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Un visiteur
4,5
Publiée le 14 juin 2013
Très beau film que je déconseille à la plupart ^^. L'enjeu est purement "philosophique". On cherche à relier la "trame" principale au début du film, puis on abandonne, sans ressentiment, se laissant porter. "Une épopée spatiale", haha, "un voyage inattendu dans le temps", tout à fait ! A regarder seul pour l'apprécier pleinement et sous peine de le trouver ennuyeux.
Excellent, un film envoûtant, une photo très soignée, une réflexion sur l'humanité, un film qui pose des questions, n'apporte pas toujours de réponse et donne à réfléchir ...
"Space Time" est particulièrement abouti formellement avec une mise en scène et une photographie très soignées. Sur le fond, c'est un peu moins digeste malgré de bonnes idées. Globalement intéressant mais à réserver aux grands curieux de films SF.
déjà super histoire la bande son accompagne bien tout au long du film a mi chemin de MOON Duncan Jones pour tous le coter solitaire est un peux Kubrick "2001" spoiler: surtout pour la fin aussi tout est dans le titre du film un bon moment a passer certes un peux cours (1h10)
Visuellement très propre et soigné, musicalement au point, il était presque parfait, je dis presque car l'histoire est incompréhensible. Quel est donc le lien avec cet homme, ce soldat ?... Que fait son journal de bord dans la navette ?... comment expliquer la folie par la folie ?.. bref, j'ai mal au crane, j'ai l'impression d'avoir perdu une soirée, car un film peu poser des questions, c'est normal, mais ce film est une question en lui même et on abandonne simplement l'idée de réfléchir sur le message qu'il a voulu nous faire passer, si tenté est qu'il y ait un message. A voir uniquement si vous voulez vous faire mal.
pourquoi cette note alors que l'image est plutôt belle? et bien parce qu'on nous raconte ici de la maniere la plus compliqué qui soit un truc tout simple ! parce que les gens qui ont fait ce film on trop regardé 2001 l'odyssée de l'espace et les annimés japonais dans le genre de Lain! parce que y'a pas vraiment d'enjeu! on regarde ce qui se passe en essayant de ne pas se perdre dans les flashbacks et le flou artistique et tres vite on décroche ! n'est pas Cubrick ou malick qui veut!
Un immense gâchis. Comment annulé un film dont le sujet pouvait pourtant en faire un bon film ? Comment fabriquer du rien alors qu'il y a tout pour faire un beau film, la photo est splendide, la bande son est de qualité, les cadrages sont intéressants... Pour ces raisons Space Time n'est pas un navet et pourtant il est difficile de ne pas lui donner la note que l'on donne habituellement aux nanars. Des qualités esthétiques certaines mais tout cela est balancé en vrac dans un méli-mélo de flash-back, de ralentis, d'insertions de scénes sans aucun rapport, un bazar complètement décousu saupoudré d'une voix off chiante qui déblatère des phrases écrites au hasard, une suite de tableaux certes trés esthétiques mais étrangers les uns aux autres. Un film n'est pas un diaporama, c'est une narration construite. Un film esthétisant qui s'inspire ou tente de refaire une sorte de 2001 l'odyssée de l'espace mais qui est impossible à supporter jusqu'au bout même avec la meilleur volonté du monde. Après quelques tentatives d'avances rapides vous appuierez inévitablement sur la touche éjecte.
Magistral. Sans être incontournable (il y a peu de chance qu'au détour d'une conversation ce film tombe dans une soirée entre amis). L'éloge de la solitude. Cette solitude qui ne peut être ni bruyante ni rapide. Et c'est là que le film peut en déconcerter plus d'un. La bande annonce aguicheuse n'indique pas la subtilité du film. L'absence d'explication, le spectateur sera laissé aussi seul que le protagoniste, pour dénicher les indices, comprendre les évènements, ou simplement se laisser bercer (en pesanteur). Si le dernier 1/4 d'heure de The Fountain vous a laissé indifférent, passez votre chemin. Sinon, à voir d'urgence.
Bon malgré des avis négatifs j'ai quand même tenter "L'expérience"....... Je parlerai des 10 dernières minutes...enfin j'aimerai surtout qu'on m'explique "c'est quoi ce bordel".
J'ai trouvé le film bien oppressant tout du long puis "Pan" comme un coup de savon, une chute d'eau sans parachute, un élastique sans caoutchouc, une descente sans descente ( vous comprenez rien, c'est normal^^)...enfin bref j'ai plus rien compris dés qu'il vois ce foutu spoiler: Gros cube, vaisseau, arche de Noé . + de 6 ans qu'il plane.Mais hé ho, d’où qui sort ce truc....comme çà paf d'un coup.
A voir une fois certes, mais attention les 10 dernières minutes faut .........
Né sous l'impulsion du groupe Angels and Airwaves qui souhaitait aboutir à une osmose parfaite entre cinéma et musique, "Love" est un petit film qui nous arrive chez nous directement en DVD et Bluray sous le titre "Space time". Précédé d'une réputation plutôt flatteuse suite à son passage dans quelques festivals, le film de William Eubank s'ouvre sur des images de toute beauté ayant pour cadre la guerre de sécession, lien d'abord étrange avec le reste d'un métrage se déroulant en grande partie dans une station orbitale mais qui trouvera tout son sens lors du final. Si la partition musicale s'avère au final assez anecdotique, il faut bien avouer que le cinéaste laisse entrevoir une véritable identité visuelle, offrant aux spectateurs des plans absolument magnifiques, ce qui constitue le point fort de "Love". Extrêmement contemplatif, collant aux basques d'un unique astronaute tombant petit à petit dans la folie, le film est, il faut bien l'avouer, franchement difficile à aborder, tant le récit s'enlise dans un rythme soporifique, entrecoupé de réflexions phylosophiques sur l'existence, avant de sombrer dans un gros délire à la "2001" qui en laissera plus d'un perplexe, à l'image d'un film qui, au choix, hypnotisera ou agacera mais qui révèle un cinéaste prometteur.
Que dire sur ce film. Il est vrai qu'il est difficile d'accès mais il possède une profondeur philosophique hors norme. Si vous souhaitez un film d'action passez votre chemin. On ne regarde ce film pour que pour les émotions qu'il nous procure et pour un émerveillement visuel constant. Jusqu'au bout nous ne comprenons pas toujours ce qui passe. Tout cela nous invite à lâcher prise et à nous plonger au coeur de nous même, sans contrôle. Le final est bouleversant et déclenche en vous une irrépressible envie de vivre pour peu que vous vous abandonniez.
La lente glissade dans la folie d’un astronaute coincé sur orbite. Il pense aux siens, se retrouve en capitaine de la guerre de Sécession, mélange ses pensées, ses souvenirs, ses projections et la réalité. Plus le film avance, moins il donne de réponses, plus il s’échappe dans les confins du délire jusqu’au dénouement final des plus sibyllins (no spoil, c’est le titre d’origine) : Love. On est bien avancés. Quelque fois, l’interview d’un quidam inconnu tente de nous apporter un éclairage sur l’amalgame de fils épars. Mais si l’expérience n’est jamais inintéressante, elle n’est pas non plus facile à raccorder au cadre général. Ne reste alors qu’un assemblage bancal à légère tendance pontifiante. Et puis, il y a le budget. La majeure partie de Space time a lieu dans un intérieur reconstitué de la taille d’un trois pièces en centre-ville, où déambule un unique héros quand il ne pète pas un plomb sur une chaise. Eh oui, on vaque ici dans les territoires foisonnants du direct-to-DVD, un univers riche peuplé d’objets à mi-chemin entre le cinéma et la fiction télévisuelle. A part quelques plans bluffants, le résultat ne peut masquer cette origine de luxueux téléfilm. Et il finit par crouler sous son ambition bien trop grande pour ses frêles épaules. William Eubank a sans doute quelque peu anticipé son chef d’œuvre. Heureusement, il est jeune.
William Eubank paraît aimer la philosophie et l'art autant pictural que cinématographique. C'est bien lui le réalisateur de ce film et en collaboration pour la musique avec Tom DeLonge. S'ouvrant en 1864 dans une introduction juste titanesque, le métrage se focalise ensuite sur l'astronaute Lee Miller, en 2039, fraîchement envoyé sur la station orbitale internationale. Bientôt les transmissions avec la planète bleue cessent, Lee se retrouve seul dans un environnement froid, au milieu de l'éternité... Love (titre original bien plus pertinent) est un film difficile et à la fois d'une sensibilité évidente. C'est bien un métrage sur l'Humanité, sa puissance émotionnelle et son inclination à la contemplation. Une oeuvre moins réussie que 2001 et dont les aspirations métaphysiques restent en deçà du chef d'oeuvre de Kubrick. Mais ce qu'il perd en réflexion pure, il le gagne dans sa superbe transmission des sentiments. Un beau spectacle nous est offert si l'on consent à se laisser porter par sa narration complexe. Eubank nous accompagne grâce à des interventions de personnages aux discours qui vont éclaircir la perception que l'on a des comportements de Miller. Esthétiquement, que dire si ce n'est waouh : le préambule est d'une beauté éclatante avec image à la clarté diaphane, et que dire des ralentis ? j'en suis encore tout retourné. La composition de l'image s'établissant sur des correspondances picturales du plus bel effet. Les scènes dans l'espace vont jusqu'au ravissement (Piliers De La Création, galaxies...). Et pour moins de 1000000 de dollars. Que demande le peuple ? Une oeuvre à la fois austère et d'une accessibilité des sens sans commune mesure. 3,5/5
C'est le film le plus mou que j'ai jamais vu... Je me suis fait violence pour aller jusqu'au bout, me disant qu'il y aurait peut être une fin profonde... La seule chose profonde que j'ai trouvé ? Mon sommeil. Passez votre chemin...
spoiler: Non, en fait il n'y a rien à dévoiler dans ce film, il est sidéralement vide ><
Ca commençait bien, ça avait l'air intéressant et je n'ai rien contre les films lents, au contraire. Mais un peu comme "2001", dont j'ai détesté la fin, ce film m'a perdu dans sa dernière partie. C'est dommage parce que les effets spéciaux sont bien réalisés, la scène d'intro m'a mis dans de bonnes dispositions et on attend avec impatience de découvrir comment la fin va se connecter avec le début. Hélas ça a fait plouf pour moi et je n'ai toujours pas bien compris le sens de cette dernière partie. On excusera les approximations quant-aux conditions de gravité dans l'espace et des mouvements Terre/station inconstants. La bande son est techniquement soignée mais comporte une musique bien trop omniprésente à mon goût dans la première partie.