Stephen Frears délaisse son pays natal pour aller s'aventurer dans la cité du vice, Las Vegas. Mauvaise nouvelle. On ne sent pas l'ambiance folle et festive qui devrait se dégager de cette ville où tout peut arriver. Il choisit comme interprète la belle Rebecca Hall (Le Prestige, Vicky Cristina Barcelona) pour jouer Beth, une jeune femme débarquant dans le monde des paris. Mauvais choix. D'ordinaire bonne actrice, celle-ci en fait beaucoup trop pour incarner ce rôle de (fausse) cruche, naïve et déboussolée. Si l'univers des bookmakers est assez intéressant, on reproche toutefois au cinéaste de mettre de côté un rythme et une certaine tension qui manquent cruellement à Lady Vegas, pour insérer une romance futile entre la femme et son patron. Mauvaise idée. Mais Hall n'est pas la seule à avoir un personnage manquant clairement de profondeur. Catherine Zeta-Jones est grossière en femme vénale pour qui la superficialité ne fait pas peur. Quant au petit copain de Beth (Joshua Jackson), il est tout simplement inutile à la narration. Nous avons en effet un scénario mal construit, peu inspiré et qui tourne en rond sans jamais trop captiver le spectateur. Le seul à sortir son épingle du jeu est l'éternel Bruce Willis. Malgré sa performance dans Moonrise Kingdom, ce dernier est peu habitué à ce genre de rôle mais arrive à proposer un jeu simple et délicat, lui permettant de montrer un homme fatigué mais passionné par les paris. Tiré de l’œuvre de Renner Lady Vegas : Les Mémoires d'une joueuse, le scénariste aurait du laisser le livre où il était, car le cinéma n'aura rien eu à lui offrir, si ce n'est un film fade et sans saveur.
Pour un univers aussi controversé, dangereux et l'argent qui est en jeu, en tirer un film léger et jovial partait d'une bonne intention et avait un certain potentiel. Tiré d'un livre autobiographique, quel endroit est le mieux que Las Vegas pour un film sur les paris sportifs et en tout genre. La bonne humeur et la folie de Rebecca Hall en Beth qui se retrouve dans les paris et se trouve un talent caché au service d'un Bruce Willis toujours aussi juste et fantasque. Mais "Lady Vegas" n'est pas assez ambitieux et pris un peu au sérieux pour être apprécier et qui reste en mémoire. Le seul bon côté est la prestation de Bruce Willis et de Joshua Jackson dont j'aimerais voir plus souvent au cinéma. A passer son chemin !!
Se film est absolument à voir pour les fans de Bruce Willis , c'est une super comédie on ne s'ennuie pas 1 secondes , un pur bonheur à voir et à revoir.
Que dire, 1h30 de perdu , un scénario mal mené, une actrice principal qui aurait du resté dans le streap base du film , les paris , elle, elle débarque, tombe avec une légende des paris de VEGAS, pige tout parce quelle sait compter , waouh , coté crédibilité cest faible , je ne vois surtout pas ce quil ya de bien , coherence moyenne , sa fait légérement pensé à hardball avec keanu reeves , genre, jfais the pari qui soit m"enterre soit me sauve avec le super coup de chance imprévus ..... aucun suspence en plus .....
Un film sur les paris et les bookmakers avec deux acteurs qui semblent s'amuser plus que le spectateur. Cousu de fil blanc et assez peu crédible. Parait que c'est une histoire vraie. Très romancée alors. Rebecca Hall est assez jolie.
Au bout de 15 mns, j'ai compris pourquoi le film était aussi mal noté. Scnéario sans grand intéret. Les acteurs qui me donnent l'impression de ne pas savoir où ils sont. Pourtant c'est un bon casting mais ça me fait de la peine de voir 2 excellentes actrices comme Rebecca Hall et Catherine Zeta-Jones tournées dans un navet pareil. C'est mou, ça vole pas haut du tout. Franchement, film à éviter.
Aussi sympathique soit-il, "Lady Vegas" tourne à vide.On suit d'un œil distrait les péripéties de cette jeune donzelle en quête de liberté et d'argent. C'est distrayant mais peu emballant. Les acteurs font ce qu'ils peuvent pour valoriser le film, et on se demande si Stepehn Frears se sentait concerné par ce film, le manque de convictions se faisant ressentir. On consomme donc ce film, on se rend compte qu'il n'est pas très abouti, mais on le digère quand même. Eh oui, ce n'est pas si indigeste...
Stephen Frears n'est pas n'importe qui et pourtant il fait un film que n'importe qui pourrait faire. C'est sans saveur , ce n'est pas tellement drôle , l'histoire est finalement très peu intéressante alors oui Rebecca Hall est jolie , oui les minis shorts lui vont très bien mais elle joue comme un pied dans ce film comme tous les autres d'ailleurs .
Un grand réalisateur anglais s'intéresse au jeu et pari à Las Vegas avec un casting qui ne peut que faire envie. Adapté des mémoires d'une journaliste on suit donc les aventures d'une ingénue dans le monde impitoyable des bookmakers. Le scénario est ausi peu intéressant que crédible, s'il s'agit d'une histoire vraie le côté comédie pop-corn retire toute vraisemblance à cette histoire où l'ingénue ne l'est pas vraiment et les requins du milieu se font avoir comme des bleus. Mise en scène classique et dialogues peu sans intérêt font que ce film est le moisn bon de Stephen Frears. Outre les interprétations funs du couple Willis-Zeta-Jones on est charmé par Rebecca Hall ("Vicky Cristina Barcelona" de Woody Allen). Heureusement que les acteurs font le jeu car le reste est un peu insipide. On se demande surtout ce qui a plu à Stephen Frears là-dedans. Ca se regarde sans plus.
Je n'ai pas comprisl'objet du film, en plus je me pince en voyant le nom du réalisateur !!? Dans le même registre Rebecca Hall joue très bien les idiotes mais je ne vois pas trop le rapport avec son rôle.
Pour ceux qui aiment les paris en ligne, les salons de jeux de prise de paris sportifs à Las Vegas, la mecque du jeu au monde, vous allez adorer. 3 étoiles et demie.
Ce film 's il mérite cette appellation' est très très mauvais voir carrément nul ! le sénario est tellement grotesque, l histoire est tellement pas crédible ( ça saute au yeux tellement c mal foutu....petit example : un bookmaker reconnu ds l pays engage une stripteaseuse crédule pr travailler ds un monde quel n a jamais côtoyé ,, une semaine après il l a vire pr ..on sait pa prkoi enfait..et n arrive plus a gagné d argent elle été dvenu son meilleur atout en une semaine !!) et c Stephen Frears qui a réalisé ça !! le meme qui a fait des films excellants genre tamara drewe , Queen , dirty pretty things incompréhensible !! une bonne meuf en la personne de rebecca hall(qui a plus surjoué que joué) suffit pas a faire un film !
Stephen Frears dans ses plus mauvais jours. Oui, si les formes de la belle Rebecca Hall ne le sont pas moins que celles de Gemma Arterton dans Tamara Drew, le film, lui, est nettement plus insignifiant. Lady Vegas, de son titre français, nous conte maladroitement l’hystérie d’une fille paumée, douée en chiffres et lettres, qui devient la protégée d’un Bookmaker agréé du comté de Las Vegas. Paris sportifs, casinos, jeux de chance, Las Vegas comme on l’a vu des milliers de fois. Rebecca Hall, donc, à la tête d’un casting solide mais strictement inutile. Si l’actrice s’avère pénible à force d’hystérie et de bêtise, elle reste tout de même, sans doute du fait de tenues passablement déshabillées, le centre du film.
Pour le reste, Bruce Willis s’est une nouvelle fois planté, n’étant là que pour enfoncer le clou ou se pavaner dans une gamme de T-Shirts tous autant moches les uns que les autres. Il y aussi Katherine Zeta-Jones, décidemment en méforme et l’imbuvable Vince Vaughn, une nouvelle fois au plus bas de la profession d’acteur. C’est simple, Lady Vegas est indigeste, inutile et sans intérêt. L’on n’adhère en rien au destin de cette jeune femme nous faisant plus pitié que rire, et de toute la clique qui l’accompagne.
Un film désolé, fade, maussade qui ne sert strictement à rien. C’est dit. Oui, après le sympathique Tamara Drew, celui-ci fait tâche dans la filmographie du réalisateur qu’est Stephen Frears. Rien à dire de plus. 04/20