Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
SuperMadara
85 abonnés
935 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 16 décembre 2012
Une comédie agréable mais assez vide, un bon casting mais pas grand chose a raconter sur une heure trente. Adaptée d'une histoire vraie, le scénario raconte l'aventure d'une ex-stripteaseuse venu a Vegas pour travailler avec un bookmaker grincheux mais sympathique, et elle va se découvrir un talent pour porter chance, jusqu'à ce que la roue tourne, une intrigue assez agréable et légère, mais qui ne parle pas de grand chose, a part les petits problèmes d'argent ou de coeur, et le monde des paris n'est pas si clair. Découverte par Woody Allen et Christopher Nolan, Rebecca Hall joue l'idiote avec implication et exagère ses mimiques pour paraitre toujours plus idiote, alors que le grand Bruce Willis semble s'amuser énormément et sa femme Catherine Zeta-Jones est souvent en second plan, presque inutile. Réalisateur de l'excellent "The Queen", Stephen Frears part se faire une bronzette a Vegas, et se contente d'une mise en scène qui tient du minimum syndical, il n'évoque pas grand chose et laisse ses acteurs faire le travail. Une comédie sauvé par un très bon casting, mais qui se contente du minimum.
Une comédie sympathique avec Bruce Willis, sur fond de Las Vegas, dans l'univers impitoyable des bookmakers, sans autre prétention. Il serait idiot de chercher à critiquer. Si on n'aime pas Bruce Willis, s'abstenir.
Un film sur les jeux à Vegas avec un B. Willis en bookmaker nerveux au grand coeur, une Zeta Jones qui sert à rien ainsi que le type qui à joué dans Dawson et une R. Hall très mignonne et pleine de vie, ça se regarde une fois et ça s'oublie vite, à noter la scène final avec Willis sur le dance floor très drôle.
Alors là aussi, je n'ai pas du voir le même film que tout le monde!! Là où j'y ai vu second degrés et subtilités, on y a vu ridicule et bluette!!??! Et bien non, je l'ai trouvé gonflé, fascinant, magistralement joué. Alors pas de chef d'œuvre bien sur, mais travaillé, pensé et passionné... Ce qui pour Frears est largement soulignable;-)) non vraiment, une jolie comédie toute particulière et surprenante. Merci;-))
Sur le thème du jeu, du pronostic, du pari, Hollywood nous avait déjà fait connaître le monde des sociétés qui conseillent, qui tuyautent, qui donnent des infos en béton. C'était il y a une demi-douzaine d'années avec "Two for the money" où Matthew McConaughey nous disait sur qui il fallait miser. En plus, il était payé pour ça. Avec "Lady Vegas", Stephen Frears nous entraîne de l'autre côté du miroir, dans l'univers de ceux qui suivent (ou pas) ces indications avisées qu'entre nous tout le monde pourrait donner. Si cette histoire n'a en elle-même rien d'extraordinaire, cela donne néanmoins une bonne comédie gentillette, optimiste, avec des acteurs adorables. Avec au premier titre Rebecca Hall, bien agréable révélation à la mâchoire supérieure proéminente et aux jolies jambes qu'elle nous montre tout au long de ce film grâce à des tenues et des shorts sexys. Et aussi Vince Vaughn, excellent en bookmaker tordu et déjanté. Toutefois, dans un monde où le mot "effort" semble devenu tabou et où beaucoup voudraient se faire du fric facile, j'ai bien peur que cette aimable farce donne de mauvaises idées aux cossards de tout poil !
Source : Plog Magazine, les critiques des ours http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/08/lady-vegas-les-memoires-dune-joueuse.html
Portrait touchant et amusant d'une insupportable simplette américaine à Las Vegas. N'importe quelle actrice aurait pu faire simplette vraiment insupportable mais le fait de retrouver Rebecca Hall dans ce rôle casse tout. L'élégante, la raffinée Rebecca Hall en mini-short avec une voix haut perchée, mâchant du chewing-gum, l'air bête... Et bien oui, et c'est un des atouts majeurs de ce film amusant mais construit comme un yoyo. En effet ça monte (elle va à Las Vegas, trouve un job, gagne de l'argent), ça redescend (la femme de Dink la fait virer), ça remonte (elle est à nouveau embauchée), ça redescend (elle perd de l'argent et se fait virer)...... Bref. Au moins, cette construction va de paire avec le monde des paris dans lequel Beth (Hall) rentre par l'intermédiaire du personnage amusant campé par Bruce Willis, Dink. Dink est un vrai "gambler" qui fonctionne aux chiffres certes, mais surtout à l'instinct. C'est dommage qu'il y ait tous ces petits détails passionnants de caractérisation qui ne soient pas utilisés dans la dramatique (Il se gratte souvent un point jaune imaginaire sur le bras qu'il essaie de montrer aux gens : c'est amusant, mais c'est anecdotique par non exploité). La galerie de personnages que propose Lady Vegas est intéressante car elle renvoie vraiment à plusieurs personnages types (tous différents) de cet univers de fric, de descente infernale... En bref, un film inégal qui présente quelques lacunes mais qui néanmoins constitue un bon "divertissement" (j'utilise ce terme beaucoup trop souvent en ce moment, mais au fond, si on va au cinéma c'est en - grande ? - partie pour se divertir, se changer les idées... Lady Vegas remplit le contrat de ce côté-là) amusant et intéressant. Et puis Rebecca Hall dans ce rôle-là : PRICELESS (but annoying, but priceless, but annoying, but...).
Le casting hautement fourni était bien trompeur. Sorti au milieu de l'été avec un titre ridicule, ce film ne pouvait qu'être un navet de plus. C'est pas totalement ridicule, mais l'histoire est insipide, étirée jusqu'à plus soif, et le film ne démarre jamais vraiment, retombant comme un soufflet. On reste un tout petit indulgent parce que Rebecca Hall est sympathique et le reste du casting aussi, bien qu'en pilotage automatique.
On a beaucoup de mal à croire que ce film est du même Stephen Frears qui a fait My beautiful laundrette......... On attend patiemment que le film démarre, ça reste plat, avec de gros clichés. Film nul, à éviter
Stephen Frears, vous savez ? Le réalisateur de « My Beautiful Laundrette », « The Snapper », « Les liaisons dangereuses »... Eh bien c'est le même que celui qui a œuvré sur « Lady Vegas ». Je préfère préciser au cas ou vous rentreriez dans la salle sans le savoir ou en vous demandant si ce n'est pas un homonyme, car il est peu dire que l'anglais s'est salement égaré. On se demande même comment le roi de la causticité, le représentant d'un cinéma intelligent et engagé a pu se retrouver à la tête d'une telle entreprise tant celle-ci est l'exacte contraire de ce qu'il affectionne habituellement. Hommage à la gagne typiquement américaine, dialogues insipides, représentation sans piquant ni provocation de Las Vegas... Je serais curieux d'entendre ce que Frears a à dire pour sa défense tant le résultat est un échec à tout point de vue, à peine bon pour un vulgaire faiseur hollywoodien. Pire : on ne peut même pas se reposer sur les personnages, à l'image d'un festival de caricatures grotesques, où Catherine Zeta-Jones décroche le pompom du ridicule et de l'excès, suivie de très près par Rebecca Hall. Ca hurle, ça s'énerve, mais tout cela reste désespérément creux, avec pour seuls enjeux les allers-retours de Beth chez Dink, et une pauvre histoire de paris déjà vue de nombreuses fois avec infiniment plus de brio... Et je vous passe les incohérences parfois hallucinantes, sans oublier le petit ami le plus inintéressant de l'Histoire du cinéma... En revanche, comment ne pas vous parler du dénouement ? Alors que je voyais venir gros comme une maison l'habituel coup de théâtre final inhérent à ce genre de productions, et bien pas du tout ! Seul problème : celui-ci est remplacé par une fin tellement mièvre et ridicule que j'aurais encore préféré le fameux « twist »... Rien à sauver alors ? Ah si : au début la belle Rebecca exécute une danse particulièrement sexy. Et puis il y a une réplique marrante aux deux tiers. Ba voilà. Bonne nouvelle toutefois : après un tel naufrage, Stephen Frears ne pourra que se reprendre lors de son prochain tournage. C'est bien tout ce qu'on lui souhaite...
Une chose est sure, tourner aux Etats-Unis ne réussit absolument pas à Stephen Frears (The Queen - 2006 & Tamara Drewe - 2010), comme en atteste le décevant et au combien inutile Lady Vegas - Les Mémoires d'une joueuse (2012). Quel était l’intérêt de mettre en scènes les mémoires de Beth Raymer ? Le film à lui tout seul brasse du vent, si vous n’êtes pas amateurs des jeux d’argent et de l’univers des paris en général, vous risquez fort de trouver le temps long, d’autant plus que le film ne fait absolument rien pour se démarquer et nous dérider (c’était censé être une comédie !). Même le casting fait peine à voir, à commencer par Rebecca Hall qui en fait des tonnes face à un Bruce Willis égale à lui-même, Vince Vaughn fait de la figuration et enfin, Catherine Zeta-Jones ne sert pas à grand-chose si ce n’est à remplir le quota de présence féminine du casting. Pourquoi l’avoir sortie au cinéma en lieu et place d’une exploitation en DTV ? Si c’est pour son casting, on aurait très bien pu s’en passer.
Honnête divertissement qui vaut surtout par son casting de qualité : Rebecca Hall convaincante avec autour d'elle Bruce Willis, Vince Vaughn ou encore Catherine Zeta-Jones marrante en "desperate housewife" liftée. Dommage que le scénario et la réalisation de Stephen Frears ne soient pas vraiment à la hauteur ; de plus, le monde des paris est complexe à comprendre pour un public néophyte, d'autant plus qu'en France il n'y a pas de bookmakers à chaque coin de rue comme en Angleterre.
Lady Vegas est un film de Stephen Frears, incroyable de voir un film comme çà pour un tel réalisateur. Le réalisateur de Les Liaisons dangereuses nous offre un de ses plus mauvais films. Aucun rythme, le film s’enlise dans un méli-mélo sans aucun intérêt. Le monde des parieurs professionnels est décrit comme un monde gentillet… L’actrice principale joue une nunuche mais trop c’est trop. Catherine Zeta-Jones en épouse vulgaire est nulle, et Bruce Willis en parieur professionnel tantôt suréxité, tantôt déprimé semble ramolli…
De ce film, le Daily Telegraph a déclaré : “Chaque scène est éclairée comme une pub de jus d’orange.”
Je soutiens ce film qui a l' air de faire un bide A TORT, car hormis la bonne note de La Croix, la presse boude ce scénario pourtant animé: la musique est fun, la façon de filmer sympa, à part l' épisode de la femme de Willis en retour de lifting et son côté personnage de roman à l' eau de rose un peu acariâtre, le film est plein de peps. Ne pas voir ce film de divertissement est une erreur! Et on ne s' ennuie pas une seconde, la fille est trés belle et cela repose sur une histoire vraie. Quelle mouche a piqué la presse? ce film mérite un 3, de plus y est introduit la notion "de vie de couple durable" ne cédant pas aux coups de foudre.
Je n'ai lu les critiques qu'après être allé voir le film. Pour une fois, je me rapproche de l'avis de gens de la presse qui habituellement encensent les navets incompréhensibles et se délectent à assassiner les bonnes productions, oubliant au passage que eux ne paient de toute façon pas leur place. Je dirais simplement qu'on ne passe pas forcément un mauvais moment mais bon, je suis bien déçu pour une réalisation de Stephen Frears. Contrairement à d'autres, je trouve que Rebecca Hall sauve le film dans son rôle de petite ingénue faussement stupide et, évidemment, grâce à une plastique qu'elle a irréprochable et qui est en permanence mise en avant. Mais ce n'était pas l'objectif du film il me semble...