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Un visiteur
0,5
Publiée le 4 avril 2011
Film bâclé: série de clichés, jeu d'acteurs ridicule, fumisterie généralisée. C'est du gâchis de moyens et de pellicule. Le spectateur sort gêné pour le réalisateur.
Un film étrangement sec et violent de la part d'un réalisateur qui nous a habitué à des comédies plus douces et colorées. Une sorte de fable moderne dont la morale n'apparaît pas clairement. Les deux forces en présences sont décrites précisément et se rencontrent un peu comme dans une expérience de chimie : les deux éléments se côtoient, se rapprochent insensiblement, fusionnent presque pour aboutir à un résultat explosif...
Un film assez intéressant sur le font, mais qui termine étrangement ! D'ailleurs on s'y attend pas... Dommage. La morale attendu n'arrive pas. Toute fois ça se laisse regarder. De l'humour apporte un plus.
Tout d'abord qui êtes vous et qu'avez vous fait à Klapisch? Un film qui sombre dans le pathos dès les premiers instants avec des clichés hyper réducteurs. Une mise en scène beaucoup trop manichéene où le jeu des acteurs et quelques dialogues drôles m'empêchent de mettre un zéro pointé.
Dommage de craquer à la fin qui est de mon point de vue, nulle. Dommage car les acteurs étaient plutôt convaincants. Le sujet pas très original mais intéressant. Super Karine Viard.
Non mais c'est une blague ?! Moi qui considérais jusqu'à présent qu'un film de Klapisch garantissait au moins un ton personnel et une démarche sincère, je tombe de haut avec cette "part du gâteau" ! Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Ce Cédric Klapisch là doit être un homonyme ! Ce n'est pas possible autrement. Tout ce qui peut faire le charme d'un de ces films est abominablement absent de cette diatribe imbuvable, écrite et pensée comme n'importe quel minable pensum hexagonal de cinéaste français qui, à défaut de talent, pense combler le vide avec un propos jugé « socialement utile ». Tout sonne faux dans ce film, tant la démonstration est lourde et les symbolismes surlignés au marqueur fluo radioactif. Je te prends un personnage qui jouera le rôle de la pauvre opprimée : je la fais femme, endettée, divorcée, avec trois enfants à charge, vivant à Dunkerque, travaillant dans la métallurgie... et bien évidemment récemment licenciée ! Et je te l'appelle France au cas où on n'aurait pas compris l'allégorie ! Et de l'autre je te prends pour faire l’oppresseur : un trader, il bosse à Londres car c'est la mondialisation l'ennemi, il n'est pas marié car c'est un connard, il méprise l'humanité pour le seul plaisir de gagner l'argent. Tant qu'à faire on l'appelle Steve, histoire de faire l'Américain, la subtilité de Klapisch a consisté ici de ne pas le faire rouge, avec des cornes, et doté d'un rire démoniaque. Et voilà que pendant plus de trois quarts d'heures les symboliques grossières et grotesques s'enchaînent, le tout dans des tirades aussi démonstratives que déshumanisées. Et une scène qui sert à dire que les patrons ne gagnent de l'argent qu'en étant méchant ! Et une autre qui sert à dire que les pauvres ne peuvent s'en sortir qu'en étant solidaires ! (Et je ne mens pas : c'est dit textuellement) Et le tout sur sauce d'une Karin Viard qui expose son parcours de misère qui l'a fait échouer dans le nord et sombrer dans le suicide ?... STOOOOOOOOOOOOOOOOOP !!! Personnellement je me suis arrêté ici, au moment où les deux univers se rencontrent et continuent d'accumuler les poncifs et les stéréotypes. Alors c'est vrai, je n'en ai peut-être même pas vu la moitié, mais quand un film vous vomi autant de fois à la tronche pendant trois quarts d’heure, il devient impossible d'espérer retrouver l'appétit pour la fin du film. Alors, vous penserez ce que vous voudrez d'une telle critique, mais dites vous que c'est un amoureux de Klapisch qui vous le dit : ce film est une ignominie. Voilà qui est dit...
Fini les films chorales pour Klapisch on passe à une bonne satire sociale dans laquelle le trader responsable de la fermeture d'une entreprise de Dunkerque se retrouve à embaucher comme femme de ménage une ancienne employée de cette entreprise... Un pitch plutôt alléchant qui se retrouve au final alourdit par des tonnes de clichés (même si c'est une volonté du réalisateur). Heureusement Klapisch assure côté réalisation et le casting est très convaincant dans cet exercice sur l'exagération. Un Klapisch médiocre à prendre comme un constat du monde aberrant dans lequel on vit car au vu de la fin du film je ne sais pas comment on peut voir le film autrement.
Je n'avais pas vraiment envie de voir ce film, et finalement, on passe un moment de détente agréable. Ca ne restera pas dans les annales, mais je pense que c'est un film qui vaut la peine d'être vu.
N'en déplaise à la majorité des critiques, ce film a quand même des qualités. C'est une bonne comédie, avec des scènes vraiment drôles, et porté par le brillant duo Lellouche/Viard. Des personnages qui sont aussi touchants que comiques, d'ailleurs. Le véritable problème est que ce film ne ressemble pas à du Klapisch. On ne retrouve pas la pâte du réalisateur. L'autre problème est la fin, complètement absurde et donc ratée. Dommage car, à part ça, c'était plutôt un bon film.