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Val_Cancun
53 abonnés
764 critiques
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2,5
Publiée le 13 août 2013
Une petite comédie distrayante mais insignifiante, qui repose quasi exclusivement sur le charme atypique de l'anglaise Rebecca Hall, qui promène ses jambes interminables et son petit short sexy tout au long du film, pour notre plus grand plaisir. Joshua Jackson et Catherine Zeta-Jones font de la figuration dans un scénario qui manque d'enjeux véritables. Stephen Frears à la réalisation parvient toutefois à donner une couleur et un ton à cette petite histoire sans prétention.
La plus simple des comédies américaines, on retrouve tout les ingrédients habituels rien n'est oublier. Et même si la prestation de Bruce Willis n'est pas une de ses meilleurs performances, on saluera sa présence, qui donne au film un côté sympa et bon enfant.
Bon, je ne vais m’étendre davantage sur ce film assez sympathique mais assez insignifiant. Déjà, je ne comprends rien aux paris, à leur subtilité. Peu importe, je ne comprends rien au poker et j’ai été capté par « Le kid de Cincinnati » ; je ne comprends rien à la haute finance, et je suis resté skotché devant « Wall Street ». Là, ça va trop vite, un peu comme à l’image de la nervosité et l’impatience de Dink. Il n’était pas là pour nous expliquer ; comme Beth, je devais plonger dans le bouillon. Soit je nage, soit je coule. J’ai barboté jusqu’aux rivages du générique de fin. Je n’ai pas très bien capté la pseudo-romance entre Beth et Dink, cela a dû se passer en hors champ. Ce qui fait, on la découvre subitement, on est dans le doute, on se pose des questions à savoir si on a manqué un épisode, si on s’est endormi, si on a bu la tasse ; à moins que l’explication est à découvrir dans la rubrique « scènes coupées ». Voilà une des faiblesses du film. C’est une histoire vraie et je l’ai écrit il y a peu (Allociné s’évertue à mentionner « lire sa critique ») toutes les histoires vraies et biopics, je me moque de la réalisation. Je regarde le film de manière neutre comme je découvrirais un magazine. Et si « Miracle en Alaska » n’avait rien d’original dans sa réalisation, j’étais très attentif au récit ; par contre, ici, l’histoire personnelle de Lady Vegas m’indiffère totalement bien que je ne me suis pas ennuyé. C’est toujours intéressant d’aller à la découverte de milieux différents. Franchement, je m’attendais à mieux et le fait d’y avoir inscrit un personnage fictif comme celui de Rosie et d’y insérer un pseudo-suspens n’y a rien fait. Il n’y avait rien de palpitant. Stephen Frears s’est décarcassé pour rien. C’est à se demander si les mémoires de Lady Vegas, à l’origine, valaient le coup d’être éditées... Je retiendrai le côté adulescent des deux principaux personnages : Dink et Beth ; l’un avec un bermuda et des chaussettes montantes d’un goût minable ; le sac à dos de l’une, vêtue de shorts sexy avec cette manie de toucher sans cesse ses mèches. Et je ne parle pas de ses sourires niais. Entendons-nous bien, ce n’est pas un reproche pour Bruce Willis et Rebecca Hall, tous deux impeccables et à voir en VO. Mais les personnages ne sont guère intéressants et leur parcours personnels tout autant. Un film vite oublié... de ma mémoire !
Ma foi, je ne me suis pas du tout ennuyé, Le couple Willis Zeta Jones fonctionne bien et Rebecca Hall est assez craquante, mais comme souvent il faut le voir en VO pour les dialogues et les voix
Un film ennuyeux pur ma part, c'est vrai que le sujet des paris sportifs et bookmaker ne m'interesse guère. Pour une fois que bruce willis n'use pas de ses gros bras c'est ce qui m'a attiré pour regarder ce film j'ai beaucoup regretté Les acteurs ne sont pas crédibles
Stephen Frears est en très petite forme et signe un film insignifiant. Les acteurs sont moyens et peu inspiré par cette histoire qui manque d'ambition et d'intérêt.
Impossible de reconnaître le talent de Stephen Frears derrière cette comédie d'arnaque légèrement hystérique,qui ne semble jamais savoir quel chemin prendre. L'héroïne de "Lady Vegas",une ex-playmate deveant une pro des paris professionnels est peu crédible,tout comme son évolution. Rebecca Hall surjoue en permanence,même si la pilule passe grâce à son physique affriolant dont elle joue admirablement. Bruce Willis est étonnant en parieur chétif et colérique,alors que Catherine eta-Jones s'éclate à jouer la rombière raide comme un piquet. L'histoire porte sur le monde de bookmakers sportifs,de leurs combines,de leurs superstitions,toujours dans une optique de gagner de l'argent,et non de l'estime de soi par exemple. Le film est il faut l'admettre ludique(surtout quand apparaît Vince Vaughn),mais il est mal monté,et d'une vacuité franchement inquiétante.
Donc ça, c'est une comédie?! C'est étrange, je pensais qu'une comédie procurait des sourires, des rires, des bons moments et que ça faisait du bien à regarder. Mais ce film n'a aucun de ces effets. Un film sans profondeur, sans envergure, sans situations cocasses ou drôles, au rythme très inégal, doté d'une réalisation catastrophique et une actrice principale horripilante dès les premières minutes. Une horreur !!
Adaptation des mémoires de la journaliste Beth Raymer, « Lady Vegas » est une comédie poussive qui a du mal non seulement à faire sourire le spectateur, je ne parle même pas de le faire rire, mais qui plus est à maintenir en éveil l’attention de ce dernier. Car l’intrigue du film est pour le moins mollassonne et on a du mal à se sentir concerner par les péripéties inoffensives de cette jeune femme un peu simplette. En fait l’histoire se déroule devant nous sans réelle tension et on se demande pendant les trois-quarts du film où le réalisateur veut en venir. Beth quitte son boulot de stripteaseuse, Beth devient bookmaker, Beth tombe amoureuse et se fait virer, Beth retombe amoureuse et se fait réengager, Beth démissionne et part à New York… Les aventures de la pauvre Beth se déroulent sans jamais offrir un quelconque intérêt aux yeux d’un spectateur rendu apathique par tant de vacuité. À côté de ça Bruce Willis pique des crises, Catherine Zeta-Jones cabotine en pouffe de Vegas et Joshua Jackson joue les potiches. Quant à l’actrice principale Rebecca Hall elle est tout simplement transparente, pour ne pas dire ridicule dans les scènes où elle pique sa crise de larme. Le film semble s’emballer dans les dernières vingt-cinq minutes, mais sans grande force pour presque aussitôt retomber dans le ronron du début. Pour être clair ce film est absolument sans aucun enjeu et se contente de présenter de façon insipide les pérégrinations d’une heureuse de la crèche tombée au milieu du monde des bookmakers, l’ensemble ressemblant plus à un pilote de série qu’à un long-métrage pour le cinéma. Bref un film tout simplement sans intérêt qui vous sortira de l’esprit à la seconde où l’air frais de l’extérieur du cinéma vous aura réveillé. À éviter sans regret.
Le personnage principal est plus agaçant au début du film : ultra-naïve que c'en est caricatural, parle fort ... Mais elle va évoluer tout au long du film, et comme le scénario est à peu près correct, ça sauve le film de la catastrophe. Les personnages ont un côté hollywoodien. Cela vous détendra, mais les grandes émotions ne seront pas au rendez-vous.
Un film pas terrible, l'histoire manque de cohérence et de crédibilité. C'est l'histoire ou comment on passe d'une vie à l'autre, celui du jeu et de l'argent, en brûlant les étapes et en n'y comprenant presque rien.