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Rèalisè par Curtis Bernhardt qui avait dèjà dirigeait Humphrey Bogart dans l'admirable "La mort n'ètait pas au rendez-vous", "Sirocco" pâtit d'intrigues invraisemblables, de caractèrisations exagèrèment tènèbreux, et l'action est si apathique que le spectateur est parfois en droit de se demander "mais qu'est ce que c'est bon finalement"! Bogart y joue son habituel numèro d'antihèros dèsillusionnè dans celui d'un trafiquant d'armes damascène et se montre une fois de plus excellent! Cela se passe pendant le blocus de Damas, jusqu'au bout le hèros de "Casablanca" fait tout pour se tirer de la mauvaise passe dans laquelle il se trouve! Le final dans les catacombes montre un Bogey magnifique! Très belle prestation ègalement de Lee J.Cobb dans un rôle à contre-emploi! Un bon film servi par une mise en scène efficace...
weihnachtsmann
La trame est plutôt claire. C’est un bon point. Le triangle amoureux et le contrebandier qui sait où sont ses intérêts des deux côtés de là barrières.
Sinon le film est plaisant et l’ambiance assez réussie.
On regrettera quand même de trouver Bogart dans ce rôle éternel d’homme entre deux guerres qui s’en sort toujours tel un James Bond des temps anciens.
Sinon le film est plaisant et l’ambiance assez réussie.
On regrettera quand même de trouver Bogart dans ce rôle éternel d’homme entre deux guerres qui s’en sort toujours tel un James Bond des temps anciens.
Bogart cigarette aux lèvres, imperméable, nœud papillon, joue Bogart. Flegmatique, sûr de lui, imperturbable.
Le rôle de l'Américain sans scrupule qui en bon capitaliste profite de la guerre pour s'enrichir, mais, il va évoluer pour être l'homme de la situation.
Damas nous est montré peu engageante, les catacombes sont sinistres, la lumière à du mal à laisser entrevoir une once d'espoir.
Le rôle féminin retient l'attention, l'actrice assez méconnu est assez envoutante, courte carrière car elle décède très jeune, mais c'est un plus dans ce film.
Alors même si ce film fait penser immanquablement à Casablanca, il lui manque cette étincelle qui fait basculer un bon film du côté du chef d'œuvre, à noter la présence de Lee J.Cobb qui a un rôle tout en retenu et en compromis.
Un film assez méconnu, mais qui ravira les fans de Bogart et de ces films des années 50.
Le rôle de l'Américain sans scrupule qui en bon capitaliste profite de la guerre pour s'enrichir, mais, il va évoluer pour être l'homme de la situation.
Damas nous est montré peu engageante, les catacombes sont sinistres, la lumière à du mal à laisser entrevoir une once d'espoir.
Le rôle féminin retient l'attention, l'actrice assez méconnu est assez envoutante, courte carrière car elle décède très jeune, mais c'est un plus dans ce film.
Alors même si ce film fait penser immanquablement à Casablanca, il lui manque cette étincelle qui fait basculer un bon film du côté du chef d'œuvre, à noter la présence de Lee J.Cobb qui a un rôle tout en retenu et en compromis.
Un film assez méconnu, mais qui ravira les fans de Bogart et de ces films des années 50.
Un contexte curieux pour un film américain, le mandat français en syrie, si au départ on reste quelque peu circonspect la réalisation arrive peu à peu créer une atmosphère trouble et proposes des plans intéressants. Le trio Bogart, Marta Toren, Lee J Cobb jouent aussi très bien malheureusement si le scénario suit une ligne intéressante il semble hésitant tout le long et exploite finalement assez mal ses personnages.
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