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matt240490
83 abonnés
1 062 critiques
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4,0
Publiée le 8 janvier 2012
Tiré d'une histoire vraie, The Basketball Diaries parle de la drogue et le traite de manière brutale, à la manière de Requiem for a Dream. On retrouve Leonardo DiCaprio et Mark Wahlberg dans les rôles de camés vers une descente aux enfers. Notre cher Leo nous livre déjà une prestation fort impressionante, lui qui sera par la suite voué à une grande carrière cinématographique. Le film est très bon, l'accroche également. On pourra apprécier notamment la scène durant laquelle spoiler: Leo arrive, à la manière d'un Terminator, tuer ses camarades au fusil à pompe.
Une histoire forte portée par l'excellent Di Caprio encore jeunôt mais déjà bien bon. Si le début commence gentiment on assiste après à une vraie descente aux enfers qui amènera au pire. La fin est pleine d'espoir.
Un film choc qui m'a marquée étant gamine (Léo Mania). Un film que tous les plus jeunes devraient voir au moins une fois...ça devrait leur passer l'envie de toucher aux drogues !
Ce film m'avait marqué étant ado, mais il fallait que je le revoie car j'en avais oublié le contenu, et je sais qu'on est plus aussi vite impressionné à 30 qu'à 17 ans. Je confirme, ce film me parait plus "banal" aujourd'hui, mais tout de même pas trop mal foutu.
La mise en scène est certes parfois un peu simpliste, mais nous offre aussi quelques très beaux moments. Le sujet qu'est la drogue, est pas mal traité, mais par moments j'aurais aimé un peu plus de profondeur. Di Caprio nous rend ce coup-ci une très belle copie, on voit qu'il s'est joliment investi dans son rôle, le film n'en sort que grandit.
En somme un bon film, mais qui n'a pas les subtilités que seuls les grands ont. Donc ce sera 3.5
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3,0
Publiée le 20 mai 2012
Avant de s'embarquer dans le "Titanic" de James Cameron, Leonardo DiCaprio jouait au milieu des annèes 90 avec Mark Wahlberg et James Modio! Elevès dans le lycèe catholique de New York, DiCaprio et ses copains sont unis ici par la passion du basket et des frasques juvèniles! Tandis que son meilleur pote meurt à l'hôpital d'une leucèmie, DiCaprio, tellement beau diront certaines quand il est dèsemparè, rèdige son journal intime! Un jour il s'initie à l'hèroïne...Adaptation du livre très cèlèbre outre-Atlantique, de Jim Carroll, "The Basketball Diaries" dècrit avec autant de cruditè que de sensibilitè la spirale infernale (drogue, prostitution, clochardisation) happant un adolescent dèboussolè et rebelle! DiCaprio dèvoile dans ce film une belle palette de sentiments...
'The Basketball diaries' est sympa à regarder une fois (surtout pour la superbe interprétation de Leonardo DiCaprio), on assiste a une vraie "descente aux enfers" dans l'univers de la drogue ! Ce film est vraiment dérangeant dans son dénouement, au début on pense pas que ça ira si loin. A voir, car ça montre bien l'aspect de la drogue, et ses conséquences qui sont souvent désastreuses.
LM'un des films, avec Gilbert Grape, qui me fit rapidement changer d'avis sur la qualité intrinsèque de Di caprio comme acteur. Un drame et une histoire d'amitié aussi poignant qu'il ne fait jamais dans l'extravagant mais plustôt dans la douce descente vers les abîmes des drogués. Belle histoire, vraie et pamphlet anti drogue et qui a le mérite de nous prouver que personne, aussi intelligent soit il, n'est à l'abris d'une telle chute.
Un Leonardo DiCaprio bluffant, un film poignant qui donne envie de tout sauf de toucher à cette putain de drogue qui fiche des vies entières en l'air. Certainement un des rôles de sa vie à ce grand acteur. A 20 ans il était déjà si brillant... Et voir Mark Walhberg jeune dans ce film également rappelle combien lui aussi est depuis plusieurs décennies un des acteurs les plus talentueux de sa génération. En un mot: un film à voir et à ne jamais oublier !
J'ai beaucoup aimé ce film ou la drogue et l'accoutumance a la drogue est présente. Ce film fait peur, sait faire peur et devrait etre vu dans les écoles pour montrer les dangers néfaste de la drogue sur notre système et sur notre vie. Léonardo Dicaprio y joue merveilleusement bien
Jim (Leonardo Dicaprio) aime écrire, le basket qu'il pratique avec ses amis, et le jour où l'un deux meurt, il continue d'écrire mais plonge dans la drogue. L'interprétation que nous livre Leo est juste remarquable. A Voir absolument !!
Je vois difficilement comment on peut faire un film plus édifiant sur le sujet. Ayant fait la connaissance de ce film sur le tard concernant la filmographie de DiCaprio je trouve qu'il devrait être plus régulièrement cité dans son top 5. Ici Leo apparaît dans l'un de ses plus beaux rôles, donnant à son personnage une épaisseur et une dimension incroyable. Je pensais avoir tout vu de cet acteur mais il m'a encore une fois bluffé. Le film entier repose sur lui et ses frêles épaules. Le réalisateur ne s'est vraiment pas trompé en choisissant cet adolescent. Le reste du casting comme la mère ou encore Whalberg sont aussi très bon. Le scénario est quant à lui divisé en deux parties distinctes : une première légère où la bande de potes font leurs premiers essais dans la drogue, découvre leurs premiers émois, et une deuxième beaucoup plus difficile et sombre qui vire à la descente aux enfers pur et dur, dans la déchéance la plus totale, dans le cauchemar éveillé. Ce film fait vraiment froid dans le dos, surtout quand on sait que c'est un biopic qui retrace une vraie histoire. C'est à réserver à un public averti. C'est le pendant de "Virgin Suicide" au masculin avec un versant plus glauque, malsain, mais avec une spoiler: finalité optimiste . Je n'ai pas vu les autres grandes pontes des films portant sur la thématique de la drogue comme "Requiem for a dream", "Las vegas parano" ou "Trainspotting", mais celui-là c'est un grand film, rien à n'y ajouter, rien à n'y enlever.
Un grand film sur la drogue, la jeunesse et la rue! Des élèves d'une école catholique de New-York tentent de s'en sortir au mieux dans la rue après s'être fait renvoyés de l'établissement. Leonardo DiCaprio est excellent dans son rôle, il l'interprète divinement bien! à voir!
Sans etre un chef d'oeuvre ,il faut bien avouer que la performance de Dicaprio en junkie prouve que derriere le joli minois ,existe aussi un acteur talentueux.Le scenario n'a rien d'exceptionnel (le coté histoire vraie n'y fait rien),ni la realisation tres classique d'ailleurs mais les personnages au dela de certains stereotypes sont plutot attachants et beneficient de l'interpretation juste de jeunes inconnus qui pour certains ne le resteront pas : Lewis et Whalberg ,ce dernier etant + credible ,physique oblige ,en bad boy que le beau Leo qui se "rattrappe" dans une derniere partie ou il impressionne par son jeu de camé en manque jusqu'a la confrontation (a travers la porte) poignante avec sa mere (parfaite Bracco) qui finit par le livrer aux flics ,ce qui paradoxalement le sauvera.
Tout comme "Requiem for a dream" arrivé sur nos écrans trois ans plus tard, "The basketball diaries" n’est pas vraiment mon genre de prédilection dans le cinéma, et pourtant je dois admettre en tant que parent qu’il constitue un excellent support de sensibilisation de nos jeunes quant aux mauvaises fréquentations et à ce qu’elles peuvent engendrer en matière de descente aux enfers, comme la délinquance et/ou la toxicomanie. Sauf que ce pouvoir d’information est bien plus développé que dans le film de Darren Aronofsky puisqu’il ne se limite pas à la drogue arrivant plus ou moins par le simple fait d’une fatalité quasi-inéluctable. "The basketball diaries" bénéficie d’un scénario plus complet, en prenant en compte tous les éléments liés à l’adolescence. La réalisation de Scott Kalvert n’est pas exceptionnelle en soi, mais sa simplicité a le mérite d’être efficace, avec l’incroyable concours de comédiens jeunes et pourtant déjà très talentueux. Parmi eux, on retrouve Mark Wahlberg qui, dans un premier temps, réussit presque à voler la vedette à un Leonardo DiCaprio très impliqué, pourtant en haut de l’affiche qu’il honore dans un second temps haut la main en amenant principalement deux scènes émotionnellement intenses. La première (très dure) n’aurait pas été possible sans la présence de Reggie, interprété par le très charismatique Ernie Hudson, et la seconde (à la limite du supportable) sans la mère de Jim, jouée avec beaucoup de justesse par Lorraine Bracco. Nous suivons donc l’épopée d’une bande de jeunes voulant croquer la vie à pleines dents en marge des limites d’une éducation décente et surtout conventionnelle ; et cette épopée passe aussi par la découverte des plaisirs charnels, matérialisés par les pulpeuses et croquantes Blinkie et Winkie, jouées par les trèèèèès charmantes sœurs Daniel (Brittany et Cynthia). Je vous le dis, quand on voit ce genre de choses, on se rend compte que ce n’est pas bon de vieillir… (soupir… double soupir…). Le fait que le scénario va très loin, si loin qu’il emmène le spectateur au-delà du point de non-retour pour ne pas le laisser indemne. Déclaré pessimiste par certains, ennuyeux par d'autres, "The Basketball diaries" est une œuvre que tous les parents devraient avoir et diffuser auprès de leurs adolescents, surtout en sachant que c’est une adaptation de la nouvelle autobiographique de Jim Carroll lui-même, lequel a pris place au casting avec le petit rôle de Frankie Pinewater (si vous souhaitez connaître son faciès).