Lady Vegas - Les Mémoires d'une joueuse : Critique presse
Lady Vegas - Les Mémoires d'une joueuse
Note moyenne
1,7
18 titres de presse
La Croix
TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Ecran Large
Elle
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Positif
Première
Excessif
L'Express
Le Point
Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Catherine Zeta-Jones en épouse aussi raide que sa chevelure amidonnée et surtout Bruce Willis en Dink chétif et anxieux sont les vraies surprises de ce long métrage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
TéléCinéObs
par Vincent Ostria
Joyeux, mouvementé, mais aussi léger et éphémère qu'une bulle de savon.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Ouvertement conçue pour une soirée bière et télé, la réalisation colle tellement à son personnage et à son sujet candides et bidons qu'elle semble vraiment les aimer : cela rend ce nanar presque sympathique et un peu intrigant.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Alexis Gilliat
S'il n'a plus rien à prouver en tant que réalisateur, Stephen Frears reste néanmoins tributaire des scénarios qui lui parviennent, puisqu'il n'est pas l'auteur de ses films. Tiré des mémoires de son affriolante héroïne, celui de "Lady Vegas" est plutôt cocasse et sympathique, mais même s'agissant d'une récréation, on peine assez vite à lui trouver de l'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Sandy Gilet
Il faut croire que la partie était jouée d'avance et Frears d'inscrire tout en bas de sa filmographie un "Lady Vegas" à la vacuité qui fait vraiment tâche.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Sophie de Chivré
Avec " Lady Vegas ", on est bien loin de la profondeur des " Liaisons dangereuses " et de " The Queen ". Stephen Frears offre certes une comédie divertissante – merci Bruce Willis et Catherine Zeta-Jones ! – et optimiste mais le résultat n'en est pas moins mou du genou et décevant, au vu des performances précédentes du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le réalisateur anglais transforme l'enfer du jeu en une comédie qui se traîne, portée par un Bruce Willis poussif et ramolli. Reste le charme de Rebecca Hall, fausse ingénue rigolote.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Regnier
L'évidente désinvolture avec laquelle [Stephen Frears] traite son scénario, le mépris dans lequel il tient ses personnages conduisent à s'interroger sur les raisons qui l'ont poussé à faire ce film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Stephen Frears peine à trouver son sujet dans cette comédie dont le casting laissait pourtant présager le meilleur. Histoire d'amour, passion pour le jeu, ivresse de l'argent, "Lady Vegas" hésite, au point d'en oublier de faire rire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eithne O'Neill
L'écriture semble un collage maladroit de deux histoires : la première, plus âpre, la seconde, mélo, mais l'ensemble est jonché d'une pléthore de personnages et de bavardages superflus (...) Regardons "Lady Vegas" comme un accident de parcours.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
"Lady Vegas" est clairement le moins réussi des films américains de Stephen Frears.
La critique complète est disponible sur le site Première
Excessif
par Nicolas Schiavi
Toute comédie a besoin de rythme et le film de Stephen Frears ne trouve jamais le sien, enchaînant des séquences de dialogues insipides et des instants romantiques désincarnés. (...) Son nouveau film est à l'image de son héroïne : peu crédible.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Julien Welter
Stephen Frears a réalisé du très bon ("Les Liaisons dangereuses", 1988), du bon ("Tamara Drewe", 2010) et du moins bon ("Mary Reilly", 1996). Avec "Lady Vegas", il signe un véritable navet. (...) Seul bon point: le film est constant dans sa nullité.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une célébration aveugle de la gagne à l'américaine sans l'ombre d'une distance critique. On ne reconnait plus Frears, qui semblait doté d'une certaine conscience politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Les acteurs ont beau s'agiter, piailler, hurler, le film reste étrangement inerte et fade, mis en scène à distance en pilotage automatique et surtout incompréhensible pour les néophytes des paris professionnels.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Samuel Douhaire
La vulgarité de Las Vegas constituait, a priori, un terrain d'observation fertile pour le regard caustique de Stephen Frears. Mauvaise surprise : on découvre un éloge de la "gagne" à l'américaine (...). Réalisée en touriste, la comédie de moeurs tourne vite mais à vide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
Catherine Zeta-Jones en épouse aussi raide que sa chevelure amidonnée et surtout Bruce Willis en Dink chétif et anxieux sont les vraies surprises de ce long métrage.
TéléCinéObs
Joyeux, mouvementé, mais aussi léger et éphémère qu'une bulle de savon.
Cahiers du Cinéma
Ouvertement conçue pour une soirée bière et télé, la réalisation colle tellement à son personnage et à son sujet candides et bidons qu'elle semble vraiment les aimer : cela rend ce nanar presque sympathique et un peu intrigant.
Critikat.com
S'il n'a plus rien à prouver en tant que réalisateur, Stephen Frears reste néanmoins tributaire des scénarios qui lui parviennent, puisqu'il n'est pas l'auteur de ses films. Tiré des mémoires de son affriolante héroïne, celui de "Lady Vegas" est plutôt cocasse et sympathique, mais même s'agissant d'une récréation, on peine assez vite à lui trouver de l'intérêt.
Ecran Large
Il faut croire que la partie était jouée d'avance et Frears d'inscrire tout en bas de sa filmographie un "Lady Vegas" à la vacuité qui fait vraiment tâche.
Elle
Avec " Lady Vegas ", on est bien loin de la profondeur des " Liaisons dangereuses " et de " The Queen ". Stephen Frears offre certes une comédie divertissante – merci Bruce Willis et Catherine Zeta-Jones ! – et optimiste mais le résultat n'en est pas moins mou du genou et décevant, au vu des performances précédentes du réalisateur.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur anglais transforme l'enfer du jeu en une comédie qui se traîne, portée par un Bruce Willis poussif et ramolli. Reste le charme de Rebecca Hall, fausse ingénue rigolote.
Le Monde
L'évidente désinvolture avec laquelle [Stephen Frears] traite son scénario, le mépris dans lequel il tient ses personnages conduisent à s'interroger sur les raisons qui l'ont poussé à faire ce film.
Les Fiches du Cinéma
Stephen Frears peine à trouver son sujet dans cette comédie dont le casting laissait pourtant présager le meilleur. Histoire d'amour, passion pour le jeu, ivresse de l'argent, "Lady Vegas" hésite, au point d'en oublier de faire rire.
Positif
L'écriture semble un collage maladroit de deux histoires : la première, plus âpre, la seconde, mélo, mais l'ensemble est jonché d'une pléthore de personnages et de bavardages superflus (...) Regardons "Lady Vegas" comme un accident de parcours.
Première
"Lady Vegas" est clairement le moins réussi des films américains de Stephen Frears.
Excessif
Toute comédie a besoin de rythme et le film de Stephen Frears ne trouve jamais le sien, enchaînant des séquences de dialogues insipides et des instants romantiques désincarnés. (...) Son nouveau film est à l'image de son héroïne : peu crédible.
L'Express
Stephen Frears a réalisé du très bon ("Les Liaisons dangereuses", 1988), du bon ("Tamara Drewe", 2010) et du moins bon ("Mary Reilly", 1996). Avec "Lady Vegas", il signe un véritable navet. (...) Seul bon point: le film est constant dans sa nullité.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Une célébration aveugle de la gagne à l'américaine sans l'ombre d'une distance critique. On ne reconnait plus Frears, qui semblait doté d'une certaine conscience politique.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Les acteurs ont beau s'agiter, piailler, hurler, le film reste étrangement inerte et fade, mis en scène à distance en pilotage automatique et surtout incompréhensible pour les néophytes des paris professionnels.
Télérama
La vulgarité de Las Vegas constituait, a priori, un terrain d'observation fertile pour le regard caustique de Stephen Frears. Mauvaise surprise : on découvre un éloge de la "gagne" à l'américaine (...). Réalisée en touriste, la comédie de moeurs tourne vite mais à vide.