Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Gwen R
48 abonnés
549 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 23 avril 2011
Encore un film qui joue sur les différents degrés de réalité dans la ignée de " effet pappilon" et" inception". C'est bien rythmé mais sans grande qualité de mise en scene ( on a deja vu mille fois les flashs) et avec une fin un peu gnan-gnan.
source code est un thriller d'anticipation original. Son côté tragique, même s'il aurait pu être plus développé, donne à ce film une singularité. 13/20
Malgré un pitch déjà vu 15 fois, cet opus apporte suffisamment de nouveauté au genre pour se suivre agréablement jusqu'au bout! Divertissement honnête.
Duncan Jones nous avez déjà gâté avec le schizophrénique mais non moins excellent "Moon", mais la, il frise avec le génialissime : il nous fait avancer encore un peu plus dans les méandres de notre psyché avec ce scénario aussi génial que totalement déjanté. Pas un instant de répit, pas un instant d'ennui, on reste scotché à l'écran, en totale empathie avec un Jake Gyllenhaal encore une fois époustouflant (dont je suis assidûment la filmographie depuis que je l'ai découvert dans l'hallucinant "Donnie Darko"..). Bref, en ce qui me concerne, ce film frise l'excellence en matière de cinéma SF.. 4,5 (- 0.5 pour le happy end un peu facile).
Un bon film de science-fiction qui fait passer un bon moment. Le scénario est original et la réalisation est soignée. On suit avec interêt les multiples voyages de Gylenhall qui tente à chaque fois de découvrir de nouveaux indices. Un bon divertissement !!
Duncan Jones confirme une bonne partie de son potentiel de réalisateur de genre talentueux avec un thriller de science-fiction entêtant et intelligemment construit."Source Code",s'il recèle de fortes références à "Déja vu","Matrix"ou "Inception" possède sa propre personnalité lorgnant vers Philip K.Dick.Un homme a 8 minutes pour déjouer un attentat dans un train,sachant qu'il peut revivre plusieurs fois ces instants fatidiques.Si l'on a peur de fatiguer devant un dispositif répétant la même séquence à foison,Jones évite cet écueil grâce à de subtiles variations dans les attitudes,les dialogues,les réactions,et une bonne utilisation de l'intérieur confiné du train.Et puis en avançant dans cette intrigue complexe,le film se teinte d'une réflexion sur l'identité,le libre-arbitre et aussi sur les effarantes avançées possibles de la technologie.Il y a matière à confusion dans les explications sur les réalités paralèles,et le retour vers le passé,mais c'est un exercice de style habile,clairement orienté vers l'hommage aux séries fantastiques.Jake Gyllenhall réussit une nouvelle prestation probante en soldat dépassé par les enjeux et manipulé à des fins politiques.Michelle Monaghan reste une nana gnan-gnan,mais Vera Farmiga et Jeffrey Wright,qui débattent de la moralité de leur action,tirent le tout vers le haut.Un film inventif et malin.
un film de science fiction de haute facture,le début est surprenant, puis on s'y habitue, des intérrogations,des questions,on est pris dans l'histoire ,on a envie de savoir la fin comme dans un thriller,le tout est vraiment bien ficelé,un modèle de film,je me suis régalé.
Après le terriblement efficace Moon, Duncan Jones revient avec un film qui semble avoir bénéficié de plus de moyens que son précédent. Le résultat est honorable, même si l'ensemble est très classique.
Une idée réellement originale (un homme est projeté en arrière de quelques minutes pour tenter de modifier le présent) et captivant la première demi-heure, mais ensuite la tension et l'intérêt retombent. Dommage.
Un très très bon film coincé entre SF et polar, qui aurait pû voler une cinquième étoile si on m'avait épargné les dix dernières minutes, risible final hollywoodien. Mention spéciale à une réalisation dynamique, juste, à des scènes de confinement qui m'ont rappelé "Buried", à une excellente gestion du "bis repetita" et à Gyllenhall qui confirme tout le bien qu'on pensait de lui.
Avec un scénario très perfectible, Source Code se perd dans une complexité abusive qui n’est pas vraiment nécessaire. Au final, l’idée est simple, trop simple.