était faite. Fruit de diverses réécritures, le script supervisé par George Nolfi ne correspond en rien à ce qu’un actioner digne de ce nom se doit de développer. Pour faire simple, sur 1h40 de film, au moins 45 minutes ne servent à rien. Il s’agit d’une interminable exposition afin de faire monter la sauce artificiellement et pousser le vieil Arnold à sortir 2-3 répliques qui fusent en même temps que les gros guns. Évidemment, le véritable intérêt du film se trouve dans les résonances entre son personnage et l’acteur lui-même, avec l’inévitable retour aux affaires du mercenaire qui s’était payé une retraite tranquille à assurer les taches quotidiennes dans son comté paisible. Sa réplique “I’m the sheriff” sonne d’ailleurs comme une note d’intention tant elle transpire la volonté de l’acteur de revenir sur le devant de la scène qui fut la sienne pendant si longtemps. En action hero vieillissant, bougeant sa masse parfois avec difficulté et préférant les prises de catch aux pilonnages d’autrefois, il assure le minimum légal mais on n’est jamais vraiment au niveau de la renaissance attendue. La faute en partie à l’écriture de ce personnage uniforme et sans aspérités, assez morne et qui ne se révèle, tout comme le film, que dans la dernière demi-heure. Cependant, cet aspect cabotin et la sensation d’une direction d’acteurs absente favorise une certaine idée de série B décérébrée. Mais ça reste trop mou et rarement jubilatoire. Une mauvaise idée en somme, pour Arnold Schwarzenegger comme pour Kim Ji-woon.