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ffred
1 695 abonnés
4 019 critiques
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2,0
Publiée le 10 août 2012
Aurions-nous aussi perdu définitivement Stephen Frears ? Après les nombreux réalisateurs passés à la trappe ces derniers temps, il semble que le metteur en scène britannique suive le chemin de ses petits camarades. Elles sont loin ses belles années 80/90 et malgré un petit sursaut avec The Queen, force est de constater qu'il a aussi pris un bon coup de vieux. Son Lady Vegas ne vaut guère mieux qu'un épisode de série américaine des mêmes années. C'est à la fois kitsch et désuet, et on regarde ça avec un œil presque indulgent en souvenir des années passées. Mais franchement, il n'y a là aucun intérêt. Le seul resterait peut être les acteurs qui font ce qu'ils peuvent... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-lady-vegas-108972611.html
Une comédie qui cabotine... Difficile de tiré quelque chose d'un tel scénario... Du vu et revu, du prévisible en veux tu en voila, du risible comme on en rit rarement... Stephen Frears n'arrive pas à insuffler le souffle nécessaire pour rendre cette histoire cool (Comme Ocean's Eleven)... Et les acteurs sont le gros point faible de cette comédie... Rebecca Hall et Joshua Jackson en tête! Cependant on peut toujours apprécié la dégaine de Bruce Willis, l'excellente Zeta Jones en femme jalouse et vénale, et Vince Vaughn qui fait mouche à chaque apparition!
Malgré les mauvaises critiques presse, je tenais à voir ce film (ayant beaucoup aimé les précédents de Frears)...au moins j'étais prévenue ! Je ne sais pas si Rebecca Hall (pourtant bonne actrice) a été très mal dirigée ou si ce personnage de gentille cruche ne l'inspirait pas (faut dire que...) mais le fait est qu'elle joue vraiment mal ! Sa voix sonne archi faux, ses gesticulations sont surjouées, ses mimiques artificielles ! Certes les tenues sexy la mettent bien en valeur mais ça ne suffit pas à rattraper les dégâts ! B. Willis par contre est bien dans ce contre-emploi de parieur fou un peu beauf. Malheureusement l'histoire entre eux ne tient pas. Personne ne peut croire une seconde qu'elle en tombe amoureuse et le pseudo triangle habituel avec sa femme (Zeta Jones argg!) parait tout simplement risible ! Ajoutons à cela que les néophytes (comme moi) du monde des paris ne comprennent rien au début et que les seconds rôles, mal esquissés, livrent des dialogues ineptes. La première partie du film est donc vraiment mauvaise. Ensuite Beth quitte Las Vegas (dont le spectateur n'a au final pas vu grand chose) et cela s'arrange un peu. Joshua Jackson s'en sort bien, malheureusement il est très peu exploité. Vince Vaughn est assez drôle en parieur déjanté et permet (enfin!) quelques scènes cocasses. Le dernier quart d'heure du film est pas mal avec (un peu tard!) une bonne scène téléphonique et une fin sympathique mais très prévisible. C'est dommage qu'un bon réalisateur et de bons acteurs aboutissent à ce mauvais résultat. On peut néanmoins espérer pour la suite que Frears se ressaisisse et n'oublie plus que pour faire un bon film on ne peut se passer d'un bon scénario avec des personnages intéressants ! A bon entendeur...
que dire de ce film, a part qu il ne sert vraiment a rien !!!! pas très bien joué, pas très bien réaliser mais on fini par ce prendre a l histoire !!!! mais au final, ce film n a aucun intérêt.
Ce mercredi matin pour aller voir le film LADY VEGAS ( Bruce Willis) à Lyon, a été le parcours du combattant ! Merci le journal LE PROGRÈS de Lyon ! En effet, depuis l’arrêt des gratuits, LE PROGRÈS est le seul moyen en ville pour moi de connaitre les salles et horaires des films sortant le mercredi matin. N’ayant aucun accès internet sur Lyon la matinée du mercredi comme ça. Or, comme déjà en juillet, LE PROGRÈS n’indiquait que les salles sans aucun horaire !
Le film ne sortait que dans 2 salles : le Pathé Bellecour ou même en matinée, les places sont cher et « UGC Ciné cité confluence ». Pensant qu’en fait une barre avait été oublié et que cela voulait dire le complexe UGC de confluence et celui de Ciné-cité, j’ai pris le bus pour aller à Ciné-cité / la cité internationale, pour m’entendre dire que le film n’était pas là-bas mais à Confluence car en fait le terme Ciné-cité s’applique à tous les complexes UGC dans toutes les villes de France et n’a rien à avoir avec le fait que le complexe està la cité internationale !
Je me suis rendu à Confluence (car n’ayant aucune idée de l’horaire au Pathé) pour voir que le film passait uniquement en VO à Confluence alors que je sais qu’il a bien été doublé en français ! C’est quoi cette manie d’imposer la VO de plus en plus comme ça ?! Là-bas, j’ai été obligé de payer 10,30euros la place !!! Vu que j’avais manqué la séance incroyablement matinale de 10h30 évidemment avec cette histoire (d’habitude, les séances les plus tôt sont vers 11h35 !) la séance suivante pourtant à 12h25 était classée plein tarif ! J’aurais pu avoir une réduction à … 4,90euros ! Soit un tarif incroyablement bas mais il fallait avoir la carte de fidélité Confluence. Vu que je n’y étais pas retourné depuis l’ouverture du centre commercial où j’avais refusé de faire la queue des heures pour avoir cette carte, je me suis fait avoir sur toute la ligne !
Et le film alors ? Vu le prix que j’ai payé, j’espérais qu’il en valait la peine… Massacré par le très peu de critiques qui l’ont vu – sauf LE PARISIEN qui a adoré le film - cette série B qui sort ici au cœur de l’été est un joyeux divertissement rafraichissant et délassant. Je n’ai pas tout compris à ces histoires de paris professionnel qui sont un univers très particulier et de connaisseurs... pourtant j’ai apprécié l’évolution des personnages et la bonne humeur du groupe de comédien tous excellents et Catherine Zeta Jones, déjantée et classieuse, totalement méconnaissable au point que je me suis demandé tout le film si c’était elle ou pas ! Un bon petit divertissement pétillant pour le mois d'aout.
Considéré comme moyen par les critiques, j’ai été plutôt agréablement surpris par ce film. On retrouve un cinéma américain (réalisateur anglais) auquel on peut facilement s’accrocher, des rapports humains réalistes, et simples, des personnes qui ont des émotions comme vous et moi…..Bruce Willis est touchant dans sa naïveté amoureuse envers l’actrice principale…C’est une histoire de paris truqués qui nous fait voyager à Vegas, dans les motels (les voyageurs apprécieront), à New York et même dans les îles….Le scénario, simple pendant la majeure partie du film, se complique en fin de film, ce qui rajoute un peu de piment à l’histoire….Le cœur de Bruce Willis, tiraillé entre deux femmes, nous vaut une comédie peut être parfois consensuelle, mais qui dans son genre apporte son petit bonheur, j’ai apprécié ce film de Stephen Frears, qui n’est quand même pas le premier venu et qùi montre sa capacité à traiter toùs les sùjets….
J'avais beaucoup aimé Tamara Drew, dernier film en date de Stephen Frears. C'était il y a deux ans, et le réalisateur semble avoir passé une sale période depuis. Il revient avec une bouillie immangeable à la sauce Vegas en croyant que la seule atmosphère et un casting très intéressant vont suffire à rendre le film bon. Raté. Rebecca Hall, que j'avais toujours trouvée très bonne, est d'un ridicule affolant dans ce rôle, et j'ajouterais même qu'elle joue très mal, ses répliques sortant dans le mauvais tempo et avec de fausses intonations, pas crédibles pour un sous. L'histoire est rendue compliquée pour rien, et ils auraient pu vulgariser le jargon technique un peu plus. Zeta-Jones doit vraiment arrêter le cinéma, ses rôles de potiche inutile s'accumulant dangereusement. On nous sert donc dans le scénario une fade idée à la Ocean's Eleven, qui ressemblerait autant à son modele que Justin Biber à Michael Jackson. Et on se fait chier comme pas permis... Qu'est-ce que le temps est long devant un film comme ça. Le pire, c'est qu'on sait qu'on va souffrir des la première scène. Que dire de Bruce Willis ? A part se trainer dans des tenues ridicules tout le film, il est sous-exploité. J'ai de la peine pour lui. A zapper absolument sous peine d'endormissement aigu.
C'est frais, c'est vivant, parfois voire souvent un peu trop enfantin, mais le tout fait tout de même du bien. On ne se pose pas de questions, car après tout ce n'est pas fait pour ça mais pour se divertir pleinement. Catherine Zeta-Jones a l'air d'être un hologramme sorti tout droit des années 60. "- Tais-toi. - J'n'ai rien dit. - Tes pensées m'cassent les oreilles."