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Un visiteur
0,5
Publiée le 11 juillet 2013
Mais que c'est looong ... pourquoi ne pas en avoir fait un court métrage?
Ce film est un navet prétentieux se voulant philosophique et intellectuel, mais tellement saturé d'erreurs qu'il en devient indigeste. - Niveau S.F. c'est complètement nul, avec de la pesanteur dans l'ISS, un pilote isolé qui survit sans ravitaillement pendant plusieurs années... etc etc etc - Niveau philosophique, le message est simpliste à l'extrême, spoiler: (L'humain est un être profondément social ne pouvant se passer des relations qu'il a avec les autres ... pfiou la laaa... compliqué à comprendre... ) faisant penser à un sujet de dissertation de première secondaire option sociologie... Pour un film tellement fier de son aspect intellectuel, c'est un peu mince... - Niveau narration, c'est décousu, les multiples flashbacks sont incompréhensibles (et ne servent souvent qu'à prolonger l'agonie), certaines séquences s'enchainent sans la moindre cohérence... le film est lent, monotone, creux, et soporifique... - Niveau images, c'est joli.. mais franchement, c'est du même niveau que certaines séries actuelles à petit budget... et au vu de la profusion de plans fixes, ils auraient pu nous passer des économiseurs d'écran sur le thème de l'espace que ca n'aurait pas changé grand chose. - Niveau musique, c'est répétitif, lancinant, bref, pénible. Cela rajoute à l'aspect globalement lourd du film, interminable et pénible.
...mention spéciale pour la voix off, à la fin, qui explique au spectateur (au cas où il aurait été trop bête) quel était le message du film, et qui essaie de lui inculquer l'idée que ce film était bien bien bien qu'il est bien... à mon avis, ils pensaient que ce navet était assez hypnotisant que pour tenter de faire passer une suggestion hypnotique à la fin ... raté, ca donne juste l'impression que le scénariste se glorifie de son film dont il est très fier...
Bref, un nanard absolu, creux, prétentieux, et inutile... à la place de ce film, mettez-vous 2001, ou autre chose, ou même regardez le mur pendant 1h30 ... ca sera moins inutile.
pourquoi cette note alors que l'image est plutôt belle? et bien parce qu'on nous raconte ici de la maniere la plus compliqué qui soit un truc tout simple ! parce que les gens qui ont fait ce film on trop regardé 2001 l'odyssée de l'espace et les annimés japonais dans le genre de Lain! parce que y'a pas vraiment d'enjeu! on regarde ce qui se passe en essayant de ne pas se perdre dans les flashbacks et le flou artistique et tres vite on décroche ! n'est pas Cubrick ou malick qui veut!
Nul nul, nul. Certainement le plus gros nanard de toute l'histoire du cinéma de S.F. Incompréhensible. Tout est nul dans ce film. L'image qu'on nous disait époustouflante est tout à fait ordinaire, la musique que l'on nous disait superbe est carrément "baba cool" digne de certains groupes chevelus des années 70. L'acteur nous endort, comment peut-on réaliser une daube pareille. Ca ne peut que plaire à certains pseudo-intellos de la gauche bobo.
"Space Time : L'ultime Odyssée" est bien filmé mais abscons surtout sur la fin. De plus, voir le personnage principal assis et marcher dans l'ISS est très gênant et enlève toute crédibilité au film. Pour une personne seule quand on sait que les cosmonautes passent tout leur temps libre à observer la terre, masquer toutes les fenêtres est peu crédible.
Tout le monde a le droit de se planter, l'admettre est un signe de tolérance. Ce qui est moins admissible c'est de se foutre carrément du spectateur. Or c'est exactement ce que fait ce film qui n'a pas grand-chose à nous dire et qui s'étale lamentablement dans la durée comme un vieux chewing-gum, nous répète cinquante fois la même chose, nous pond des digressions auxquelles on ne comprend rien, nous fait des ralentis tout moches, et attention c'est un film à message. On sait depuis lurette que les messages des films à messages ne servent à rien mais celui-là il faut absolument que je le recopie parce que depuis le petit livre rouge on n'avait jamais rien trouvé de plus profond :"C’est grâce aux relations que l’homme peut garder le sens des réalités" Oui parce qu'on avait oublié de vous dire, le film il est bourré de suffisance… et ça aussi c'est difficile à avaler !
Magistral. Sans être incontournable (il y a peu de chance qu'au détour d'une conversation ce film tombe dans une soirée entre amis). L'éloge de la solitude. Cette solitude qui ne peut être ni bruyante ni rapide. Et c'est là que le film peut en déconcerter plus d'un. La bande annonce aguicheuse n'indique pas la subtilité du film. L'absence d'explication, le spectateur sera laissé aussi seul que le protagoniste, pour dénicher les indices, comprendre les évènements, ou simplement se laisser bercer (en pesanteur). Si le dernier 1/4 d'heure de The Fountain vous a laissé indifférent, passez votre chemin. Sinon, à voir d'urgence.
Comment, un spationaute à l'intérieur de l'ISS qui n'est pas en apesanteur? De qui se moque-t-on? De plus, s'il n'a pas pompé sur 2001 l'odyssée de l'espace, moi je suis un monolithe? Blague à part, c'est film est très prétentieux, très chiant, une philosophie à deux balles mais les images sont magnifiques, cela dit autant se taper un doc sur la station spatiale internationale, là au moins ils sont en apesanteur!
Que dire sur ce film. Il est vrai qu'il est difficile d'accès mais il possède une profondeur philosophique hors norme. Si vous souhaitez un film d'action passez votre chemin. On ne regarde ce film pour que pour les émotions qu'il nous procure et pour un émerveillement visuel constant. Jusqu'au bout nous ne comprenons pas toujours ce qui passe. Tout cela nous invite à lâcher prise et à nous plonger au coeur de nous même, sans contrôle. Le final est bouleversant et déclenche en vous une irrépressible envie de vivre pour peu que vous vous abandonniez.
"Space Time" est particulièrement abouti formellement avec une mise en scène et une photographie très soignées. Sur le fond, c'est un peu moins digeste malgré de bonnes idées. Globalement intéressant mais à réserver aux grands curieux de films SF.
Moi qui ne regarde que les affiches et aucune BA ni Synopsis, j'avoue que ben je me suis endormie. Quel dommage il manque du PUNCH à cette histoire certes la photographie est splendide mais..... la trame ne se suit pas, c'est lent, je me suis endormie, ( moi le squelette hyperactif !!! je me suis endormie!) je trouve que c'est dommage ce trop obsur et etouffant ( ça ettoufe l'univers? non c'est spacieux alors pourquoi ce sentiment de noirceur permanent?) je ne sais pas, peut-être que je n'ai pas bien vu..... et vous? .
Une photographie superbe ainsi que la B.O.. Le reste nous laisse dubitatif avec l'angle de vue du réalisateur. Dommage car plus de clarté aurait été bénéfique. 2./5 !!!
Le réalisateur William Eubank a travaillé 4 ans sur ce film. Il a été formé à la réalisation de films publicitaires dès 18 ans.
Love a été inspiré par la musique puissante du groupe Angels & Airwaves. Love est une aventure visuelle intense, qui fait écho à une vérité universelle: tout le monde a une histoire à raconter et une chose qui nous dépasse à laisser derrière.
La fin est un voyage visuel sur fond d’espoir humain. Esthétiquement, le film est beau mais il n’est pas passionnant. Le temps est long pour cet astronaute au même titre que la longueur et la lenteur que l’on ressent devant le long métrage. Les images sont immobiles. Seuls les pales du système de ventilation viennent déranger cette immobilité. Le film est entrecoupé de témoignages d’hommes qui parlent de leur rapport à l’amour.
Quelques influences marquées, 2001, l’Odyssée de l’Espace, quelques films de clint Eastwood, ou encore Moon de Duncan Jones (2009). Peut être aussi The Tree of Life.
Pas facile de s’accrocher au film, malgré la beauté des images…
La lente glissade dans la folie d’un astronaute coincé sur orbite. Il pense aux siens, se retrouve en capitaine de la guerre de Sécession, mélange ses pensées, ses souvenirs, ses projections et la réalité. Plus le film avance, moins il donne de réponses, plus il s’échappe dans les confins du délire jusqu’au dénouement final des plus sibyllins (no spoil, c’est le titre d’origine) : Love. On est bien avancés. Quelque fois, l’interview d’un quidam inconnu tente de nous apporter un éclairage sur l’amalgame de fils épars. Mais si l’expérience n’est jamais inintéressante, elle n’est pas non plus facile à raccorder au cadre général. Ne reste alors qu’un assemblage bancal à légère tendance pontifiante. Et puis, il y a le budget. La majeure partie de Space time a lieu dans un intérieur reconstitué de la taille d’un trois pièces en centre-ville, où déambule un unique héros quand il ne pète pas un plomb sur une chaise. Eh oui, on vaque ici dans les territoires foisonnants du direct-to-DVD, un univers riche peuplé d’objets à mi-chemin entre le cinéma et la fiction télévisuelle. A part quelques plans bluffants, le résultat ne peut masquer cette origine de luxueux téléfilm. Et il finit par crouler sous son ambition bien trop grande pour ses frêles épaules. William Eubank a sans doute quelque peu anticipé son chef d’œuvre. Heureusement, il est jeune.
Ce n'est pas vraiment un film car il ne s'y passe pour ainsi dire rien. C'est une sorte de fable assez prétentieuse et moralisatrice sur le communautarisme. Bien prétentieux et pas terrible.
Un immense gâchis. Comment annulé un film dont le sujet pouvait pourtant en faire un bon film ? Comment fabriquer du rien alors qu'il y a tout pour faire un beau film, la photo est splendide, la bande son est de qualité, les cadrages sont intéressants... Pour ces raisons Space Time n'est pas un navet et pourtant il est difficile de ne pas lui donner la note que l'on donne habituellement aux nanars. Des qualités esthétiques certaines mais tout cela est balancé en vrac dans un méli-mélo de flash-back, de ralentis, d'insertions de scénes sans aucun rapport, un bazar complètement décousu saupoudré d'une voix off chiante qui déblatère des phrases écrites au hasard, une suite de tableaux certes trés esthétiques mais étrangers les uns aux autres. Un film n'est pas un diaporama, c'est une narration construite. Un film esthétisant qui s'inspire ou tente de refaire une sorte de 2001 l'odyssée de l'espace mais qui est impossible à supporter jusqu'au bout même avec la meilleur volonté du monde. Après quelques tentatives d'avances rapides vous appuierez inévitablement sur la touche éjecte.